Le Dieu bleu

Loué soit éternellement le Seigneur mon Dieu, qui élève l’Humble de la boue, et fait réjoüir le cœur de ceux qui espèrent en lui : Qui ouvre aux Croyans avec grâce les sources de sa bénignité, et met sous leurs pieds les cercles mondains de toutes les félicités terriennes. En lui soit toujours notre espérance, en sa crainte notre félicité, en sa miséricorde la gloire de la réparation de notre nature, et en la prière notre sûreté inébranlable. Et vous, ô Dieu Tout-puissant, comme votre bonté a daigné

bras : - Que me restera-t-il ? car tu t'envoleras. - Il ne répondit pas ; le ciel que l'ombre assiège S'éteignait ... - Si tu prends mon âme, m'écriai-je, Où l'emporteras-tu ? montre-moi dans quel lieu. Il se taisait toujours. - Ô passant du ciel bleu, Es-tu la mort ? lui dis-je, ou bien es-tu la vie ? - Et la nuit augmentait sur mon âme ravie, Et l'ange devint noir, et dit : - Je suis l'amour. Mais son front sombre était plus charmant que le jour, Et je voyais, dans l'ombre où brillaient ses

domaine scientifique, on peut et on doit démontrer une idée expérimentalement. En effet, le savant comme le philosophe se soucient de ne rien affirmer qui ne puisse être démontré. Quand j'affirme par exemple que le sulfate de cuivre anhydre devient bleu au contact de l'eau je le démontre en faisant l'expérience. Claude Bernard : D’après Bernard, il faut même douter d’une vérité confirmée expérimentalement, et avoir la preuve qu’il n’y a pas de contre exemple. En effet dans son introduction à

York Léopold Sédar SENGHOR Recueil : "Éthiopiques" (pour un orchestre de jazz : solo de trompette) - I - New York ! D’abord j’ai été confondu par ta beauté, ces grandes filles d’or aux jambes longues.
Si timide d’abord devant tes yeux de métal bleu, ton sourire de givre
Si timide. Et l’angoisse au fond des rues à gratte-ciel
Levant des yeux de chouette parmi l’éclipse du soleil.
Sulfureuse ta lumière et les fûts livides, dont les têtes foudroient le ciel
Les gratte-ciel qui défient les cyclones

son jean gris ; son pull bleu et ses chaussures orange, je lui fis signe et voilà qu'il vint. Cela faisait bien trois ans que je ne l'avais pas vu et pourtant rien en lui n'avait changé ; toujours un teint aussi blanc que le mien, des yeux verts comme l'herbe, des cheveux lisses, des sourcils fins et des lèvres formées. Mais je remarquais qu'il avait assez grandi ; sa taille pouvait a cinq centimètre atteindre la mienne. Dès qu'il me vit il dit : « Bachir ?! Oh mon Dieu ! Que cela fait plaisir !

en prison ?- De quelle façon Apollinaire parle-t-il de la prison dans ses poèmes ?Mvts du texte : v. 1 à 20 (sections I et II) : entrée en prison (ce qu'il abandonne)v. 21 à 44 (sections III et IV) : expérience de l'enfermement : ennui et adresse à Dieu v. 45 à 57 (sections V et VI) : du désespoir vers l'apaisement ?Etude linéaire :1) v. 1 à 20 (sections I et II) : entrée en prison (ce qu'il abandonne)- chronique d'un séjour en prison : CL de la prison, description du décor ("cellule", "vitre", "voûte")

satanisme sont rouges ! La femme est la tentation. BLEU : C’est la couleur de l’antimatière, de la dématérialisation. Il a le pouvoir de transformer la matière en anti matière. « Le bleu est le chemin de l’infini ou le réel se transforme en imaginaire ». Le bleu est calme, il apaise, repose. Mais à la différence du vert, il ne tonifie pas car il ne fourni qu’une évasion sans prise sur le réel, c’est la couleur de l’infini. Quand on associe le bleu à l’homme, on parle de la mer : les grands espaces

la poésie. Cette oeuvre est un recueil. Pour lui dieu n'existe pas. Ce texte est donc contre dieu. Un dieu normal aide ses fidèles. La il se moque des croyants. Pour lui s'est la nature qui a tout crée. On va parler dans une première partie de la critique Politique, avec deux sous partie, la critique de la Guerre, et la critique du Roi. Dans la deuxième grande partie la critique de la Religion et la troisième grande partie, la critique de Dieu. Ainsi la lecture de ce sonnet fait immédiatement

Les fleurs bleues, Queneau Excipit (chapitre 21) Introduction : Ce dernier chapitre est extrêmement court et il rompt avec l’isométrie de la taille des chapitres précédents. Il rompt également avec sa logique distributive : 5 séquences de 4 chapitres avec une alternance et une progression. La 5 ème séquence voit la fusion des temps : le duc d’Auge et Cidrolin se retrouvent à la même époque et au même lieu : les deux personnages qui ne communiquaient que par le rêve sont réunis = fusion

sahariens ); descendant de l’homme bleu, Al Azraq. Il rejoint avec son père et toute leur tribu la ville de Smara pour échapper à l’invasion des chrétiens en occident. Tout au long de ce « voyage ». Ma El Aïnine : Ma el Aïnine, est un cheikh, il est considéré comme un homme saint par les tribus des nomades du désert et adorateur d'une soit disant « religion » par les chrétiens occidentaux. Lalla : Lalla est une adolescente, descendante de l’Homme bleu et de Nour. Elle vit chez sa tante