Le Flambeau Vivant

est un rectangle dallé de noir et de blanc, de cent huit cases. Sur ce rectangle, aux angles, sont trois Colonnettes hautes d’un mètre environ, disposées en équerre, une vers l’Orient, deux à la base vers l’Occident. Sur chacune d’elles, est un Flambeau permettant d’obtenir une, deux ou trois Lumières d’Ordre, soit trois, six ou neuf en tout. Ces Colonnettes pourront renvoyer aux trois styles égyptien : palmiforme, lotiforme, papyriforme. Au centre du Carré Long se trouve un petit Autel triangulaire

nids sur les genêts Sur l'écho de mon enfance J'écris ton nom Sur les merveilles des nuits Sur le pain blanc des journées Sur les saisons fiancées J'écris ton nom Sur tous mes chiffons d'azur Sur l'étang soleil moisi Sur le lac lune vivante J'écris ton nom Sur les champs sur l'horizon Sur les ailes des oiseaux Et sur le moulin des ombres J'écris ton nom Sur chaque bouffées d'aurore Sur la mer sur les bateaux Sur la montagne démente J'écris ton nom Sur la mousse des nuages

l'école, à l'âge de 25 ans. «Fabricant dans l'âme», comme le décrit son frère, il s'est consacré, aux côtés de son père, à la transformation de la menuiserie jurassienne en PMI florissante de 60 salariés. Et c'est tout naturellement qu'il a repris le flambeau. Thierry, lui, est plus aventurier. Il a fait ses premières armes aux Etats-Unis et créé sa propre entreprise à Paris, tout en gardant un oeil attentif sur le développement de la PMI familiale. «J'y ai même passé quatre ans dans les années quatre-vingt

ne doit être mesquin qui ne fait que mentir Mais pour son foyer doit est prêt à périr Car un citoyen mesquin mérite de mourir Un Citoyen honnête respecte le drapeau Et doit le défendre de toutes sortes de maux Il doit toujours rallumer le flambeau Qu’ont allumés nos fiers héros. Qui suis-je ? Qui suis-je ? Un simple être Humain Qui veut être un historien Et surtout un bon chrétien Ayant les Attribut d’un vrai patriote haïtien Qui suis-je ? Je me pose cette question Suis-je

comédie baroque veut alors montrer Don Juan comme un génat de la nuit. Chez Tirso de Molina, on trouve aussi le flambeau ou la bougie comme indice de la nuit, comme par exemple dans la preliére scéne de l'acte 1 avec la didascalie "une bougie dans un chandelier", ou encore à l'acte II page 119 "suivit de la garde avec des torches" ou encore à l'acte III page 161 "Don Juan prend le flambeau". La nuit permet alors à Don Juan de masquer son identité. Toujours dans l'acte I, Don Pedro ne le reconnait

l'islam. Les arabes sont fils d' Ismael avec une servante Agar car Sarah ne pouvait pas avoir d'enfant. ( on parle aussi Agarène pour designer les arabes) Tous les arabes se revendiquent fils d'Agar et Ismael, qui auront un fils qui reprendra le flambeau. Les Bédoins parcourent le désert et peuvent parcourir 300 km par jour avec de lourde charge, une vie nomade classique. Ce groupe nomade n'est composé que d'arabes. Il y aura aussi des groupes de juifs et chetiens La guerre dispora : dispersion

ressemblent par les griffes, les yeux, le corps mais sensualité apaisée)c « Le balcon » : poème nostalgique sur un bonheur passé «  Un fantôme  »  : attachement à la création artistique mais «  39  »  : attachement aussi à la Beauté « 42 » «  le flambeau vivant » « réversibilité » « confession » « l’aube spirituelle » «harmonie du soir » : image de la femme-ange qui triomphe sur la débauche et peut sauver le pécheur. 3. Les poèmes reprennent les thèmes abordés avec une courbe négative dans les 16 dernières

voir pour la dernière fois ». Ces derniers moments sont également exprimés par la métaphore filée de la lumière dans la bouche d’Œnone. Elle compare la vie à un « flambeau » qui « peut se rallumer ». Puis elle évoque une « faible lumière ». Les deux femmes échangent un chant de deuil car chaque réplique semble un adieu au monde des vivants : « Je meurs… Mourrez donc… Mon âme chez les morts descendra la première ». Si Phèdre doit mourir, Œnone la suivra. Devant une scène si intense, le spectateur ressent

solitude, comme le démontre le vers suivant : « J’ai refermé mes bras qui ne peuvent t’atteindre ». De plus, elle utilise un rythme haché, saccadé, afin de nous dévoiler que cela la blesse profondément : « Les beaux été sans toi, c’est la nuit sans flambeau ». Puis, elle nous montre qu’après avoir tant souffert, ses sentiments se sont estompés, et qu’elle ne peut plus aimer. En témoigne la métaphore suivante : « Et frapper mon cœur, c’est frapper au tombeau ». Elle nous parle aussi de son amour inaccessible

transparence, Voit trembler leur double clarté, Innocence ! Vertu ! sublimes Même pour l’œil mort du méchant ! On voit dans l’azur ces deux cimes, L’une au levant, l’autre au couchant. Elles guident la nef qui sombre ; L’une est phare, et l’autre est flambeau ; L’une a le berceau dans son ombre, L’autre en son ombre a le tombeau. C’est sous la terre infortunée Que commence, obscure à nos yeux, La ligne de la destinée ; Elles l’achèvent dans les cieux. Elles montrent, malgré les voiles Et l’ombre