Le Dictateur Affiche

officielle du ministère espagnol de la culture Conservation au Musée du Nouveau Mexique Usagegrand mural de propagande contre la guerre exposé dans le monde. Il est installé depuis 1981 à Madrid, au Musée Reina Sofía ; seulement après la mort du Dictateur selon la volonté de Picasso. Espagnol Guernica, P.Picasso FormeArt contemporain. Technique Huile sur toile en noir et Commande du gouvernement blanc, 3,5m X 7,5m Républicain pour le pavillon de l'Espagne, à l'Exposition Universelle de Paris

l'entrée de l'usine. On peut reconnaitre sous des traits caricaturés les personnages suivants : • Goebbels: ministre de l'information et de la propagande (grand et fin) • Göring : commandant de l'armée de l'air (petit et gros) • Mussolini: dictateur italien, lié à l'Allemagne par l'Axe Rome-Berlin (1936) (gros et mal rasé avec un double menton) • Hiro-Hito : empereur du Japon, lié à l'Allemagne par le Pacte anti-Komintern (1937). (petit, jaune avec des grandes dents= représentation très raciste)

et les entreprises privées deviennent vite publiques, au nom de l’égalité, contre le capitalisme, et plus spécialement contre le Modèle Américain, bloc antagoniste à l’URSS. La figure de Staline, l’homme d’Etat, apparaît partout dans els villes, affiches, statures. Dans ce culte de la personnalité Leningrad devient Stalingrad, portant le nom de l’homme le plus vénéré de tous. UN MODÈLE UTOPIQUE A la mort de Staline en 1953, Khrouchtchev prend le pouvoir. Il s’agit d’un homme impressionnant

une guerre entre eux devient impossible: c'est la dissuasion nucléaire. Le conflit idéologique prend aussi la forme d'une guerre de propagande: tous les moyens de communication sont mis au service de la propagande pour dénoncer son adversaire (affiche, radio, cinéma...). => La guerre entre les deux blocs est qualifiée de "froide": l'affrontement est total mais il ne donne jamais lieu à une confrontation militaire directe. Mais il le font indirectement au travers des conflits régionaux et le

dont il est l'un des principaux acteurs en Allemagne. Dès 1924, John Heartfield, graphiste de formation, éditeur et membre du parti communiste allemand, commence à dénoncer de manière visionnaire la montée du nazisme par ses photomontages et ses affiches. Selon Louis Aragon, John Heartfield est « le prototype et le modèle de l’artiste antifasciste». En 1933, à l'accession au pouvoir d'Adolf Hitler, l'artiste est forcé de se réfugier en Pologne, puis en Angleterre, où il vit de 1938 à 1949. La technique

dont il est l'un des principaux acteurs en Allemagne. Dès 1924, John Heartfield, graphiste de formation, éditeur et membre du parti communiste allemand, commence à dénoncer de manière visionnaire la montée du nazisme par ses photomontages et ses affiches. Selon Louis Aragon, John Heartfield est « le prototype et le modèle de l’artiste antifasciste». En 1933, à l'accession au pouvoir d'Adolf Hitler, l'artiste est forcé de se réfugier en Pologne, puis en Angleterre, où il vit de 1938 à 1949. La technique

d'argumenter, il suffit de séduire et de frapper. Les discours passionnés, le refus de toute discussion, la répétition de quelques thèmes assénés à satiété constituent l'essentiel de son arsenal propagandiste, comme le recours aux effets théâtraux, aux affiches criantes, à un expressionnisme outrancier, aux gestes symboliques dont le premier est l'emploi de la force. Ainsi, quand les SA brutalisent leurs adversaires politiques, ce n'est pas sous l'effet de passions déchaînées, mais en application des directives

faire de l’homme une chose en ayant détruit en lui tout instinct de liberté, les dictatures totalitaires ont toutes eu recours à une propagande massive, omniprésente, rendue possible par l’invention et le développement des media modernes (radio, affiche, cinéma…). La répression est également l’un des fondements des dictatures totalitaires. Celui ou ceux qui sont Les définitions des mots de désignés par la propagande des régimes totalitaires vocabulaires figurés en bleu comme les « ennemis du peuple

transformation de l’État de l’intérieur L 2.  es totalitarismes : points communs et spécificités Éude d’une analyse de la nature des totalitarismes par un historien, Kristof Pomian A. Les critères de définition des totalitarismes Analyse d’une affiche de propagande stalinienne : la collectivisation B. Terreur de masse et propagande C. La volonté de forger un homme nouveau Q D.  uelles spécificités pour les régimes totalitaires? Analyse d’un tableau de propagande : Benito Mussolini

peu bureaucratique, ayant hérité de sa jeunesse bohème à Vienne un manque total de goût pour le labeur suivi, travaillant de façon très irrégulière (sauf dans la conduite des opérations militaires), le Führer apparaît comme un « dictateur faible » ou encore un « dictateur paresseux » selon Martin Broszat. Il laisse en fait chacun des rivaux libre de se réclamer de lui, et il attend seulement que tous marchent dans le sens de sa volonté. Dès lors, a démontré le biographe Ian Kershaw, dont les travaux