Le Fantôme noir

source dans une carte distribuée pour Halloween au début du XXe siècle. Celle-ci représente une jeune femme dans le noir, un miroir face à elle, tentant d’y trouver le visage de son futur mari. Ce rituel du miroir rappelle la croyance populaire selon laquelle les jeunes filles pouvaient voir apparaître le visage de leur futur mari dès lors qu’elles remontaient un escalier dans le noir, une bougie à la main, un miroir dans l’autre. Détail macabre: si c’était le crâne de la Grande Faucheuse qui apparaissait

passe par la fenêtre, un fantôme qui appelle vers les ténèbres et qui brandit une lampe, rare éclairage du tableau. Cette lumière symbolise un message de la mort, celui qu’une vie meilleure les attend au paradis. Tout à droite, un homme brûle dans les flammes en levant les bras au ciel et représente le désir du peuple d’être délivré de ce chao. De plus, Picasso utilise une peinture aux formes dramatiques, aux contrastes violents et aux couleurs ternes, notamment le noir et le blanc. Cette absence

Le mot « nègre », dérivé de l’adjectif latin « niger » (« noir »), désigne par métonymie l’homme à la peau noire, l’Africain d’origine subsaharienne. Le mot « nègre » est aujourd’hui chargé de connotations négatives et pour cela remplacé par « noir », sauf raisons particulières comme une revendication identitaire par exemple (cf. la négritude). En relation avec la situation sociale des esclaves déportés par la traite des Noirs dans le monde occidental à partir du xvie siècle, et par extension, le

Munch écrit : « Je me promenais sur un sentier avec deux amis — le soleil se couchait. Tout d'un coup le ciel devint rouge sang. Je m'arrêtais, fatigué, et m'appuyais sur une clôture. Il y avait du sang et des langues de feu au-dessus du fjord bleu-noir et de la ville. Mes amis continuèrent, et j'y restais, tremblant d'anxiété. Je sentais un cri infini qui se passait à travers l'univers et déchirait la Nature. » L’expressionnisme : Mouvement artistique apparu au XXème siècle particulièrement en

dans le titre de son oeuvre. Ce qui frappe en effet, à une première lecture, c'est ce tableau en noir et blanc que trace Beaudelaire, plutôt noir que blanc d'ailleurs, où toute couleur, toute lumière, au sens propre comme au sens figuré, est exclue. Le cadre, c'est la grisaille d'un jour nuageux, avec ce ciel  “bas et lourd” ou, comme Beaudelaire le dit plus loin en utilisant l'oxymore, un “jour noir” , procédé de style que vient renforcer encore l'antithèse jour-nuit exprimée par l'ajout du comparatif “

une scène de souffrance et massacre, les horreurs. Il s'agit donc d'une œuvre d'art engagée, d'une œuvre d'art politique, d'une peinture d'histoire. Description : Picasso a utilisé des couleurs monochromes ce qui veut dire : blanc, gris, noir qui représente la violence et l’atrocité de la guerre. Il représente une scène intérieure où l’on voit différents animaux et personnes aux traits très déformés. La toile est découpée en plans triangulaires : Premier plan : De gauche à droite :

strident qui résonna dans toute la demeure, car elle venait de sentir un petit courant d'air froid qui la glaça de peur. Ils décidèrent enfin d'avancer à petits pas car ils ne voyaient rien, tout était très sombre, tout le château était plongé dans le noir, Marguerite était déjà effrayée et commençait à regretter son choix d'être venu passer un week-end ici. Enfin les lumières s'allumèrent, et le jeune couple sursauta de surprise en criant, tellement la peur leur étaient montés. Mais ce n'était qu'un

que le poète utilise une antithèse car l’un parle de « ciel bleu » et d’ « espoir grand » alors que l’autre parle de « ciel noir » et d’ « espoir fuyant et vaincu ». Le ciel bleu peut représenter la vie tandis que le ciel noir la mort. La troisième strophe, c'est-à-dire les deux derniers vers du poème nous rapportent vers l’idée que les deux personnages sont des fantômes puisque « seul la nuit entendit leur parole » (vers 16). De plus le lieu a changé car dans la première strophe on les trouve

COMPARAISON DES 2 OEUVRES I/ Les ressemblances 1) Jeu sur l'imagination des personnages On se demande si le "personnage considérable" n'imagine pas le fantôme d' Akaki Akakiévitch. De même pour le narrateur de la nouvelle les filles de la nuit, on se pose des questions sur le fait de savoir si le Modeleur a réellement existé puis disparus ou si il ne s'agit tout simplement pas d'une pure invention sortie tout droit de son imaginaire. Ainsi, le côté fantastique des deux nouvelles est-il

30 -La Fille de la Terreur, Yoann Le Reun p32 -L'Héritage, Noah Larnicol p33 -De l'autre côté du tableau, Hugo Jaouen p34 -L'Enfant au ciré jaune, Lena Eychenne p35 -Un Démon, Arthur Clodion p40 -L'Animal machiavélique, Thomas Madec p42 -Le Fantôme de Carhaix, Jérôme Hascoët p43 -Le Monde perdu, Klerwi Le Roux Goasmat p44 -Aurore, Gwendoline Goulard p47 -L'Invitation à danser, Kasane Thwaites p49 -Les Allumettes, Kylian Struillou p51 -Au Château de Pont L'Abbé, Rozenn Raphalen p52