Le Fascisme Italien Et Le Nazisme Allemand

notamment par des historiens comme Ian Kershaw. D'une part, ce serait un produit idéologique de la Guerre Froide, et donc pas neutre puisque forgé par des politologues américains dans ce contexte particulier, qui leur aurai permis d’assimiler l’URSS au Nazisme. En fait cela n'enlève pas au concept sa valeur scientifique. D'autre part, et surtout, un concept selon Nietzsche c'est une « Identification de choses qui ne sont pas identiques ». Effectivement, le concept théorique, une fois mis à l'épreuve

réflexion. G. Mosse s'attache à montrer le poids de l'"expérience de guerre" dans la "brutalisation du champ politique", en particulier lorsdes premières années de l'Allemagne de Weimar, et corrélativement, son rôle primordial dans l'avènement du nazisme, afin de procéder ensuite à une généralisation de cette thèse, présentée comme une histoire anthropologique et culturelle de la Grande Guerre et de ses effets sur les sociétés européennes d'après-guerre. Ce qui frappe dès lors, c'est l'impression

sont touchés par la vague révolutionnaire partie de la révolution bolchevique en Russie : Corps francs allemands et squadristi italiens redoublent de violence contre le communisme. 2) La prise de pouvoir fasciste en Italie : En Italie, la démocratie est récente (SU en 1911) et encore fragile face aux difficultés du pays. Ancien socialiste, Benito Mussolini fonde en mars 1919 les faisceaux italiens de combat. En réprimant l’agitation « rouge » en 1920-21, les « Chemises noires » s’attirent les sympathies

fascistes qui montent parfois au pouvoir. Ceux-ci, bien qu'originaux, ont une idéologie commune ; tout au long des années 30, ils vont menacer la démocratie jusqu'à provoquer la deuxième Guerre Mondiale. ILa montée des régimes totalitaires ALe fascisme apparaît d'abord en Italie 1La création des « faisceaux de combat » dans un contexte de crise Au lendemain de la guerre, l'Italie se sent flouée par les traités d'après-guerre : elle n'a pas obtenu les terres promises dans l'Entente (Istrie et

Durant la période entre les deux guerres mondiales, trois grandes formes de totalitarisme en sont ressorties: le fascisme, mouvement politique italien avec à sa tête Benito Mussolini en 1922, le nazisme, idéologie politique fondée par Hitler et suivie en masse par la population allemande en 1920, et le stalinisme, conçu par Staline au début des années 1920. Le terme " totalitarisme " désigne un régime politique ayant pour but de donner un modèle préconçu pour ce qui est de la manière de penser et

de neutralité et laisse le Mexique seul défendre les intérêts de l’Espagne Républicaine. Malgré la sympathie de certains pays latino-américains pour le fascisme, aucun ne s’allie aux pays de l’axe pendant la guerre. 1. Les réfugiés européens en Amérique latine, 1934-39. La montée de l'extrême droite et du nazisme en Europe pousse des allemands, juifs ou opposants à se réfugier en AL dès les années 1933-1934. Ils ne sont pas très nombreux comparé aux immigrations européennes entre 1860 et 1930

la ville de Dovia di Predappio située au sud du pays. Il repose aujourd'hui à Giulino di Mezzegra. Benito Mussolini est né le 29 juillet 1883 et il est mort le 28 avril 1945 . Adolf Hitler ( 1889 – 1945 ) fondateur du nazisme, chancelier et homme politique allemand a vécu en même temps que Benito Mussolini, ainsi que Philippe Pétain ( 1856 – 1951 ) héros de la Première Guerre Mondiale, chef de l'État Français qui collaborera avec Adolf Hitler durant la Seconde Guerre Mondiale. Tous deux avec

tout » proclame Mussolini. 1)Le fascisme : l'idéologie de l’État et de la Nation. Le fascisme est obsédé par le mythe de la nation unitaire, par la nostalgie de la grandeur passée de l'Italie (volonté de faire renaître un empire romain). Son ambition est de confier à un État tout puissant le contrôle de toutes les activités du pays et des individus. C'est une doctrine nationaliste, impérialiste et qui fait l'apologie de la guerre. Si le projet totalitaire italien reste empirique et inachevé (maintien

psychologique qui mène une collectivité vers un mouvement totalitaire autoritaire tel que le fascisme. C’est le désir de dominer qui prend le dessus sur l’individu. Rhinocéros est contre le fait de reléguer l’individu au second rang, derrière le régime qu’il sert, comme le communisme ou bien le fascisme, qui lui, place l’individu derrière sa «race». La fascination qu’exercait Hitler sur le peuple allemand équivaut à la fascination que les rhinocéros finissent par exercer sur la population de la

régimes ont en effet pour objectif, non seulement la conservation du pouvoir mais aussi le contrôle des esprits. Trois pays, l’Italie, l’URSS puis l’Allemagne connaissent, à tour de rôle dans l’entre-deux-guerres, des régimes totalitaires (fascisme, stalinisme et nazisme) dirigés par trois chefs tout-puissants, Mussolini, Staline et Hitler. Pourquoi ces régimes sont-ils qualifiés par l’historien F. Furet de « jumeaux ennemis » ? Si la constitution, la genèse de ces nouveaux états est marquée par de nombreux