Le Discours Aux Morts D Hector

de Troie. Oui, comme ses exploits nous admirons vos coups. Hector tomba sous lui, Troie expira sous vous ; Et vous avez montré, par une heureuse audace, Que le fils seul d'Achille a pu remplir sa place. Mais, ce qu'il n'eût point fait, la Grèce avec douleur Vous voit du sang troyen relever le malheur, Et, vous laissant toucher d'une pitié funeste, D'une guerre si longue entretenir le reste. Ne vous souvient-il plus, Seigneur, quel fut Hector ? Nos peuples affaiblis s'en souviennent encor. Son nom seul

de l’Episode III I] Discours de Créon - la voix de la rhétorique raisonnements inductif et déductif, dialectique ascendante et descendante. II] Discours d’Hémon - la voix de la raison, la voix de la cité III] Au nom de l’amour… Un scandale. Etude de l’Episode V I] Puissances d’En-haut, puissances d’En-bas. - rituels de divinations en Grèce antique (Analyse du premier discours de Tirésias) - le don de Tirésias II] Le sacrilège de Créon. (analyse du second discours de Tirésias) - signes

formes littéraires, en même temps qu’il a suscité de nombreuses reprises des personnages de ce récit et de ses thèmes. I. L’Odyssée et la littérature antique 1. La tragédie et le drame satyrique Compte tenu de l’importance qu’elle accorde au DD (discours direct) et à la forme dialoguée, l’Odyssée d’Homère a pu inspirer directement la tragédie antique. Ulysse fait dans la tragédie grecque quelques apparitions qui mettent bien en valeur son habileté rhétorique : sa mêtis trouve ainsi son emploi sans

o il parle trois reprises dAndromaque - au chant VI, elle fait ses adieux Hector au moment o il va se battre contre Achille qui le tuera elle lui dit Hector, tu es pour moi mon pre, ma mre vnrable, tu es aussi mon frre, tu es mon poux florissant de jeunesse. le hros sattendrit et prvoit lesclavage dAndromaque Racine sen souvint au vers 262, et dans presque tout I, 4, puis au vers 1020 - au chant XXII, Hector tant mort, Andromaque se dsespre et se lamente sur le sort de lorphelin qui reste

protestation. Moi, j’ai vécu. De quoi aurais-je honte, maintenant ? ANNENKOV. Stepan, tout le monde ici t’aime et te respecte. Mais quelles que soient tes raisons, je ne puis te laisser dire que tout est permis. Des centaines de nos frères sont morts pour qu’on sache que tout n’est pas permis. STEPAN. Rien n’est défendu de ce qui peut servir notre cause. TEXTE 3 Henry de Montherlant, La Reine morte, acte II, scène 1. [L’action se passe au Portugal, au XIVe siècle. Le roi Ferrante souhaite

l'Allemagne. Les pertes humaines de la Première Guerre mondiale s'élèvent à environ 18,6 millions de morts. Ce nombre inclut 9,7 millions de morts pour les militaires et 8,9 millions pour les civils. Avec 1 700 000 victimes, la France sort moralement terrassée de la Première Guerre mondiale. Le 14 juillet 1919, c'est une armée victorieuse mais éclopée qui défile sur les Champs Elysées. Quant aux morts, on s'interroge sur leur sort: faut-il rendre les corps aux familles? Doit-on plutôt les rassembler

s’appuiera sur l’ensemble de l’extrait, et citera quelques procédés. Haha, c’était un piège ! Il y avait en réalité deux genres rhétoriques ! Dans cette tirade, on voit deux genres rhétoriques s’articuler : le genre délibératif d’une part, tout le discours du personnage ayant pour but d’inviter les conjurés à prendre la décision d’agir : « Mais il est temps d’agir plutôt que de parler » (407), polyptote du verbe se résoudre à la fin du passage « cent hommes résolus »/ « Nous avons résolu » 427. Le

trois reprises d’Andromaque : - au chant VI, elle fait ses adieux à Hector au moment où il va se battre contre Achille qui le tuera ; elle lui dit : «Hector, tu es pour moi mon père, ma mère vénérable, tu es aussi mon frère, tu es mon époux florissant de jeunesse.» ; le héros s’attendrit et prévoit l’esclavage d’Andromaque ; Racine s’en souvint au vers 262, et dans presque tout I, 4, puis au vers 1020 ; - au chant XXII, Hector étant mort, Andromaque se désespère et se lamente sur le sort de l’orphelin

base sur l’apparence. L’appel du 18 juin Introduction : Le 18 Juin, au lendemain de la demande du maréchal Pétain d’un armistice honteux avec Hitler, un général français presque inconnu du grand public prononçait sur la BBC, de Londres,un discours appelant la nation française à poursuivre la lutte. Entré dans l’histoire comme l’appel du 18 Juin, ce texte n’a été entendu que par une infirme frange de la population et aucun enregistrement n’en a été fait. Il a fallu un second appel, le 22 Juin

à fait lâche, Lola, je refuse la guerre et tout ce qu'il y a dedans ». Les soldats « sont morts pour rien ». « La guerre, c'est la mort et une mort inutile » : idée scandaleuse pour le discours patriotique ambiant. La démystification des anciens combattants considérés comme des lâches défilant sous l'Arc de Triomphe (seul Giraudoux, dans La guerre de Troie n'aura pas lieu, 1935, fait proférer à Hector des propos aussi insultants. La guerre, comme le travail, la colonisation, est un facteur d'aliénation