Le Dieu Du Carnage

l'emploi : L11 avec l'expression «boucherie héroïque» Ici l'ironie est directe, d'abord le narrateur emprunte cet adjectif héroïque aux partisans de la guerre , mais il associe cet adjectif héroïque au mot boucherie → métaphore désignant le carnage . On a un oxymore (= nom sur l'alliance de deux mots de sens contraire à l'intérieur d'un même groupe nominal ) Puis un mot qui fait l'apologie de la guerre , l'horreur → héros . Le mot héroïque → repris deux fois ironiquement : -L20 «besoins

Structure de la pièce V- Etudes littéraires de passages de la pièces I- Présentation de la tragédie grecque La notion même de tragédie est étroitement liée a la religion et au contexte politique Athénien. Tragédie relié au culte de Dionysos. Dieu très célébrée dieux des forces vitales, de l'ivresse du vin, de la fécondité. Dionysos, née de l'union de Zeus et d'une mortelle, cachée par Zeus dans sa cuisse puis élevée par des nymphes. Célébrée pendants les lénéennes, et les grandes Dionysies

pendant la guerre froide. Il devient le symbole de l'Amérique combattant les forces du mal. Il est reconnaissable à son costume aux couleurs du drapeau américain, son « A » sur le front, les étoiles sur le torse et le bouclier ainsi que les ailes du dieu Hermès sur son casque. L'adversaire : Electro (le personnage vert) Electro est le « méchant » de cette aventure. De son vrai nom Ivan Kronov, il est le résultat d'une expérience scientifique soviétique. Super-agent de l'URSS, il est doté de pouvoirs

3)Analyse de l'image Au premier plan, on reconnaît Captain America à sa tenue, son bouclier aux couleurs du drapeau américain. Son visage est masqué ; il porte sur le front la lettre A (Amérique) et de chaque côté de la tête de petites ailes comme le dieu Hermès, sur le torse une étoile renvoie à la bannière étoilée (drapeau américain). Il tient à bout de bras un soldat russe reconnaissable à la couleur de son uniforme et à la faucille et au marteau (symboles de l’URSS) visibles sur l’épaulette

passions stupides et bornées remplacent l’Amour, le Partage et la Création. La violence n’est pas une déviation temporaire, ni une erreur, ni une aberration éliminable, elle découle de choix fondamentaux. Les hommes utilisent leur énergie à résister à Dieu, à la liberté et à l’Amour. Ils se dépensent pour s’oublier, faire du mal et réparer quelques dégâts. Ils exercent de multiples violences contre eux-mêmes et le reste de la Création pour que cette résistance puisse perdurer. / Le Mouvement / Articles

pouvait mettre un doigt dans les trous de ses plaies. 10 Avez-vous vu saigner la mre dans les haies Son crne tait ouvert comme un bois qui se fend. Laeule regarda dshabiller lenfant, Disant - Comme il est blanc approchez donc la lampe. Dieu ses pauvres cheveux sont colls sur sa tempe - 15 Et quand ce fut fini, le prit sur ses genoux. La nuit tait lugubre on entendait des coups De fusil dans la rue o lon en tuait dautres. - Il faut ensevelir lenfant, dirent les ntres.

Jacques Prévert (1900-1977) Victor HUGO (1802-1885) Depuis six mille ans la guerre Depuis six mille ans la guerre Plait aux peuples querelleurs, Et Dieu perd son temps à faire Les étoiles et les fleurs. Les conseils du ciel immense, Du lys pur, du nid doré, N'ôtent aucune démence Du coeur de l'homme effaré. Les carnages, les victoires, Voilà notre grand amour ; Et les multitudes noires Ont pour grelot le tambour. La gloire, sous ses chimères Et sous ses chars triomphants

L’auteur parle de « rocs escarpés » (v.9) et décrit un paysage non épargné par le temps qui passe. Autre topos de la période romantique aux vers 11 et 12 : « Des rivages couverts des débris du naufrage, / Ou des champs tout noircis des restes du carnage. ». Le temps est un leitmotiv que nous retrouvons tout au long du poème, avec par exemple le vers 68 « le jour succède au jour, et la peine à la peine » où l’auteur construit son alexandrin de façon très précise et forme un chiasme opposant le jour

un an plus tard d’une paralysie générale. Dans ces écrits, Baudelaire est souvent volontairement en contradiction, comme il nous le dit dans Mon cœur mis à nu « Il y a dans tout homme, à toute heure, deux postulations simultanées, l’une vers Dieu, l’autre vers Satan ». Il préfère également le symbole à la chose, comme par exemple la nature imaginée à la nature réelle, ou un tableau à son modèle. Ses poèmes font toujours appellent à tous les sens du lecteur car ils traitent les parfums, les

reste le propre de l’Homme. Victor HUGO   (1802-1885) Depuis six mille ans la guerre Depuis six mille ans la guerre Plait aux peuples querelleurs, Et Dieu perd son temps à faire Les étoiles et les fleurs. Les conseils du ciel immense, Du lys pur, du nid doré, N'ôtent aucune démence Du coeur de l'homme effaré. Les carnages, les victoires, Voilà notre grand amour ; Et les multitudes noires Ont pour grelot le tambour. La gloire, sous ses chimères Et sous ses chars triomphants