Le Diable et le Bon Dieu

rapport avec les sciences humaines. - Étudier dans un groupement de textes ou une œuvre la reprise d’un mythe antique. - Élaborer un parcours de lecture autour d’une figure mythique en rapport avec les sciences humaines (Œdipe, Orphée, le mythe du bon sauvage revu par Claude Lévi-Strauss, etc.). PROJET – Ministère de l’éducation nationale, de la jeunesse et de la vie associative/DGESCO PAGE 2 sur 9 PROJET : Baccalauréat professionnel, ressources pour la classe terminale - Français ACTIVITÉS

encore je suis capable de le ressentir. Je me suis dit alors … éloigne toi ma chérie … trop trop dangereux … et j’ai fait en sorte que ce genre de situation ne se reproduire plus … Puis les années ont avancé … une tendre complicité s’est installée … Dieu que j’aimais quand on se regardait … se comprenant à demi mot … tes poignées de main le matin … langoureuse et caressante … nous étions seuls tous les deux dans ce petit moment de tendresse. La musique que nous partagions … nos livres … nos films …

pas pour avoir fait mon devoir, je ne recommencerai plus. - si un homme a du mérite, à quoi bon le décorer ? s’il n’en a pas, on peut le décorer, parce que [cela] lui donnera un lustre. Consentir à être décoré, c’est reconnaître à l’Etat ou au prince le droit de vous juger, de vous illustrer, etc. -----------D’ailleurs, si ce n’est l’orgueil, l’humilité chrétienne défend la croix. Calcul en faveur de Dieu. Rien n’existe sans but. - 10 - Donc mon existence a un but. Quel but ? Je l’ignore.

Faust » est introduit. Au moment où Dorian a fait le souhait qu’il ne pensait pas que ce contrat lui apporterait autre chose que la beauté de la jeunesse et que ce qu’il paie en échange de cela est en fait son âme. Il vend véritablement son âme au diable. « L’idée que le portrait s’occupe des péchés d’un homme est une parabole parfaite, consciente ou non, de la corruption et de la cruauté au cœur de la beauté et du pouvoir de l’art de libérer l’individu de la conformité et des conséquences. »Ce livre

puisqu’elle est simple : un seul dieu qui plus est invisible qui offre un bon moyen de domination politique. 2) Une religion de salut • 2ème gros avantage, la religion chrétienne offre une alternative à la disparition pure et simple de chacun : la mort. • Le christianisme instaure, en effet, le jugement dernier qui permet aux bons fidèles de gagner le paradis proche de Dieu tandis que les non- croyants vont directement en enfer (lieu souterrain de supplices) côtoyer le diable. Enfin pour les croyants

temps nous allons développer le sort des suppliciés avec une description des morts Deuxièmement nous expliquerons la pitié des vivants envers les morts. Troisièmement nous parlerons de la notion judiciaire au Moyen Age avec la justice des pendus et de Dieu qui apparaît dans la demi strophe. 1/ Le sort des suppliciés Villon essaye de nous mettre à l'aise dans une ballade qui est tout d'abord une chanson légère , gaie et comique mais quand on lit le poème on découvre une ballade de pendus macabre.

familiale. Psaume 8 : Pour retrouver la confiance en soi. Psaume 9 : Contre les tentations de Satan; Pour que les nations soient plus justes et plus droites. Psaume 10 : Pour la protection des voyageurs et de leurs biens. Psaume 11 : Pour chasser le diable. Psaume 12 : Pour oublier des paroles blessantes. Psaume 13 : Pour lutter contre une maladie. Psaume 14 : Avant de faire un choix. Psaume 15 : Contre l’échec scolaire et la confusion des idées. Psaume 16 : Pour éloigner les gênes d’argent. Psaume

Critique des gens qui jouissent de la vie sans travailler (« Un bon ver de vin est de bon conseil et a une bonne mine au bout d’un bras qui a sué pour le gagner») I,2 _Critique des frivolités de la cour (« Mais ce sont des tonneaux sans vergogne que tous ces godelureaux ») I, 2 _Critique de l’abrutissement et de l’impiété de la cour («  A qui fait on plaisir en s’abrutissant jusqu’à la bête féroce ? A personne, pas même à soi, et à Dieu encore moins. » I,2 _ Première réplique: critique du dérangement

et dût se réfugier à Neufchâteau avec sa famille. Revenue à Vaucouleurs, sa personnalité ne passa pas inaperçue, elle rencontra même le Duc de Lorraine. Face à une telle détermination, Beaudricourt, sceptique, s'assura auprès de son curé « que le diable n'était pas en elle », puis, il lui donna une escorte de quelques hommes, dont Jean de Metz, et Bertrand de Poulegney qui resteront fidèles à Jeanne tout au long de son épopée. Le procès de Jeanne D'Arc; Le procès de condamnation de Jeanne d'Arc

MAÎTRE: C’est un grand mot que cela. JACQUES: Mon capitaine ajoutait que chaque balle qui partait d’un fusil avait son billet. LE MAÎTRE: Et il avait raison… Après une courte pause, Jacques s’écria: « Que le diable emporte le cabaretier et son cabaret! LE MAÎTRE: Pourquoi donner au diable son prochain? Cela n’est pas chrétien. JACQUES: C’est que, tandis que je m’enivre de son mauvais vin, j’oublie de mener nos chevaux à l’abreuvoir. Mon père s’en aperçoit; il se fâche. Je hoche de la tête; il