Le Fanfaron

comédien. Grace a ce métier qu'il exerce avec grand talent il obtient la reconnaissance des gens. Matamore: origine Matamoros (tueur des morts) signifie l'héroïsme en Espagne mais en france il a une signification comique. Matamore est un personnage Fanfaron et ventard, il représente un personnage baroque car il est faux et fourbe comme le montre la scène 2 de l'acte 2. Il se compare au dieu de la guerre et de l'amour alors que c'est le plus lache des hommes et le plus ridicules des amants. Le comique

« baisser la tête », geste de soumission dévalorisé ou considéré comme dévalorisant par le Chêne. b) la souplesse du Roseau - Réponse « souple » faite au Chêne même si ses premiers mots montrent que le Roseau n’est pas dupe de la fanfaronne rie de son attitude ( « votre compassion » ) plus rythme des vers, apaisé et calme. - V.21 « Je plie et ne romps pas. », « et » = « mais » et ailleurs « l’Arbre tient bon ; le Roseau plie », qui permet au Roseau de survivre. Parallèlement, après

« entassa » (V,8), « égorgea » (V.9), « dévasta » (V.9)) qui s’enchaînent rapidement. Les paroles attribuées au personnage soulignent sa vanité ; il se vante de son succès (« je suis le vainqueur » (V.5-6), « le roi sombre des nuits » (V.6)) et fanfaronne (« devant moi tout recule » (V.15)). Le titre sert de repère pour comprendre l'argumentation et la morale du texte. Le premier terme renvoie à l’anecdote animalière, tandis que le second, qui a une majuscule, introduit la situation historique. Le

du masque a)l’apparence du courage : le faux brave Le personnage de Matamore est le plus représentatif de cette attitude. Ce personnage est en quelque sorte à l’origine de la pièce : l’acteur Bellemore, spécialisé dans les rôles de guerriers fanfarons vient d’être engagé au théâtre du Marais pour attirer le public, il faut donc une pièce qui lui permette d’exercer ses talents comiques. Ce personnage est un type littéraire, plus qu’un vrai personnage (il serait alors défini comme une entité

imaginaire du théâtre. Ce n’est pas la profondeur psychologique qui les caractérise mais l’accumulation des qualités physiques ou morales pour les héros, et les défauts pour les opposants. Ainsi Matamore, comme son nom l’indique, est un faux brave, un fanfaron. Donc dans cette pièce on énumère indirectement les défauts de ce dernier (illusion comique). Nicomède, au contraire, est un guerrier redoutable et un amoureux passionné. Donc, ici en l’occurrence, on énumère indirectement les qualités de ce dernier

pervertie, pour commettre des choses indignes ; ils sont remplis de toute espèce d’injustice, de méchanceté, de cupidité, de perfidie ; pleins d’envie, de meurtre, de querelle, de ruse, de vice ; rapporteurs, médisants, impies, arrogants, orgueilleux, fanfarons, ingénieux au mal, rebelles à leur parents, sans intelligence, sans loyauté, sans affection naturelle, sans pitié. » Ces exemples de péchés sont tout à fait comparables à ceux qui surviennent lors de la Chute de Dostoïevski : l’union et l’harmonie

-Pierrot un personnage solitaire et farcesque il est le rival d’arlequin -Colombine elle est rêveuse, malicieuse. Représentante de l’amour. -Arlequin lui il est amoureux de Colombine et rival de Pierrot. Il est taquin et fourbe. -Scaramouche est un fanfaron vantard et peureux son caractère se rapproche de celui de Pulcinella. -Pulcinella lui, est un valet d’origine paysanne, rusé, grossier, simple, disgracieux, spirituel et gourmand. -Cassandre est un vieillard dupe qui se laisse avoir facilement

préalablement sous d'autres auspices étaient attachés aux mêmes valeurs que les miennes. Même si la sérénité n’était pas trop mienne je me suis senti tout de suite beaucoup mieux et surtout beaucoup plus confiant …. mais j’étais quand même loin de fanfaronner ... Deux étapes m'ont fait prendre conscience que j'étais, comment dire … passé de l'autre côté : la 1ère est le fait d'avoir prêté serment sur la bible/l'équerre et le compas. Et la seconde est ma nomination par notre vénérable maître avec

réflexion sur le théâtre I. L’éloge du tabac : Une parade parodique entre deux valets de comédie. L’éloge s’ouvre et dévoile la façade d’un palais. Mais le décor traditionnel de la tragédie, nous voyons deux valets : Sganarelle et Gusman. L’un fanfaronne, l’autre, crédule, écoute. Cette ouverture est surprenante et burlesque : décalée par rapport au décor, à la situation dramatique qui va nous être révélée, l’apologie du tabac tient plutôt de la bouffonnerie. Dom Juan adopte d’emblée le ton de la

d’appel «Aux Ursulines de… », et aussi une formule finale. Le début de la lettre présente la jeune Cécile de Volanges qui se contente de raconter son quotidien ennuyeux mais qui présente aussi sa nouvelle vie sur un ton un peu fanfaron à une amie qui se trouve au Couvent. «…que je te tiens parole, et que les bonnets et les pompons ne prennent pas tout mon temp.» Cette lettre permet à Laclos de montrer le contraste saisissant entre le couvent et le monde et démontre