Le Départ Des Poilus

Uniforme gris et casque à pointe Autriche-Hongrie = pas une armée nationale. N’est pas crainte. TOTAL : 120 millions d’hommes (avec colonies) Meilleures conditions militaires De la guerre de mouvement à la guerre des tranchées Au départ, il y a une guerre de mouvement, les allemands veulent frapper vite et fort en France pour aller attaquer la Russie et ne pas se battre sur deux fronts. En septembre 1914, a lieu une première vraie bataille, les français se retournent et font face

Rouget de Lisle en 1792 qui est chantée par les soldats français en route pour la guerre, il marque dans le cycle le départ d’une guerre. Le tableau de 1937 « Guernica » de Pablo Picasso est la quatrième œuvre, elle a été dessiné suite à un massacre dans une ville résistante espagnole, Guernica, pendant la guerre civile espagnole (1936-1939) puis vient une lettre d’Albert, un poilu de la première guerre mondiale. Le poème suivant est Le dormeur du Val d’Arthur Rimbaud en 1870, « La Guerre » d’Otto

essaye de limiter au maximum les déperditions de chaleur. L'organisme va ainsi concentrer la circulation sanguine autour des organes vitaux, et délaisser les petits vaisseaux sanguins au niveau des mains et des pieds (engelure, gelure,onglets). Au depart ce phenomene est un mecanisme de defense, les doigts sont parcouru de vaisseaux sanguins qui draine jusqu'a l'extremiter de la chaleur , l'ennui c'est que une parti de cette chaleur est perdu et se dissipe dans l'athmosphere, alors quand il fait tres

45 km. L’offensive est précédée par une intense préparation d’artillerie. Pendant une semaine, 1,6 million d’obus tombent sur les lignes allemandes. Les Alliés sont persuadés d’avoir liquidé toute résistance du côté ennemi. L’offensive de la Somme, au départ offensive de rupture, se transforme progressivement en une guerre d’usure. La plupart des soldats anglais sont des engagés volontaires qui n’ont aucune expérience du feu. Dès les premières minutes, ils succombent en grand nombre dans les barbelés

contre l’abomination de la guerre, le faux honneur de l’armée, l’incapacité de certains généraux, le bon marché que le commandement faisait de la vie humaine, cette chair à canon, garde toute sa force. En tout cas, l’attaque impossible ou les poilus tombent et meurent, reste un très beau morceau de cinéma. Saluons aussi Kirk Douglas, coproducteur du film en même temps que son interprète .On a dit que ce film insultait l’armée française, ce qui est purement idiot. Dans toute s les armées du monde

LA PREMIÈRE GUERRE MONDIALE (1914-1918) UNE GUERRE TOTALE Introduction Un point de départ pour la guerre, l'année 1914. Géographiquement, on trouve 2 grands empires coloniaux : le Royaume-Uni et la France et 3 grands empires : l'Empire Russe, l'Empire Allemand, l'Empire Austro-hongrois et un empire oriental (l'empire Ottoman). Politiquement : 2 grandes alliances défensives entre des accords alliés : La Triple entente (France, Russie, Royaume-Uni) La Triple alliance (Allemand, Austro-hongrois

la mort banalisée ? ► L’expérience tragique du feu : la confrontation avec la mort de masse. Jamais les soldats n’avaient été aussi exposés à la mort dans les conflits précédents : dans les 5 premiers mois de cette guerre la moyenne des Français (« Poilus ») tués est de 2737 par jour… 20 000 Britanniques sont morts le premier jour de la bataille de la Somme. Les bombardements d’artillerie p.84 (violence aveugle) occasionnent environ 75% des pertes directes ; les éclats d’obus tuent, mutilent, défigurent

climat particulier, fortement imprégné de pacifisme et de coopération internationale cherchant à remplacer la logique des alliances et d'armement à une logique de sécurité collective. Après le tournant international de 1924, la SDN prend un nouveau départ et on assiste à une mise en œuvre diplomatique et concrète des idées pacifistes. Le pacifisme de l'entre-deux-guerres est avant tout et constamment présent chez les pays sortis bénéficiaires du conflit : la France et la Grande Bretagne. En effet

se concentrent sur le seul moment que l'on pourrait dire tonique de 14-18, avant l'immobilisation du front et l'enterrement dans les tranchées ; et sur son moment le plus dramatique, les défaites d'août succédant à l'enthousiasme du départ, avant que la situation s'inverse avec les combats victorieux de la Marne. Le récit de Lintier s'achève fin septembre, une blessure à la main conduisant son protagoniste à l'hôpital, loin du front. Celui de Galtier- Boissière prend fin le 15

mondiale, l'Union sacrée (union de toutes les forces politiques pour la défense de la patrie) se retrouve dans la presse. Les journaux ne cessent de glorifier l'héroïsme de nos soldats et de diaboliser l'ennemi pour renforcer la haine du "Bosh", les poilus parlent de bourrage de crâne pour dénoncer cette forme de propagande. Au fil des années, une presse plus critique tente de se développer : Le canard enchainé crée en 1915 qui dénonce sur un mode satirique, le bourrage de crâne. Mais il se heurte