Le Fouquet S

1564) peintre, sculpteur, poète et architecte Raphaël (1483-1520) De 1504 à 1508, il peint de nombreuses Vierges à l’Enfant (Madone). La base de sa composition sur le message qu’il veut faire passer : l’amour maternel PEINTRES FRANÇAIS : Jean Fouquet François Clouet Jean Clouet PEINTRES ALLEMANDS Matthias Grünewald Albrecht Dürer PEINTRES ESPAGNOLES El Greco Pedro Berruguete Juan de Juanes La première aquarelle qui, dans l'histoire de l'art, est le premier paysage en couleur qui

Louvois au temps de Louis XIV. Il dénonce donc les lettres de cachet, les décisions arbitraires du roi et l’absence de raison dans la monarchie absolu. La colère du roi est évoquée ici, parce que La Fontaine a connu la colère de Louis XIV à cause de Fouquet, qui était le patron de La Fontaine, une personne pratiquement plus riche que le roi. La Fontaine se considérait comme quelqu’un qui faisait partie du peuple, de ce fait, par le biais de sa fable il dénonce aussi la soumission des sujets.

-scrupuleusement respecté dans la fable-, n'ayant rien de plus à faire que donner le change avec quelques mots et rayonner en attendant le dénouement. Une allusion est sans doute faite à l'arrestation de Fouquet, le surintendant des finances du royaume et ami de La Fontaine, sur ordre du Roi, en 1661. Fouquet serait alors le Berger mangé par le Lion, celui qui tond la laine des moutons sur leur dos, les moutons étant ici les contribuables. Le roi joue de son pouvoir qu'il utilise, à son avantage et à

[pic] Année 2011 Certificat de stage [pic] Remerciements Je tiens à remercier tous les membres de l’entreprise CEZZAM, plus particulièrement les techniciens M. Mickaël HERBET, M. Jacques PINCHEMAILLE, M. Azeddine MAROUF, M. Geoffrey FOUQUET et M. Olivier ROGER technicien et commercial en même temps avec qui j’ai travaillé assez souvent. Je veux remercier aussi M. Nicolas FLICOURT responsable d’agence et M. Christophe LOGER chargé de réalisation qui m’ont permis d’effectuer mon stage

groupe puissant : les dévots. C’est en 1661 que Molière donne sa première comédie-ballet Les Fâcheux. Fabuleux succès. La même comédie-ballet est donnée à Vaux-le-Vicomte devant le roi, lors de la somptueuse fête organisée par le surintendant Fouquet. Ce genre nouveau séduit le roi que la danse fascine. L’attention que le roi porte à Molière exaspère les jalousies et les rivalités. L’Ecole des maris est attaquée. Certain du soutien du roi, qui consent à être le parrain du premier fils de Molière

théologie pour se consacrer à des études juridiques (prise de conscience des injustices et abus, qu'il critiquera par la suite à travers ses contes et fables) son père meurt en 1658, lui laissant beaucoup de dettes : recherche de protection auprès de Fouquet puis la Duchesse d'Orléans 1683 : siège à l'Académie Française Apologue : récit bref présentant une anecdote et qui a pour but de faire passer une leçon, un message Étapes du récit situation initiale stable : « Deux pigeons s'aimaient d'amour

préciosité: -Corneille lui a emprunté sa tendance au style abstrait(personnification, métaphores...) -Dans les pièces de Molière on reconnaît l'amour galant -La Fontaine lui-meme à beaucoup fréquenté les salons précieux, notamment celui de Mme Fouquet à Vaux.

au long du livre dans diverses aventures. En effet, Julien est décrit tout au long du roman comme quelqu’un recherchant le confort et la richesse, notamment lorsqu’il hésite sur la possible richesse que pourrait lui procurer l’offre de son ami Fouquet de lui donner des parts dans son entreprise. Le lecteur est amené à réfléchir sur notre société par le regard extérieur que porte le personnage sur le monde. En effet, avec du recul il permet de nous rendre compte des aspérités de notre société

morale de la nature. Jean de la Fontaine : Jean de la Fontaine est né le 8 Juillet 1621 à Château Thierry et meurt le 13 Avril 1695 à Paris. Ses fables constituent la principale œuvre poétique du classicisme. Ce dernier était intimement lié à Fouquet qui en 1661 tombe en disgrâce et est arrêté sur ordre de Louis XIV. La Fontaine reste pourtant son plus fidèle défenseur. Son attachement lui valut rapidement la haine du roi lui-même, qui lui refuse son approbation à entrer à l'Académie en 1683,

grande renommée, principalement pour ses Fables et dans une moindre mesure ses contes licencieux. On lui doit également des poèmes divers, des pièces de théâtre et des livrets d'opéra qui confirment son ambition de moraliste. Proche de Nicolas Fouquet, Jean de La Fontaine reste à l'écart de la cour royale mais fréquente les salons comme celui de Madame de La Sablière et malgré des oppositions, il est reçu à l'Académie française en 1684. Mêlé aux débats de l'époque, il se range dans le parti des