Le Fédéraliste

projet d’inspiration fédéraliste, une partie des délégués se montre réticente : « d’aucuns prétendent qu’il en résultera un sacrifice de la souveraineté nationale ». Pour ces partisans d’une union qui se contente de faire coopérer les États sans remettre en cause leur souveraineté nationale, le fédéralisme est un renoncement à l’indépendance et à la grandeur de leurs pays respectifs qu’ils ne sauraient accepter. Les unionistes ne sont pas les seuls à s’inquiéter du projet fédéraliste. La fin du discours

Conseil régional et ses prérogatives 2) Une entité territoriale en évolution 3) La question de l’identité régionale III) La place et le rôle de la région en Allemagne 1) Un territoire fédéral constitué de régions très puissantes 2) Le modèle fédéraliste entre potentiels et remise en cause I) La Bretagne et le fait régional en France 1) La place de la Bretagne dans l’espace français Doc 1 p.60 La Bretagne est l’une des 22 régions métropolitaine. Elle est située au Nord Ouest de la France

prit une importance politique de premier plan parce qu'elle remettait en cause le lien représentatif lui-même. Les Anti-fédéralistes acceptaient l'idée de représentation, mais celle-ci devait être une image fidèle du peuple. L'Assemblée, c'est le peuple en miniature selon John Adams. Ils dénonçaient le penchant aristocratique de la Constitution. A l'opposé, les fédéralistes pensaient que les représentants n'avaient pas pour rôle de refléter les électeurs. Madison soutenait que les élus devaient

Convention qui va créer le Tribunal révolutionnaire. Le 2 juin 1793, l’Assemblée est encerclée par les Sans-culottes, sous la pression elle va voté l’arrestation de 29 députés Girondins. Contre-Révolution : -prêtres réfractaires -nobles -Girondins (=fédéralistes)-Vendéens (=Chouans) (paysans et nobles) Les Montagnards sont donc désormais seuls au pouvoir et vont rédiger une nouvelle constitution, celle de 1793. B- La République des Montagnards : instaurer la démocratie par la Terreur (1793-1794) -La

Qu’est-ce que les Lumières ? Et autres textes, trad. JeanFrançois Poirier & Françoise Proust, Françoise Proust (éd.), Paris, GF-Flammarion, 1991, 2e section, 1er article définitif, p. 86-87. 2. Alexander Hamilton, John Jay & James Madison, Le Fédéraliste, trad. Gaston Jèze, Paris, Économica, 1988, n° XLVII (Madison), p. 398. 3. Emile Faguet, Le libéralisme, Paris, Coda, 2004, p. 116, 120 & 162. sous deux formes principales. Le régime dit parlementaire est un régime de « collaboration » ou encore

la terreur, cela par la loi dite des suspects en date du 17 septembre 1793. Cette loi a ordonné l'arrestation de tous les ennemis suspects de la révolution. Étaient suspects par exemple, tous les nobles, tous les parents d'émigrés, ou encore les fédéralistes : tous les partisans des idées des Girondins. Mais cette loi permettait en fait, l'arrestation de n'importe qui. Chez Robespierre la conception du suspect était très large : « est suspect celui qui n'ayant rien fait contre la révolution, n'a cependant

effet, poursuivre avec les débats qui opposent par exemple ceux qui sont pour « une grande égalité des conditions de vie entre les citoyens » à ceux pour « une égalité des chances ». Il y a aussi cette question d'identité qui met aux prises les fédéralistes et les souvérainistes. Il importe, selon Noël, de réaffirmer l'importance et la pérennité des valeurs de justice sociale misées sur la confiance et l'égalité aux fins de pouvoir renouveler la gouvernance au Québec et de l'ouvrir davantage à

immigrants venus de toute l'Europe, mais plus particulièrement d’Italie et d’Espagne. Jusque vers le milieu du 20e siècle, une grande partie de l'histoire de l'Argentine a été dominée par des périodes de conflit politique interne entre les fédéralistes et les unitariens et entre factions civiles et militaires. Après la Seconde Guerre mondiale, une ère de populisme péroniste, et une ingérence militaire directe et indirecte dans les gouvernements successifs furent suivis par une junte militaire

celui de l’Union Européenne. Cette unité relative va-t-elle jusqu’à supprimer les diversités et les inégalités ? La question se pose, surtout quand on sait à quel point la vision de l’Europe peut être différente selon les pays. Le point de vue fédéraliste, qui domine en France et en Allemagne, consiste à vouloir que l’Europe gouverne les Etats, tandis que l’optique souverainiste, majoritaire au Royaume-Uni, consiste à vouloir que les Etats gouvernent l’Europe. La majorité des opinions nationales

politique américaine est la contestation de l’autorité de l’État fédéral ". En effet , historiquement, la mise en œuvre des autorités centrales s’est faite dans la méfiance et ces dernières ne s’en sont jamais véritablement remises. Une tradition «anti-fédéraliste» de contestation de l’ordre national s’est déclinée aussi bien à la droite qu’à la gauche de l’échiquier politique. Dés lors on assiste a une veritable fragmentation politique, ce qui fragilise logiquement le pouvoir central . Chaque etat ayant