Le Discours De Robert Badinter

2006 un accrochage des dessins de l’écrivain en rapport avec son combat contre la peine de mort ainsi qu’une table ronde en collaboration avec l’association Ensemble contre la peine de mort le 28 septembre 2006 de 18h30 à 20h30 en présence de M. Robert Badinter Victor Hugo, Le Pendu, (« Ecce »), 1854, dessin, Paris, Maison de Victor Hugo Table de matières Introduction ............................................................................................... 3 La peine de mort en France au

ACCROCHE : Avec l’élection populaire du Chef de l’État, la création du CC apparaît comme l’innovation majeure de la Ve R. Si l’on doit se méfier du Gvt des juges, substituant ses appréciations à celles de représentants du peuple, on conviendra avec R. Badinter, qu’il faut se méfier davantage encore d’un Gvt sans juges, au sein duquel la force attachée à une majorité politique supplanterait celle du droit. Le CC est une clef de voûte de notre Co et le dernier rempart institutionnel pour la défense des droits

que la peine capitale est irrémédiable, lorsque le jugement est prononcé si c’est un innocent il mourra ,il n’est pas facile de savoir la vérité. Et bien d’autres… : La course contre la honte, de Pierre Clavilier L'Abolition, de Robert Badinter L'Exécution, de Robert Badinter La Ligne verte, de Stephen King Le Pull-over rouge, de Gilles Perrault L'Étranger, d'Albert Camus Réflexions sur la peine capitale, d'Albert Camus et Arthur Koestler La Peine de mort de Franc Marceau La Ballade de la geôle de Reading

vaut en matière de justice prendre les institutions telles que l’histoire les a créées ,pourvu qu’elles satisfassent aux besoins de la société et qu’elles satisfassent aux principes fondamentaux de l’ Etat de droit ».Cette citation du président robert Badinter rattachée à la justice économique ,montre l’importance de conserver cette institution héritière du passé tout en continuant à l’adapter aux évolutions de la société et du monde économique. Au sens commun ,la justice économique désigne un e situation

présidents de la Vème République, de Giscard D’Estaing à Mitterand. Le chômage de masse conduit cependant à une fragilisation de la population, qui voit les inégalités territoriales s’accroissent. - « modernisation » p166 -création de la CECA avec Robert Schuman (p170) -nationalisation des mines de charbon (AVANT 1970) - apparition des hyper-marchés (p179) - 75% des ouvriers ont une voitures dans les 70’s = hausse du pv d’achat - Crise eco à la fin de la prez de De Gaulle (fin de page 179) -

intellectuel. Troisième partie : les marques concernant l’auteur et la(les) personne(s) à qui s’adresse le texte Le texte prend une dimension polyphonique imitant un dialogue tel qu’il aurait pu avoir lieu dans la vie réelle, ou imitant un discours oral fait par un orateur devant une assemblée. En effet, dès le premier paragraphe, les opposants de Victor Hugo sont désignés de façon impersonnelle (« Ceux qui jugent et qui condamnent ») pour généraliser l’attaque, mais ils sont très rapidement

maîtresse fait un réquisitoire contre la peine de mort au tribunal . Il faudra cependant attendre 1981 et l'élection de François Mitterand comme président de la république pour que la peine de mort soit abolie en France ( 9 octobre) . Le discours de Robert Badinter du 17 septembre 1981 devant l'assemblée nationale est resté célèbre . b ) Etat des lieux: Au niveau mondial, tous les pays ne sont pas abolitionnistes. L'Onu est à l'origine d'un moratoire contre la peine de mort mais ce n'est qu'une

philosophique de Voltaire ou de l’Encyclopédie Activités de lecture Mettre l’élève en situation de lecteur : que faire émerger de la lecture ? - Lire des textes dénonçant l’injustice (du XVIIIe siècle, L’Encyclopédie, aux XXe-XXIe siècles) - Lire des discours en repérant les procédés de l’éloquence - Étudier un groupement de textes divers (tracts, articles de presse, nouvelles, extraits d’essais ou de romans, lettres et chansons…) sur un type d’inégalité ou d’intolérance - Lire des contes philosophiques

peine de mort soit abolie en 1981, faisant de la France le dernier pays de la Communauté européenne qui appliquait la peine de mort à l'abolir. Ceci a été possible grâce notamment, à la formidable action menée par Robert Badinter, ministre de la justice de l'époque, et dont le discours du 17 septembre de la même année devant l'Assemblée nationale, reste gravé à jamais dans histoire de la lutte pour la défense des droits de l'homme. Aujourd’hui, plus de 129 pays sont abolitionnistes. Néanmoins

Président du Sénat et depuis 1974 60 sénateurs ou 60 députés. Toutefois à la fin des années 1980, des voix en faveur d’un contrôle a posteriori se font entendre. Robert Badinter, alors président du Conseil Constitutionnel le propose lors d’un entretien pour le journal Le Monde en 1989. François Mitterrand reprend l’idée lors de son discours du 14 juillet en se déclarant « partisan d’une révision constitutionnelle qui permettrait à tout français de saisir le Conseil Constitutionnel s’il estime ses droits