Le Fétichisme

est de faire respecter la coutume et susciter la crainte parmi la population. C. Les fondements magico-religieux Longtemps très mal connues , les religions africaines étaient considérés comme des pratiques fétichistes sans grande portée ; par fétichisme on entendait le culte voué à des « fétiches » statues et objets symbolisant les esprits ou les dieux. L’africain est avant tout un croyant qui vit dans l’intimité des puissances invisibles dans un système cosmique, dans un ensemble cohérent. Tout

aux travailleurs de les rendre plus productifs. On exagère le besoin et le résultat.Toute publicité nous promet d'être enfin nous même. L'objet ultime c'est toujours le prochain la publicité repos sur le Fétichisme. Un fétiche est un objet matériel auquel on prête un pouvoir spirituel. Le fétichisme voit ce qu'il aime dans les choses. Par exemple le collectionneur, un fétiche vous aide à supporter une réalité insupportable. La publicité insiste sur le travail et cache le monde de la production.Elle

harmonieuses aux chromatiques plaisantes.  Il s'applique à trouver « ce lent mouvement de l'esprit ». Sa peinture devait s'adresser davantage à l'esprit qu'a l'oeil. Puis au regard du mysticisme de son maître Poussin, il nous faut accorder au fétichisme de Balthus un certain symbolisme. Les vases en cristale, les fleurs, les fruits, les reposes pieds, les instruments de musiques jusqu'aux rideaux dévoilant la lumières du jour, sont autant d'objets récurrents dans ses oeuvres qui peuvent être vues

| Inversion des valeurs : l’esclavage devient promesse de bonheur, d’honneur, de fortune. | B. La satire de la religionLa religion cautionne l’esclavage. Parallélisme ironique nos fétiches / les fétiches hollandais : religion ramenée au fétichisme, à la superstition. | En Guinée : l’adoration des fétiches engendre la passivité qui fait accepter la loi du plus fort comme un ordre divin auquel il faut se soumettre. | | A Surinam : la parole biblique = illusion consolatrice

dessus du genou ou jusqu’en haut de la cuisse -jeanne d’arc première femme a porter la cuissarde -début 20 S les femmes l’adoptent pour la chasse à cour -dans les années 60’ Roger Vivier pour YSL les revisite, cuissardes plates -image sexe, fétichisme -bb sur sa harley Marinière -La marinière jadis appelée tricot rayé fait tout d’abord partie de l’uniforme du marin (1858) -T shirt à manche longue à rayures horizontales étroites et bicolores -avant tricot -Encolure bateau -21 rayures

il met en avant une pseudo-naïveté de l’esclave « je ne suis pas généalogiste ». L’ironie de l’emploi de « fétiches » les prêcheurs deviennent des fétiches en convertissant les esclaves. Voltaire se moque ici de la religion qu’il assimile à un fétichisme. II- La dénonciation ironique de l’esclavage A. Une critique du commerce triangulaire. 1ère étape : Europe vers l’Afrique. Il faut se procurer des esclaves appelé à l’époque « bois d’ébène ». Ici Voltaire parle de la vente des enfants par leur

personne humaine - Une triple mutilation  2. Un système économique brutal et cynique  B. La satire de la religion La religion cautionne l’esclavage. Parallélisme ironique nos fétiches / les fétiches hollandais : religion ramenée au fétichisme, à la superstition.  C. Une satire de l’optimisme Esclavage : démenti supplémentaire à l’optimisme.Candide ébranlé : épisode clé : remise en cause des théories de Pangloss.La définition donnée par Candide : souligne la prise de conscience de

Hamilton continua à développer les caractéristiques du pop art en exposant peintures et collages ayant pour sujets les voitures américaines, les biens de consommations et des pin-ups en tant qu'éléments d'une étude anthropologique ayant introduit le fétichisme qui deviendra un élément majeur du pop art. Hamilton est devenu un conférencier du Royal College of Art où il rencontra David Hockney ainsi que d'autres jeunes artistes qui développèrent le pop art en Grande-Bretagne. En 1961, Hockney, avec Peter

est toujours actuelle, comme au XXe siècle. Dans ce texte, on voit la pensée de Karl Marx, à travers un personnage, sur la société et le système d’aujourd’hui avec sa mentalité d’hier. Car, nous vivions dans une société comme le dit si bien Marx : fétichisme de la marchandise. Il nous parle aussi du communisme et du socialisme. Il s’exprime tout au long de la pièce sur la façon dont lui, il voit et interprète les choses politiques d’aujourd’hui. Comme il avait dit, il y a plusieurs centaines d’années

autre ou utilisé de manière répétitive ou inappropriée. L’anormalité est révélée aussi lorsqu’il y a transgressions anatomiques, arrêts aux relations intermédiaires. La perversion débute quand on parle de douleur (masochisme /sadomasochisme), de fétichisme, d’exhibition/voyeurisme…fixation sur une partie du corps. Le symptôme morbide peut envahir ainsi alors tous les domaines de la vie. Pourtant parfois la frontière n’est pas si simple à établir car la morale crée ses propres pervers en suscitant