Le Détour Du Langage

Problématique : Mais le théâtre n'est-il qu'artifice et conventions, ou l'illusion théâtrale dévoile-t-elle la vérité ? Annonce du plan : S'il n'est pas « le pays du réel » (Hugo), le théâtre ne dépasse-t-il pas l'artifice pour nous conduire par des détours à ce que Hugo appelle « le vrai » ? I. Le théâtre : artifice, illusion et faux-semblants Le théâtre est surtout représentation. Or, représenter signifie « remplacer », « tenir lieu de » : le verbe implique la notion d'illusion. Et, de fait, rien

Problématique : Mais le théâtre n'est-il qu'artifice et conventions, ou l'illusion théâtrale dévoile-t-elle la vérité ? Annonce du plan : S'il n'est pas « le pays du réel » (Hugo), le théâtre ne dépasse-t-il pas l'artifice pour nous conduire par des détours à ce que Hugo appelle « le vrai » ? I. Le théâtre : artifice, illusion et faux-semblants Le théâtre est surtout représentation. Or, représenter signifie « remplacer », « tenir lieu de » : le verbe implique la notion d'illusion. Et, de fait, rien

Le langage nous éloigne – t – il de la réalité ? La réalité est ce qui existe indépendamment de nos représentations (la façon d’imaginer…). La réalité sous-entend la même chose pour tous. Il y a différentes formes de la réalité, c’est-à-dire la réalité physique des choses et la réalité sociale (rapport entre les individus), ce qui amène donc à dire qu’il y a de multiple façon d’approcher la réalité. Ce qui est infirmé dans cette question est qu’on est au contact de la réalité et que donc

la fonction primitive du langage ? C’est d’établir une communication en vue d’une coopération. Le langage transmet des ordres ou des avertissements. Il prescrit ou il décrit. Dans le premier cas, c’est l’appel à l’action immédiate ; dans le second, c’est le signalement de la chose ou de quelqu’une de ses propriétés, en vue de l’action future. Mais dans un cas comme dans l’autre, la fonction est industrielle, commerciale, militaire, toujours sociale. Les choses que le langage décrit ont été découpées

forme (le langage) ». Cette notion de « territoires » va permettre aux élèves d'expérimenter des pratiques variées, tant au niveau des thèmes qu'à celui des compétences : la description du monde, l'écriture autobiographique, l'invention d'histoires et les jeux du langage et du signifiant. Chaque proposition vise à déclencher le désir et le plaisir d'écrire : ce peut être la lecture d'incipit, de brefs récits, d'ex­traits, la présentation de situations fictionnelles, de jeux de langage... Le temps

étudiants du Lycée Langevin à Martigues BTS BLANC Culture Générale et Expression Aucun matériel n’est autorisé Première partie : SYNTHESE (40 points). Le détour Vous rédigerez une synthèse concise, objective et ordonnée des documents suivants : Document 1 : Nicolas Millet, « Comprendre la nécessité du détour par les Idées », Le Monde (24 janvier 2008). Document 2 : Jean de La Fontaine, « Le Pouvoir des fables », Fables (1693). Document 3 : Pierre Choderlos de Laclos, Les

aussi assez naïve quand elle est amoureuse. C'est une jeune femme qui vit au jour le jour et qui ne réfléchit pas trop avant d'agir. Ses coups d'impulsivité lui vaudront d'ailleurs quelques problèmes. Le comte Muffat est un homme âgé, niais, au langage châtié. Très attiré par Nana, le comte sera un de ses amants bien qu’il soit marié. Il a d’ailleurs très peur de l’enfer et a un fort esprit religieux. Par ce personnage, ZOLA veut décrire l’Empire et son immoralité ainsi que son luxe qui vont conduire

͘͘͘͘͘͘͘͘͘͘͘͘͘͘͘͘͘͘͘͘͘͘͘͘͘͘͘͘͘͘͘͘͘͘͘͘͘͘͘͘͘͘͘͘͘͘͘͘͘͘͘͘͘͘ ϰ III. Les techniques de créativités͘͘͘͘͘͘͘͘͘͘͘͘͘͘͘͘͘͘͘͘͘͘͘͘͘͘͘͘͘͘͘͘͘͘͘͘͘͘͘͘͘͘͘͘͘͘͘͘͘͘͘͘͘͘͘͘͘͘͘͘͘͘͘͘͘͘͘͘͘͘͘͘͘͘͘͘͘͘͘͘͘͘͘͘͘͘͘͘͘͘͘͘͘͘͘͘͘͘ ϱ A. Famille technique 1 - Les techniques de détour :͘͘͘͘͘͘͘͘͘͘͘͘͘͘͘͘͘͘͘͘͘͘͘͘͘͘͘͘͘͘͘͘͘͘͘͘͘͘͘͘͘͘͘͘͘͘͘͘͘͘͘͘͘͘͘͘͘͘͘͘͘͘͘͘ ϱ 1. Techniques de déformation͘͘͘͘͘͘͘͘͘͘͘͘͘͘͘͘͘͘͘͘͘͘͘͘͘͘͘͘͘͘͘͘͘͘͘͘͘͘͘͘͘͘͘͘͘͘͘͘͘͘͘͘͘͘͘͘͘͘͘͘͘͘͘͘͘͘͘͘͘͘͘͘͘͘͘͘͘͘͘͘͘͘͘͘͘͘͘͘͘͘͘͘͘͘͘͘͘ ϱ 2. Techniques de rencontres forcées͘͘͘͘͘

» aux « pieds ». Cela exprime le mépris que l’auteur ressent : Il a l’impression qu’on l’écrase. L3 : Les pronoms « elle » et « on » montre l’opposition de la boue et des gens en général (sauf le poète). « Honnit » langage difficile « elle rend la marche difficile » langage simple des gens qui s’expriment. Et pourtant 12 syllabes (alexandrin blanc) cela donne un aspect poétique L4 : aspect moral de la boue. Cela est très abstrait : les gens parlent mal de la boue (personnalisation de la

Vers 339-378 : Oronte demande l’avis d’Alceste qui le donne indirectement en employant des détours rhétorique. Explications du passage des vers 305 à 314. 1) Il est d’usage à l’époque de lire ses compositions à ses proches. Le sonnet est apprécié l’époque de Molière. Il s’agit d’une œuvre de convention où l’on retrouve les lieux communs où clichés, le langage galant pour parler de l’amour. Exemple de se langage soutenu : « Le trépas sera mon recours ». On trouve aussi le nom propre de Philis, qui comme