Le Fouquet S

l'histoire littéraire retient essentiellement les Fables et dans une moindre mesure les conteslicencieux. On lui doit cependant des poèmes divers, des pièces de théâtre et des livrets d'opéra qui confirment son ambition de moraliste. Proche de Nicolas Fouquet, Jean de La Fontaine reste à l'écart de la cour royale mais fréquente les salons comme celui de Madame de La Sablière et malgré des oppositions, il est reçu à l'Académie française en 1684. Mêlé aux débats de l'époque, il se range dans le parti des

l'histoire littéraire retient essentiellement les Fables et dans une moindre mesure les contes licencieux. On lui doit cependant des poèmes divers, des pièces de théâtre et des livrets d'opéra qui confirment son ambition de moraliste. Proche de Nicolas Fouquet, Jean de La Fontaine reste à l'écart de la cour royale mais fréquente les salons comme celui de Madame de La Sablière et malgré des oppositions, il est reçu à l'Académie française en 1684. Mêlé aux débats de l'époque, il se range dans le parti des

l'histoire littéraire retient essentiellement les Fables et dans une moindre mesure les contes licencieux. On lui doit cependant des poèmes divers, des pièces de théâtre et des livrets d'opéra qui confirment son ambition de moraliste. Proche de Nicolas Fouquet, Jean de La Fontaine reste à l'écart de la cour royale mais fréquente les salons comme celui de Madame de La Sablière et malgré des oppositions, il est reçu à l'Académie française en 1684. Mêlé aux débats de l'époque, il se range dans le parti des

ans mais ce qu'il préfère c'est de lire des romans. La Fontaine est un auteur classique, il s'inspire d'auteurs grecs comme Esope et latins comme Phedre pour écrire ses œuvres. Il a été protégé par Fouquet pour qui il va écrire des poèmes à la gloire de son premier mécène Nicolas Fouquet. Lorsque Fouquet est arrêté en 1661, la Fontaine vit quelques années difficiles mais il se place ensuite sous la protection de Madame de la Sablière, pour qui il compose aussi des textes. La Fontaine est toujours connu

de Fouquet, Surintendant des Finances, auquel, outre une série de poèmes de circonstances prévus par contrat - une "pension poétique" - il dédie le poème épique Adonis tiré d’Ovide et élabore un texte composite à la gloire du domaine de son patron, le Songe de Vaux, qui restera inachevé, car Fouquet est arrêté sur ordre de Louis XIV ; La Fontaine écrit en faveur de son patron en 1662, l’Ode au Roi puis l’Élégie aux nymphes de Vaux. Certains biographes ont soutenu que cette défense de Fouquet lui

la littérature. La publication du poème héroïque L'Adonis (1658) lui vaut l'admiration et la protection du surintendant Fouquet. Cadeau empoisonné, puisqu'en 1661, alors qu'il est en train de composer Le Songe de Vaux, Fouquet est disgrâcié, arrêté et enfermé par le roi. La Fontaine est donc privé de son protecteur, et poursuivi par la disgrâce royale pour sa fidélité à M. Fouquet. Il juge alors prudent de s'éloigner de la capitale et part un temps dans le Limousin. De retour à Paris, sa carrière

Térence puis un poème héroïque « L’adonis » en 1658, inspiré d’Ovide. Ce poème lui vaut l’admiration et la protection du surintendant Fouquet. Mais en 1661, alors qu'il est en train de composer « Le Songe de Vaux », Fouquet est disgracié, arrêté et enfermé par le roi. La Fontaine est donc privé de son protecteur, et poursuivi par la disgrâce royale pour sa fidélité à M. Fouquet. Après cet événement, Jean de la Fontaine s’éloigne de la capitale et part un temps dans le Limousin. Sa carrière reprend quand

Térence, L’Eunuque, en 1654, qui passe totalement inaperçue. Au service de Fouquet (1658-1663) En 1658, il entre au service de Fouquet, Surintendant des Finances, auquel, outre une série de poèmes de circonstances prévus par contrat - une « pension poétique » - il dédie le poème épique Adonis tiré d’Ovide et élabore un texte composite à la gloire du domaine de son patron, le Songe de Vaux, qui restera inachevé, car Fouquet est arrêté sur ordre de Louis XIV ; La Fontaine écrit en faveur de son protecteur

L’enrichissement personnel de Mazarin * Les pratiques spéculatives de son surintendant des finances Nicolas Fouquet Il décide le 5 septembre 1661 le jour de ses 23 ans de faire arrêter Fouquet (par d’Artagnan) dont il supprime par la même occasion le poste de surintendant des finances. Il crée alors une chambre de justice pour examiner les comptes financiers. En éliminant Fouquet Louis XIV montre qui dirige le pays et installe son pouvoir. Les grandes réformes du roi soleil : * Création

celle qu'il a achetée lui-même en 1652. Il connaît pourtant des difficultés financières . Celles-ci poussent les époux à une séparation de biens. Il entre dans le cercle de Nicolas Fouquet, Ministre des Finances de Louis XIV, grâce à son oncle Jannart et à Pellisson. Il dédie au Ministre le poème Adonis . 1659 Fouquet qui est aussi le protecteur de Perrault, Corneille et Molière, le reçoit dans son splendide château de Vaux Le Vicomte, encore en construction, et lui accorde une pension. La Fontaine