Le Fanatisme Religieux Est Il Justifié

l’amant en mari alors que le pacte devant Dieu n’est pas signé : le but est de dissocier l’amour du devoir de l’épouse. - Adultère : « toujours éviter autant qu’il est possible » = antithèse : le père Tout-à-tous dit ce qui l’arrange. - La fin justifie les moyens : « pur » et « généreux » opposé à « immonde ». - Pardon : « je prierai Dieu pour vous». B) Il manipule la langue - Oppositions : « honnête » / « mondain » ; « mari » / « amant ». - Utilisation du conditionnel : sait ce qu’il se

critique la société européenne, en caricaturant ce monde parfait pour nous montré que l’on doit faire avec ce que l’on a. C'est-à-dire que le bonheur est une quête perpétuel. Candide part avec la richesse pour récupérer Cunégonde. 3) FANATISME RELIGIEUX. Cf. étude du chapitre n°6. La critique est présente aussi avec les jésuites qui exploitent les indiens (conte philosophique dont l’auteur prend appuis sur des faits réels en les romançant). 4) REFUTATION DE L’OPTIMISME ET MORALE

ailleurs, une antiphrase est utilisée pour dénoncer la disproportion de l’autodafé. Voltaire critique la conception leibnizienne en utilisant Pangloss comme fidèle de Leibniz. Ainsi, il dénonce à la fois la vision de Leibniz, mais aussi le fanatisme envers quelques théories optimistes. Voltaire joue avec d’une part l’onomastique : Pangloss tire ses origines de « tout » (pan) et « gloser » (gloss), d’autre part avec l’insertion de « nigo » au milieu du long mélange de disciplines. Les paroles

aberrante: anticipation de la faute de l'esclave, qui justifie le châtiment ("quand nous voulons nous enfuir"). L'erreur, la maladresse est transformée en faute (pour un doigt, toute la main est amputée). 2°) Les termes à double sens: jeu ironique sur l'onomastique: Vanderdendur (dent dure), "le fameux négociant" (terme mélioratif qui ne fait que souligner que le négociant est surtout célèbre par sa cruauté). Désignation ironique des religieux hollandais par le terme dégradant, humiliant, de

Critique du pouvoir religieux sous Louis XIV Sous Louis XIV, au dix-septième siècle c’est la monarchie absolue du droit divin. C’est un régime politique où le roi ne partage son autorité avec personne et n’admet aucune limite à son pouvoir qu’il justifie par le droit divin. Il est choisi par Dieu et n’a de compte à rendre qu’à Dieu et doit par conséquent se plier à l’ordre religieux. Le théâtre a mis en place des stratagèmes pour contourner la censure et diverse pressions politiques et religieuses

difficultés qui mettaient le prieur fort en peine. Il était obligé souvent de consulter l’abbé de saint-Yves qui, ne sachant que répondre, fit venir un jésuite bas-breton pour achever la conversion du huron. » (l.8-9). Insistance sur l’embarras des religieux avec les expressions « mettaient le prieur fort en peine » et « ne sachant que répondre » + ils doivent se mettre à trois pour venir à bout des interrogations de l’Ingénu. L’élève corrige le maître (fin du texte) – III. LA CRITIQUE RELIGIEUSE

ensuite d’un malade, et qqun qui a l’art de la psychologie va persuader un individu (plus une généralité mais un particulier) . qqun qui n’a pas de psychologie ne sera jamais bon… I) des faits aux arguments : un argument est la facon de justifier une thèse, preuves, raisonnements, opinions… on est dans le domaine des idées. Un argument n’est pas admissible s’il n’est pas soutenu par du concrès. Le seul type d’exemple qui emport la décision est le fait, il sera le seul à obtenir le consensus

atteindre le niveau de culture souhaitée. b. Religion C’est l’ensemble des croyances, des dogmes et pratiques définissant le rapport de l’homme avec la divinité ou le sacré. c. Sécularisation La sécularisation est l’action transitoire entre un état religieux et un état laïque. II. Rapport entre Éducation et Religion L’éducation se présente aujourd’hui comme une tâche complexe, ayant à affronter des rapides changements sociaux, économiques et culturels. Sa mission spécifique demeure la formation intégrale

l’ordre politique chrétien. En conséquence, l’Europe du XVIe siècle a sombré dans une spirale de violence théologico-politique, où les différences doctrinales ont nourri les divisions politiques, renforçant en retour les oppositions sur le plan religieux. Les philosophes de l’époque, pour échapper au cycle infernal de la violence, n’ont pas cherché à réformer la théologie politique chrétienne. Ils ont au contraire posé les fondations d’une pensée politique radicalement nouvelle, définitivement affranchie

Lecture analytique : Candide, Chapitre I. L’auteur : L’auteur de Candide est Voltaire (1694-1778), écrivain du 18°siècle. Il était le chef de file des philosophes des Lumières. Il a combattu durant sa vie le fanatisme religieux. Cependant il était déiste (Croyance en un Dieu, et en une relation direct avec lui, sans l’intermédiaire du clergé). Il a participé à la rédaction de l’Encyclopédie et il est connu pour des textes tels que Candide ou Les Lettres Philosophiques. Une des armes favorites