Le Diable Au Corps Personnages Principaux

un bon impertinent, de se moquer des consultations et des ordonnances, de s’attaquer au corps des médecins, et d’aller mettre sur son théâtre des personnes vénérables comme ces messieurs-là. BERALDE : Que voulez-vous qu’il y mette que les diverses professions des hommes ? On y met bien tous les jours les princes et les rois, qui sont d’aussi bonne maison que les médecins. ARGAN : Par la mort non de diable ! si j’étais que des médecins, je me vengerais de son impertinence ; et quand il sera malade

scène le personnage principal Grégoire Samsa après qu’il se soit métamorphosé en une vermine. Nous allons voir quelle place l’auteur donne au corps dans la métamorphose de Grégoire Samsa ? Pour répondre à la problématique nous allons nous intéresser à la façon dont le corps est représenté dans le texte, puis comment l’auteur montre un décalage entre la métamorphose et les préoccupations et réactions de Grégoire Samsa. I) La représentation du corps * Vision du nouveau corps ? (ligne

LE ROMANTISME Livre page 156 : Le romantisme est un mouvement littéraire du début XIXe siècle. Victor Hugo, Chateaubriand, Baudelaire, Lamartine en sont les principaux auteurs. A l’étranger, notamment en Allemagne, Goethe est le plus connu. Dans le romantisme, on a un éveil de la sensibilité et de la nature, on met en avant le moi lyrique. Ce mouvement insiste sur l‘individu, les auteurs romantiques disent je, n’ont pas peur de montrer leur sentiments, ils crient leur souffrance au monde. La

rappelait en effet que, huit jours auparavant, un pauvre diable qui mendiait sa vie s'était jeté dans l'eau parce qu'il n'avait plus d'argent. Simon était là lorsqu'on le repêchait ; et le triste bonhomme, qui lui semblait ordinairement lamentable, malpropre et laid, l'avait alors frappé par son air tranquille, avec ses joues pâles, sa longue barbe mouillée et ses yeux ouverts, très calmes. les personnages: personnages principaux: | personnages secondaires: | Simon la blanchote phillippe

donc écrit avec deux chanteurs seulement, sur une musique de Charpentier. Il sera joué pour la première fois le 4 mai 1674. 2Faunes : divinités champêtres, mi-hommes, mi-chèvres, chez les Romains. 3Æpigans : créatures mythiques à tête humaine et à corps de chèvre ou de bouc. 4Simple vulgaire : foule naïve. 5Caquet : bavardage. © 2008, 2002 Groupe Beauchemin, Éditeur Ltée N.B. – Les vers du prologue, des divertissements et de l’opéra impromptu sont décalés vers la droite en fonction de leur longueur

‘‘ L’annonciation ’’ par Léonard de Vinci Contexte historique : Ce panneau est sans doute la prédelle du retable commandé vers 1475, à Verrocchio, pour la chapelle du Saint-Sacrement du Dôme de Pistoia. A cette époque, Léonard était l'élève principal du peintre-sculpteur florentin, dans l'atelier de qui il restera jusqu'en 1481. Verrocchio peignit une grande partie du retable, mais un dessin daté de 1478, aux Offices de florence, permet d'établir que cette prédelle est bien un tableau de la jeunesse

philosophique, et met en lumière la personnalité équivoque du dandy irlandais. C'est également l'unique roman de Wilde dans toute sa carrière. Ce roman a fait l'objet de deux adaptations cinématographiques en 1945 et 2009. Les personnages Dorian Gray Dorian Gray est le personnage principal de l'histoire. C'est un jeune Dandy, riche, connu et reconnu pour sa beauté extraordinaire et sa gentillesse. Mais à cause de la promesse qu'il a faite au sujet de son portrait, il va devenir un être mauvais jusqu'à devenir

Homère dans l’Iliade, jusqu’au XXème siècle et la profusion des écrits de tout genre dénonçant les atrocités des deux guerres mondiales et leurs conséquences postérieures. Cependant, si les œuvres qui écrivent et décrivent la Grande Guerre ont pour principale fonction de témoigner d’une expérience vécue qui en dit long sur la souffrance des combattants et leur transformation en « chair à canon », on peut néanmoins y recueillir de précieuses informations sur la vie à l´Arrière, cet espace urbain qui,

est le personnage de théâtre le plus connu de tous les temps et de tous les pays. Son nom dérive semble t’il d’Hellequin, qui était un petit diable malfaisant menant tapage nocturne dans les légendes médiévales. Le personnage d’Arlequin s’est transformé au cours des époques. A l’origine naïf, rustre, voire pouilleux, il s’est cristallisé en un caractère rusé, vif, spirituel et cynique. Il inspire la sympathie : apparaissant au devant de la scène avec ses cabrioles, on dirait que son corps est fait

donc en rien les actions de son maître ; il trouve inadmissible de bafouer ainsi les liens sacrés du mariage. Il ne supporte pas le côté épicurien et donc hautement matérialiste de Dom Juan, tout comme sa méchanceté (« il me vaudrait mieux être au Diable qu’à lui. ») et sa boulimie des femmes, qu’elles soient paysannes, bourgeoises ou nobles, qu’il abuse par ses talents d’acteur. 4. Comment les paroles de Sganarelle le dépeignent-elles lui-même ? A travers sa description de Dom Juan, on peut