Le Déclin Du Naturalisme

sciences, les arts et la nature. Je proposerai un plan en trois grandes parties. Dans la première, je commencerai par formaliser, à la lumière de ses écrits autobiographiques et travaux scientifiques, les concepts qui font l’originalité et l’unité du naturalisme de Goethe. Je rassemblerai les réflexions souvent éparses du poète pour expliquer les trois notions récurrentes qui m’apparaissent fondamentales. Je mettrai en évidence le fait que ces concepts constituent des invariants que l’on retrouve avec une

la présidente, il se montre toujours autant épris de la marquise. Quant à elle, elle explique son désir de vengeance envers Gercourt, et c’est pourquoi elle essaie d’engager le vicomte à séduire Cécile : mais, trop intéressé par la présidente, il décline l'offre. Ils en viennent alors à un pacte : s’il parvient à conquérir la Présidente de Tourvel, il pourra posséder la marquise qui lui résiste toujours. Son amour étant repoussé, il essaie encore de retourner la situation et conçoit comme une preuve

doctrine de l’héroïsme à son éclosion, est devenu doctrine du désespoir. On voit un homme troublé se replier sur lui-même, et, du fond de son être, ne s’arracher, avec une pudeur extrême, que des cris pleins de drame, c’est Baudelaire. Au lendemain du déclin du romantisme et de la mort de Baudelaire, on voit monter sur la scène littéraire la génération de Rimbaud et de Lautréamont. Le cas Lautréamont rappelle très fort le cas Rimbaud, auquel il est partiellement parallèle. Tous les deux coïncident avec

GOODMAN, Ways of Worldmaking ............................. 205 16. L. WITTGENSTEIN, De la certitude .................................206 17. J. AUSTIN, la Philosophie analytique................................ 207 18. P. -F. STRAWSON, Skepticism and Naturalism : Some Varieties ...................................................................................209 19. T. NAGEL, Questions mortelles .......................................... 211 20. D. DAVIDSON, Actions and Events .......................

l’histoire . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .117 A. T. Mahan, théoricien de l’hégémonisme naval . . . . . . . . . . . . .126 LA PENSÉE DE MACKINDER PRÉCÈDE LA GÉOSTRATÉGIE GLOBALE . . . . . . . . .134 L’inquiétude de Mackinder : le déclin britannique . . . . . . . . . . . .134 Le stress du Heartland et de la domination mondiale . . . . . . . . .136 La discussion autour de la notion du Heartland et ses critiques . .142 Révision et actualité de Mackinder . . . . . . . . . . . . .

villes reconquises par les chrétiens pouvaient conserver leurs coutumes, langues et religion en payant un impôt aux chrétiens on les appeler les mudéjar. Ils ont laissés une très grande trace de leur art en Espagne. Les Omeyyades ont connues leur déclin au 11eme siècle, on entre alors dans la période des reinos de taifas c’est a dire que l’organisation global s’est retrouver diviser. Cette éclatement en petit royaume a re-favorisé l’essor de la reconquête chrétienne du territoire espagnol sur les

…………………………331 IV) La bourgeoisie française et les questions politiques o La bourgeoisie contre le mouvement ouvrier…………..340 o La myopie en matière de politique internationale………..341 o Antoine montre des sentiments pacifistes………...……347 9 o Le déclin des préoccupations religieuses……………..…348 o La déchristianisation dans la bourgeoisie française……….353 o Maintien de la pitié chez les gens simples………………..355 Conclusion du chapitre……………………...…...…………………..359 Quatrième partie La société bourgeoise

des puissances étrangères, non européennes, ont eu un rôle décisif sur le continent européen, c’est un fait inédit dans l'histoire européenne. La guerre a donné un 16 nouvel élan à la croissance économique américaine, d'une certaine façon, le déclin économique de l'Europe s'est accompagner du renforcement économique des Etats-Unis. Le traité de Versailles de 1919 est un traité de paix mais qui contenait tous les facteurs d'instabilité ou de conflit potentiel qui allait dans les années 30 faire

Derrière théories et techniques, il exista des états d'âme que l'on retrouve depuis l'Écosse jusqu'à Manzoni et Leopardi, de Larra et Espronceda en Espagne au Russe Lermontov. Le plus général est l'insatisfaction du présent et la quête d'autre chose, le déclin de cette poursuite du bonheur dont avait rêvé le siècle de Mozart, de Jefferson, de Saint-Just. L'héroïne du grand roman de Rousseau, Julie, déjà s'était écriée : « Je suis trop heureuse, le bonheur m'ennuie. Malheur à qui n'a plus rien à désirer

noir. → Roman philosophique : parce qu’il traite, au moyen de la fiction, de questions, comme le rapport entre l’âme et le corps, le pouvoir de l’illusion, l’art et la nature, le statut de l’apparence. → Roman symboliste : rupture claire avec le naturalisme zolien, pour imposer les pouvoirs trompeurs mais séduisants de l’artifice, seul capable d’assouvir la soif d’idéal que le positivisme triomphant ne peut satisfaire.→ Roman fantastique : une créature artificielle née du génie humain, prend vie et