Le Désir Peut Il Se Satisfaire De La Réalité

Introduction. Etymologiquement, le mot « désir », de « désirer », provient du latin desiderare qui signifie « regretter l’absence de quelqu’un ou de quelque chose ». Le désir se distingue du besoin, simple incitation physiologique. Je peux, par exemple, éprouver des crampes d’estomac sans savoir que ma douleur tient au manque de nourriture. Le désir est la tendance devenue consciente de son objet. Je prends conscience que j’ai faim et mon désir va alors se rapporter à un objet précis : telle ou

Peut-on désirer sans souffrir ? Le désir représente la volonté de posséder quelqu'un ou quelque chose. Il existe depuis tout temps et se représente sous différents aspects, qu'il s' agisse du désir originel qui peut être source de plaisir et d' envies ou des désirs particuliers qui surviennent une fois que le sujet est satisfait de ses besoins vitaux et primaires. Mais ce désir qui conduit au besoin et non plus à la volonté de posséder peut nous conduire à la souffrance car en effet, le sujet

une production du désir : Christophe Colomb désirait atteindre le continent indien par voie maritime et en accostant sur le continent américain. Il pensait qu’il avait réellement réalisé son désir. Selon Freud, Christophe Colomb était dans l’illusion, plutôt que dans l’erreur. Donc on peut dire que l’illusion renvoi à un souhait intime Ce qui caractérise l'illusion, et la distingue de la simple erreur c'est la part de désir qu'elle contient ou le besoin qu'elle cherche à satisfaire lorsqu'elle nous

Ce texte évoque le thème du désir mais également du bonheur. Le bonheur réside dans la satisfaction de nos désirs. Or, nos désirs, embellis par notre imaginaire, ne sont pas toujours réalisables entrainant souffrance, déception, frustration. Malheureusement, le désir ne se fixe pas de limite, en effet l’impossible, l’irréel attire. Sommes-nous alors contraints à vivre dans l’éternelle insatisfaction ? Ou ne faudrait-il pas plutôt réduire l’écart entre le réel et le désir, afin de pouvoir réaliser tous

nouscomble. Si nous acceptons une telle définition, n’allons-nous pas être condamné à ne jamais être heureux ? En effet, la satisfaction complète des désirs semble impossible dans la mesure d’une part où l’assouvissement d’un désir est très souvent l’origine d’un nouveau désir de telle manière que la quête du bonheur serait sans fin, et que, d’autre part, tout choix d’un projet de vie semble impliquer qu’un privilège soit donné à certaines aspirations, au détriment d’autres. De plus, le fait que le

nous comble. Si nous acceptons une telle définition, n’allons-nous pas être condamné à ne jamais être heureux ? En effet, la satisfaction complète des désirs semble impossible dans la mesure d’une part où l’assouvissement d’un désir est très souvent l’origine d’un nouveau désir de telle manière que la quête du bonheur serait sans fin, et que, d’autre part, tout choix d’un projet de vie semble impliquer qu’un privilège soit donné à certaines aspirations, au détriment d’autres. De plus, le fait que le

contre sa propre nature. C’est le contrôle des désirs qui permet le bonheur : en respectant, en régulant et en évitant certains désirs. Prenons l’exemple des désirs naturels et non nécessaires : « un mets raffiné peut satisfaire en plus les papilles gustatives ». Ce plaisir, qui satisfait un désir du corps, est accepté mais doit être contrôlé pour ne pas créer une dépendance, qui entraînerait une perte d’autonomie. Ainsi, il n’est pas nécessaire au bonheur. De plus, les dieux n’ont aucune influence sur

travail: directions d'entreprise, services du personnel, nombreux cabinets d'organisation. Un véritable courant poussant à la restructuration des tâches, à la mise en place de nouvelles formes d'organisation du travail se dessine actuellement. On ne peut dire qu'il se généralise dans les entreprises européennes, mais il a donné lieu à des expériences pilotes. II est à la source des idées de groupes autonomes et d'enrichissement des tâches et, en partie, de celles de cercles de qualité. Au stade de

philosophes. Ces deux notions sont bien plus complexes qu'ils ne le supposent au départ. En effet après une certaine analyse ,on constate que selon le point de vue,la représentation qui en est faite peut différer. Le bonheur est un état d'être, une sensation de bien-être, de satisfaction ressentie. Il peut aussi être associé à la chance, à la chance d'avoir accès aux bonnes choses de la vie, avoir la chance de se sentir aimer, d'exister pour un certain nombre de personnes. Cela est appréciable de pouvoir

d’Athènes et le seul qui a voulu le bien véritable de ses concitoyens. Ensuite, faire une critique de cet « art » qu’est la rhétorique et que Platon dénonce comme inutile (peut être aussi car c’est l’exercice de la rhétorique qui a provoqué la condamnation de Socrate). A cette époque, l’Académie vient d’être fondée et Platon désire y attirer les jeunes pour les former à une philosophie nouvelle, inspirée de la dialectique de Socrate. En effet, beaucoup d’entre eux souhaitent mener une carrière politique