Le Désir Est De Liberté Ou De Servitude

Félix Delporto 9e Leroy Note de lecture : « 1984 » de George Orwell De George Orwell ;« 1984 » ; Gallimard ;2018 a. Système totalitaire (despotisme) « Guerre est paix, liberté est servitude, ignorance est puissance » Dans le livre, l’autorité maintient en place la société qui a vu le jour telle qu’elle est, en Océanie (à Londres) après la Révolution. Cette autorité/ce pouvoir est un despotisme dont le tyran est «  BIG BROTHER » (le sauveur

la conscience. Problématique: Nous sommes ici questionnés non point exactement sur la liberté, mais sur le fait d’être libre. Etre à l’origine de ses choix, ne pas être en état de servitude, échapper aux diverses contraintes qui pèsent sur nous, est-ce être autonome, c’est-à-dire obéir à des règles ou lois dont on est soi-même l’auteur ? Ce qui revient à poser la question suivante : la liberté se confond-elle avec l’obéissance à des règles que l’on s’impose soi-même ? Etre libre est-ce être

de l’histoire et en traçant le portrait d’un protagoniste qui a sa propre définition de la liberté que l’on retrouve dans ce roman un réel désir de voir une véritable indépendance d’esprit triompher. Tout d’abord, Gérard Bessette illustre avec ironie la situation de censure dans laquelle le Québec se trouve dans les années 1950, en mettant en lumière tout le ridicule de ce manque de liberté. Cette situation se reflète directement à travers le Capharnaüm se trouvant dans la librairie

changement de mœurs, d’idées et de sentiments. Cet état social démocratique se définit comme un état moral (un état des mœurs, des sentiments, de l’intellectuel.) Dans quelle mesure ces nouvelles mœurs, sentiments et idées peuvent menacer la liberté ? Renforcer la liberté ? Fait Générateur  Grande Révolution Démocratique  Processus Graduel d’égalisation des conditions  État social démocratique (nouvelle forme de société)  État moral (mœurs), sentimental (sentiments) et intellectuel (idées)  État

forme du contrat social de l’homme et de la femme”: → réfléchir sur l’institution du mariage → rappel Rousseau = propose un nouveau contrat d’union plus juste - post scriptum: allusion à l’actualité (discours Talleyrand de l’Education nationale) = désir d’inscrire son texte dans son temps B- Un écrit composite: multiplication des destinataires: la reine, les hommes, l’AN et les femmes genre juridique: vocabulaire juridique très présent + tournures généralisantes, ressemble à un texte de lois, “devoir”

« les gardes masquaient la lumière » ou l’obscurité et le froid règnent. Ces univers malgré leur différence, enferment leur héros. Ils sont tous prisonniers. Ils sont la proie d’autres êtres. Roxane est la proie d’Usbek « J’ai pu vivre dans la servitude », pour lui Roxane est un objet qui doit obéir. Le texte 3, Katow est également la proie du gouvernement chinois. Madame Bovary est la proie d’une situation qu’elle ne maitrise pas «  sa situation, telle qu’un abime se représenta ». Elle ne souffrait

que d’autres ne le sont pas. C’est précisément ce qu’il nous faudra élucider, en tentant de voir, justement, ce qui dépend de nous et ce qui ne dépend pas de nous. Enfin, nous verrons en quoi la notion de bonheur est intrinsèquement liée à celle de liberté : l’homme libre, en effet, est responsable de sa propre existence, et par conséquent de son propre bonheur. PROPOSITION POUR UN PLAN I- Qu’est-ce que le bonheur ? a) Différence entre le plaisir, la joie et la béatitude. Aristote – Spinoza

Introduction Ce texte de Spinoza tiré du traité théologico-politique a pour thème la liberté. On pourrait être amené à penser que l’esclave est celui qui obéit à autrui et que l’homme libre est celui qui fait entièrement ce qui lui plait. Mais l’obéissance est-elle nécessairement exclusive de la liberté et être libre est-ce faire tout ce qui nous plait ? Spinoza nous démontre ici le contraire en allant à l’encontre de l’opinion commune, en effet il fait d’abord la critique de la première opinion

qui s’est accoutumé à la liberté et à l’impartialité de la contemplation philosophique, conservera quelque chose de cette liberté et de cette impartialité dans le monde de l’action et de l’émotion; il verra dans ses désirs et dans ses buts les parties d’un tout, et il les regardera avec détachement comme les fragments infinitésimaux d’un monde qui ne peut être affecté par les préoccupations d’un seul être humain. L’impartialité qui, dans la contemplation, naît d’un désir désintéressé de la vérité

........ 40 Le corps humain et l’âme humaine ................................ 43 Indications de lecture .................................................... 48 Chapitre 3 : La servitude passionnelle ........................ 49 2 « Persévérer dans son être » .......................................... 49 Le désir........................................................................... 52 Les passions ................................................................... 55 Les hommes naturellement