Le Firmament Est Plein Hugo

FICHE DE LECTURE LES CONTEMPLATIONS AUTEUR : VICTOR HUGO PRÉSENTÉE PAR NDEYE MATY THIAM TL I- CARTE D’IDENTITÉ DU LIVRE 1-GENRE LITTÉRAIRE Ce livre est une poésie. 2-L AUTEUR : VICTOR HUGO Victor Hugo est né le 26 Février 1802 à Besançon en France. Poète, romancier et dramaturge, Victor Hugo est sans conteste l'un des géants de la littérature française. Les romans les plus connus de Victor Hugo sont "Notre-Dame de Paris" (1831) et "Les Misérables" (1862). L'auteur

Théodore de Banville : (1823-1891) Poète, dramaturge et critique français, il était ami de V. Hugo, C. Baudelaire et T. Gautier. Banville unit dans ses œuvres le romantisme et le parnasse et il a publié une vingtaine d’œuvres de poésie entre 1843 et 1891. En 1872 il a publié le célèbre “Petit Traité de poésie française”. « Le printemps » appartient aux Cariatides, recueil de poème salué par Charles Baudelaire. Il décrit le réveil de la vie après la léthargie de l’hiver. On assiste au

et qui bavarde; Les tuyaux, les clochers, ces mâts de la cité, Et les grands ciels qui font rêver d'éternité. Il est doux, à travers les brumes, de voir naître L'étoile dans l'azur, la lampe à la fenêtre, Les fleuves de charbon monter au firmament Et la lune verser son pâle enchantement. Je verrai les printemps, les étés, les automnes; Et quand viendra l'hiver aux neiges monotones, Je fermerai partout portières et volets Pour bâtir dans la nuit mes féeriques palais. Alors je rêverai

deux aspects développer par ce poème. D'une part un paysage diurne suggère l'idée qu'il s'agit d'un paysage général où sont décrites les habitudes d'un cygne. D'autre part un paysage nocturne évoque le miroir dans lequel se refletent entre deux firmaments : l'un au dessus, l'autre au dessous du cygne. La « nuit lactée » conserve une blancheur brillante et donc une euphorie constante dans ce poème qui repose sur les jeux de lumières. Illustration : Cette illustration qui a pour titre « cygnus

Après la bataille (Victor Hugo) Mon père, ce héros au sourire si doux, Suivi d'un seul housard qu'il aimait entre tous Pour sa grande bravoure et pour sa haute taille, Parcourait à cheval, le soir d'une bataille, Les champs couverts de morts sur qui tombait la nuit

p4 Sous le ciel d’Albert Lozeau p6 Les nuages se fanent de Jim Morrison p8 Le Brouillard de Maurice Carême p10 Demain, dès l’aube de Victor Hugo p12 Tristesse d’Alfred de Musset p14 Au moment où Phébus de Guy de Maupassant p16 Apparition de Stéphane Mallarmé p18 Soleil couchant de Paul Verlaine

citoyens leurs droits et leur liberté, parce que dès sa jeunesse, et à un âge où il n'examinait pas quelles seraient les suites de ses démarches, il s'était comporté de manière à ne pouvoir cesser d'être injuste, sans mettre sa vie en danger. Victor Hugo — Les Châtiments Le Bord de la mer HARMODIUS La nuit vient. Vénus brille. L’ÉPÉE Harmodius, c’est l’heure ! LA BORNE DU CHEMIN Le tyran va passer. HARMODIUS J’ai froid, rentrons. UN TOMBEAU Demeure. HARMODIUS Qu’es-tu ? LE TOMBEAU Je suis la tombe

poème "l'Huitre" de Ponge qui ont ces 2 poèmes : les animaux symbolent de la poésie. Dans un second temp il y a aura comme poème « Les chats » toujours de Baudelaire qui reflète que toute les choses des chats sont celles des femmes, le poème de Hugo " l'Hirondelle au printemps cherche les vieilles tours" compare les oiseaux aux humains. Et dans le poème de Paul Valéry " L'Abeille" l'auteur compare l’amour à une abeille, et l’abeille à l'amour. Enfin nous allons voir que les animaux sont comparer

« Bâtir dans la nuit mes féeriques palais… » Documents A – Victor Hugo, « Rêverie », Les Orientales, 1829. B – Charles Baudelaire, « Paysage », Les Fleurs du Mal, « Tableaux parisiens », 1857. C – Jules Supervielle, « San Bernardino », Débarcadères, 1922. D – Saint-John Perse, « Le mur », Éloges, « Images à Crusoé », 1911. m Vous répondrez d’abord à la question. ■ Question (4 points) Comment s’exprime, dans chaque poème, le désir d’ailleurs ? m Vous traiterez ensuite un de ces trois

Avec le meilleur lait, avec le meilleur grain, Le front courbé, le coude en pointe hors des manches, La sueur les mouillant et coulant au pétrin. Leurs mains, leurs doigts, leur corps entier fumait de hâte, Leur gorge remuait dans les corsages pleins. Leurs deux doigts monstrueux pataugeaient dans la pâte Et la moulaient en ronds comme la chair des seins. Le bois brûlé se fendillait en braises rouges Et deux par deux, du bout d’une planche, les gouges Dans le ventre des fours engouffraient