Le Désir Se Satisfait Il De La Réalité

Philosophie. Explication de texte : S.FREUD, Malaise dans la civilisation. S.FREUD, dans un extrait assez pessimiste de son ouvrage Malaise dans la civilisation démontre l’idée que l’homme désire être heureux pour éviter les souffrances qui le menace et insiste sur le fait que ce bonheur n’est qu’éphémère puisqu’il résulte par ailleurs de changements successifs. D’autant plus le philosophe démontre selon lui que la persistance à obtenir un plaisir ne va en résulté qu’un « bien-être assez

Désir : le désir n'est pas le besoin. Ce qui caractérise le besoin est qu'il doit toujours être satisfait sous peine de mort. Si je ne satisfais pas un désir, je ne meurs pas pour autant. Le besoin est naturel (et aussi animal), le désir est culturel et humain. Par exemple, le désir sexuel est un besoin pour l'espèce (elle disparaît s'il n'est pas satisfait) mais un désir pour l'individu (on ne meurt pas de ne pas le satisfaire). Le désir est la recherche d'un objet que l'on imagine ou que l'on

amicale de la famille, un bon travail, et aussi une bonne santé…Le bonheur est tellement simple qu’il est autour de chacun entre nous. Mais la réalité, c’est que l’on ne cesse de le chercher et ne se sent jamais satisfait. Pourquoi? La réponse est bien clair—le désir, le désir insatiable. Généralement, il existe deux sortes de désirs : le désir matériel et le désir spirituel. Le premier, c’est plutôt un besoin vital et des aspirations du corps, qui est indispensable à la vie; le dernier est plus psychologique

pas forcément une erreur, toute erreur n’est pas une illusion. Le trait distinctif de l’illusion, c’est qu’elle flatte nos désirs et sans doute en dérive (Freud). L’illusion, c’est le réel teinté aux couleurs de nos désirs. L’illusion corrige la réalité pour la rendre conforme à nos désirs. D’où sa force : alors que l’erreur réfutée disparaît (Spinoza), une illusion réfutée cent fois peut fort bien se maintenir. Tel est le cas de la religion selon Freud, qui se maintient malgré toutes les réfutations

L’illusion, c’est une erreur de perception, un leurre qui nous fait mettre l’imaginaire sur le compte de la réalité, mais nous sommes en fait dupés. L’illusion déforme le réel comme un mirage, mais nous nous en rendons compte qu’ultérieurement. Or le bonheur est un état recherché de pleine et entière satisfaction, un sentiment d’élévation et de transport qui nous rend heureux. Mais ce sentiment, en disparaissant, ne nous fait-il pas prendre conscience qu’il était en fait qu’illusoire ? Ne ressentons-nous

L’homme désire pour combler un manque. Au contraire de ses besoins qui lui sont imposés, chaque être cherche à laisser libre cours à ses désirs qui poussent l’homme à vouloir tous les satisfaire. Selon Schopenhauer, "Le sujet humain, est, essentiellement un être de désir", il est donc toujours habité par une multiplicité foisonnante de désirs qui lui sont propres et qui le définissent : "mes désirs" ne sont pas "tous" les désirs. L'imagination de chacun va-t-elle nourrir ses désirs ? Et arrivera-t-elle

lorsqu' on commence à avoir de l’amour. Cette première cristallisation est un idéal que l’on donne auxautres personnes, la laideur se transforme en beauté, il y a une idéalisation de son/sa partenaire. Cette cinquième étape serait liée à nos désirs ( le désir est la recherche d’un objet que l’on imagine ou que l’on sait êtres source de satisfaction)personnel que l’humain qu’on perfectionne doit satisfaire et donc aussi liée à notre imagination qui serait indispensable à la réussite de l’amour avec son image

naturels mais non nécessaire ( le sexe) et les désirs vains ( imaginaire : l'argent l'opinion l'amour) qui ne peuvent pas être satisfait. Ainsi le bonheur chez Épicure réside dans la tempérance qui est un bonheur médiat comme Socrate. Mais le bonheur est aussi immédiat car je prend plaisir au moment présent. Le plaisir est un équilibre qu’il faut atteindre entre le désir et le risque toujours imminent de la frustration. C'est un peu comme vivre à la façon Amélie poulain qui s'offre une vie sans

Le désir, signe d'un manque Tout désir est toujours le signe d'une insatisfaction. Tout désir est le signe d'un manque. Si je désire quelque chose, c'est que je ne le possède pas. Entre savoir et ignorance, Amour est intermédiaire. Voici ce qui en est. Parmi les dieux, il n'y en a aucun qui s'emploie à philosopher, aucun qui ait envie de devenir sage, car il l'est; ne s'emploie pas non plus à philosopher, quiconque d'autre est sage. Mais pas davantage les ignorants ne s'emploient, de leur côté

contrôle des désirs qui permet le bonheur : en respectant, en régulant et en évitant certains désirs. Prenons l’exemple des désirs naturels et non nécessaires : « un mets raffiné peut satisfaire en plus les papilles gustatives ». Ce plaisir, qui satisfait un désir du corps, est accepté mais doit être contrôlé pour ne pas créer une dépendance, qui entraînerait une perte d’autonomie. Ainsi, il n’est pas nécessaire au bonheur. De plus, les dieux n’ont aucune influence sur le vivant. En effet, ils n’ont pas