Le Dénouement Dans Les Précieuses Ridicules

d’un peintre Séance 4 : L’île des *scènes 10 et 11 esclaves : une leçon d’humanité ? 2h *S’interroger sur la portée et le but du réquisitoire de Cléanthis *Repérer les éléments qui fondent un dénouement de comédie *S’interroger sur le retour à l’ordre (spatial/social) et sur la signification du dénouement. Evaluation sommative / Sujet de Bep (Montpellier 1999) 2h *S’informer sur un peintre/cythère/la Régence/le pèlerinage *Observer et interpréter la composition, la gamme des couleurs, l’occupation

poétique de la rupture baroque 2 - Acte III scène 2 : la tentation du pauvre – une scène de séduction ? 3 - Acte III scène 1 : itinérance baroque et considérations sur le monde – Sganarelle : un médecin malgré lui ? 4 - Acte V scènes 5 et 6 : le dénouement – une dramatisation surprenante des vanités ou une fin attendue ? Documents complémentaires - une œuvre picturale choisie personnellement par les élèves sur le thème de la vanité. - une œuvre picturale sur Sardanapale – Eugène de Lacroix -

celui de Shakespeare mais scène un peu tournée vers le ridicule, ex: Cyrano : gros nez, laid, physique, + âgé → un mélange de comique et de tragique qu'il n'y a pas chez Shakespeare (Shakespeare seulement lyrique) b) critique de la préciosité : Rostand fait son Molière, comme dans Les Précieuses ridicules. C'est une parodie de la critique de la «Précieuse ridicule ». D'ailleurs la pièce Cyrano de Bergerac se passe au 17e siècle. Une précieuse : une femme de l'aristocratie/bourgeoisie qui tient des

reprendre l’affaire familiale → Il fonde en 1643 « l’Illustre Théâtre » → objectif de « faire rire les honnêtes gens » → parcourt la province de 1646 à 1658 → 1658, il joue le Docteur Amoureux devant le roi Louis XIV et gagne sa protection → les Précieuses ridicules en 1659 →  L’Ecole des femmes, La Critique de l’École des femmes → Tartuffe l’hypocrisie religieuse fut interdite de représentation pendant 5 ans → Don Juan le hissent au rang du plus grand artiste de son époque → Le malade imaginaire. Au cours

participent du plaisir et du jeu du texte. Ne possédant pas de psychologie propre, ils agissent de façon mécanique et stéréotypée mais leur définition même se fonde sur une observation de la « vraie vie » dont ils sont un ersatz excessif et souvent ridicule, voire grotesque. Ils participent du plaisir du langage en cela qu'ils jouent avec ses codes, comme Bridaine dont le monologue de lamentation dans la salle à manger relève du comique par subversion du langage pathétique. Le langage est inversé, presque

Merteuil, aveuglée par la jalousie et le désir de vengeance, elle est désemparée par la mort de Valmont auquel elle vouait une passion secrète.  Dramatisation. La dernière partie multiplie les effets propres à dramatiser la fureur tragique du dénouement : - sombre mélodie de la musique de George Fenton. - plans en plongées, parfois décadrés (cf. le plan en plongée verticale de Valmont tué en duel). - montage alterné de la Passion de Tourvel et du suicide de Valmont. - colère irrépressible de Valmont

basse. Style familier (imitation langage ordinaire), dénouement toujours heureux, univers toujours actuel et proche du spectateur. Elle veut plaire en instruisant. Met en place morale pragmatique, voire cynique. Audace que la comédie bienséante du siècle suivant s’empressera d’oublier. 5. La tragédie : du lyrisme à l’action Elle représente des personnes de condition élevée et de caractère historique. Style haut. Dénouement le plus souvent malheureux (heureux : tragi-comédie)

poésie épique, l'hyperbole est fréquemment employée ainsi que les comparaisons grandioses. La poésie satirique Dans son sens premier, la satire est un poème de forme libre, à rimes plates AA / BB / CC. Le poème satirique critique les vices et les ridicules des hommes, qu'il s'agisse d'individus ou de groupes sociaux, ou encore de toute une société. Lire, par exemple, les Satires de Boileau ou « Monsieur Prudhomme » (Verlaine, Poèmes saturniens, 1866). La tonalité est bien souvent ironique et / ou

préciosité, la galanterie mondaine…). Mais sa peinture dépasse toujours le cadre de son temps grâce à son invention dramaturgique qui lui permet de créer de nouveaux types, dont les travers peuvent résonner de façon universelle : le libertin, la précieuse, le misanthrope. © Éditions Belin/Éditions Gallimard, 2009. 4 Dom Ju a n Arrêt sur lecture 2 p. 48-52 Pour comprendre l’essentiel p. 48-49 Dom Juan, un aristocrate à la campagne L’acte II s’ouvre sur un lieu différent et de nouveaux

haute que la leur. Les nouveaux riches arrivistes ne sont ainsi sont pas épargnés par Cohen, et certaines descriptions pleines d’ironie rappelle celle de Proust dans La Recherche. Quant à madame de Ventradour, elle incarne vraisemblablement les Précieuse ridicules de Moliére.Don juan par ailleurs est aussi un des mythe utilisé par le roman et ses personnages: libertin face à Dieu, et face aux femmes, Solal construit tout un artefact amoureux qu’il expose à Arianne au chapitre XXXV : « ensuite elle est