Le Film Ridicule

Dans ce film, Chaplin s'engage contre Hitler et l'Allemagne nazie, à armes égales, sur le terrain du spectacle. Dans des décors semblables à ceux de la propagande nazie, il en dénonce la réalité brutale et violente en mimant le dictateur s'adressant à des foules obéissantes. Il alerte aussi ses contemporains sur les rêves expansionnistes et la volonté impérialiste du dictateur allemand. Maître du genre, il n'hésite pas à utiliser des procédés burlesques pour rendre Le Dictateur ridicule.

Le (portrait du) libertin Valmont est-il le même dans le roman et dans le (...) Dans le roman comme dans le film un contrat prend forme très tôt entre les deux maîtres es libertinage, Mt et Vt et il va structurer les trajectoires des œuvres : le film met même en valeur le point de départ et d’arrivée du trajet de notre duo en situant dans un bel escalier la décision de pacte et l’épreuve que représente pour Vt le sacrifice de Tv. Dans cette composition avec duo, quelle est la représentation du

CORPUS : Vous présenterez une synthèse concise, objective et ordonnée des documents suivants : François RABELAIS : Gargantua (1534) Henri BERGSON : Le Rire, Essai sur la signification du comique (1900) Affiche du film de Charlie CHAPLIN Le Dictateur (The Great Dictator), 1940 Marcel PAGNOL : Le Schpountz (1938). DOCUMENT 1.AUX LECTEURS Amis lecteurs qui lisez ce livre, Dépouillez-vous de tout tourment; Et, le lisant, ne soyez pas scandalisés ; Il ne contient ni mal ni infection. Il est

prisonnier de ce dont on rit, ou du moins pas de la même manière. La vie est belle de Benigni est un film qui raconte l’histoire d’une famille juive envoyée dans un camp de concentration. Guido, le père de famille, va faire croire à son fils, Giosué, que ce n’est qu’un jeu où il faut gagner des points. Ceux qui obtiennent le plus de point remportent un char d’assaut. Giosué croira l’histoire tout au long du film. Bien sûr tout ne peut être caché mais être relativisé, comme par exemple l’enfant rapportant

d'un spectateur admiratif, reconduisant par cette mise en spectacle le principe même du théâtre. Enfin, la théâtralité est utilisée comme une métaphore centrale du film en définissant la société mondaine comme un théâtre dont les deux libertins sont à la fois acteurs et metteurs en scène. I. UN FILM THEATRAL a) Des personnages acteurs Le film présente deux manipulateurs prenant plaisir à tromper leur entourage : Merteuil joue à l'amie empressée et à la confidente attentive auprès de Mme de Volange et

de l’enfant, dont la très grande innocence et la naïveté. De plus, elle se ravit de tout, du secrétaire par exemple, mais elle ignore les usages : il s’agit d’une enfant peu préparée et projetée dans un monde ‘apparences et de réputations. Dans le film, Cécile ne prend pas toute cette importance et ne s’attribue pas cette même sympathie de la part du lecteur – provoquée par le partage à Sophie, qui fait d’elle une jeune fille normale et qui ressent le besoin de se confier – mais apparaît directement

d’être le cas de tous les romans. Et quand bien même, cela peut conduire à des réductions épouvantables. Moby Dick, le long roman poético-métaphysique d’Hermann Melville, truffé de monologues intérieurs et de digressions abstraites, est ainsi devenu un film d’aventures. Quoi qu’il en soit, il est une chose qui ne passe pas l’écran, c’est la spécificité littéraire, tout ce qui est lié à la poésie de la langue écrite et à son mode de réception. Cela ne comprend pas que la beauté du style. Il existe

pour donner Charlot, le mythique personnage du cinéma muet. Dans Charlot est content de lui, film réalisé en 1914, nous verrons apparaître ce nouveau personnage burlesque aux allure de clown. Il utilisera le langage des signes pour communiquer ainsi que la musique, puisqu’a cette époque n’existait que le cinéma muet. Ce film marquera le début de son succès, puisque le 5 avril 1915, il signera avec la Mutual Film Corporation pour une somme de 675 000 dollars, ce qui à fait de lui la vedette la mieux payé

C'est le paroxysme de la répression à l'encontre des Juifs qui pousse Chaplin à réaliser ce film en 1938 : il s'agit de l'événement sans précédent de la Nuit de Cristal (9-10 novembre 1938): les magasins juifs sont pillés et saccagés tandis que les synagogues sont brûlées par des troupes de SS vêtus en civil comme des Allemands ordinaires. Le film sortira au printemps 1941. A l’époque, la sortie de ce film était osée compte tenu du contexte politique, et Charlie Chaplin a subi plusieurs fois la

bien ce rôle difficile ,le seul qui ne soit pas manichéen ,du moins dans le film. En effet le gros reproche que l'on peut faire ,c'est d'être loin de Balzac et de toutes les richesses de ses personnages qui sont ici de vraies caricatures toutes noires pour la plupart. Car même si les héros de la ''Comédie  humaine'' sont de bien tristes humains,ils ont leurs bons moments y compris parfois de générosité et de vraie gaieté. Film intéressant mais décevant sur l'écriture,l'ambiance n'y est pas. On passe