Le Gouvernement Arbitraire Dun Prince Juste Et éclairé

, si sa loi est mauvaise sera puni .Est également puni celui qui utilise la graphé para nomon sans raison . C’est un système de double responsabilité ; L’assemblée nomme les magistrats, contrôle les magistrats ; ainsi l’ecclésia participe au gouvernement même si c’est de façon indirecte. L’assemblée a également des pouvoirs de justice : - la faculté d’exclure : L’Ostracisme , ce n’est pas considéré comme une peine mais c’est tout de même 10 ans d’exil hors de la cité. Cela permet de mettre

au ut el r i t p i p os n ve iure co tru dol ip ui a i ue m i t. ra- u rae ulp nd et nse d m ort ex el lla e n U t w t lu sse ut ree inc qu in is d ex it feu l iu g e m isis t n nt a pat tum ipi isi. hen o e eug iusc gia re ugu isi a fe iat inia tin dun e tu inc nu um m . U e sim t ug v t e u . U m ve t L e id m e i ve i u g d u n se ore ole isl ve rit nim re ait len isc ait t a qu nin ute me i D nt ve nd de nt ver ve ma lor iss c i ci ui ut lisc rer len lao si l u gna e m i. l it t ve t, lam r co

les révolution libérales. Au XIX e sicle, libéralisme et démocratie ne sont pas synonymes, au contraire ils ont tendance a s’opposer car bien des penseur libéraux pensent que le peuple n’est pas forme a sont statut citoyen. Il conviendrai que le gouvernement soit réservé à une élite (de l’esprit => toqueville). Les libéraux vont très longtemps refuser l’idée même de suffrage universel. La troisième vague est ce qu’on appel le mouvement des nationalités. Plus difficile a place car va cœxister et

constitutionnel à une conception prédominante dit conception mécanique Il se comprend à partir de la métaphore du corps, pense comme une machine, composé d’organe qui agissent entre eux, ils ont des pouvoirs interagissent, pour quel ne sois pas arbitraire. Montesquieu : A son idée : il y a des pouvoirs qui se balancent, tous dépend de tous ce qui compte c’est vie du corps d’etat. A l’issus de cette représentation ? Pas de norme, la constitution n’est pas au dessus de la loi, rien ne peut

avant notre ère (430 420 av JC). Période marquée par une expérience originale: la Grèce des cités (polis). Tous ce qui est applicable au règlement de la cité se dit politeia. La cité est un moment de l'histoire et de la géographie, c'est un type de gouvernement qui s'est développé en Europe et en Grèce mais aussi à Rome (civitas). Rome au départ est une cité càd une ville plus ou moins développé qui sert de capital et c'est un territoire restreint qui gravite autour de cette capital ou sont concentrées

publiques : Que fait l’Etat la puissance publique, en matière de santé, d’éducation etc. ? Qui décide de ce que fait l’Etat ? 3) La théorie ou la philosophie politique ? Examen des grandes théories, systèmes de pensée : Comment faire pour que le gouvernement des sociétés soit plus justes ? 4) La sociologie politique : Etude du personnel politique, des élections (=sociologie électorale), des représentations politiques (Comment le pouvoir se met en scène), des images mentales que se font les élites

l'ordre passe avant la réalisation de la justice. Notre définition substantielle du droit insiste sur la finalité du droit. On considère, en général que : le droit doit garantir l'ordre et réaliser la justice (réaliser car le droit n'est pas toujours juste). Si le droit, dans notre société, doit choisir entre les deux, il choisira l'ordre social. La dimension collective du droit est toujours antérieure à la dimension individuelle du droit. L'existence de l'Etat rend prioritaire l'existence de l'ordre

pèsent un certain nombre de contraintes collective : il y a l'assolement triennal et la jachère. Les physiocrates remettent en cause ce dogme ancestral en disant que la fertilité des terres dépendant de l'apport en fertilisant , de l'agriculture et pas juste du repos de la terre. Les physiocrates s'insurgent aussi du fait pas que le paysans ne puisse pas choisir ce qu'il veut cultiver... Les physiocrates vont s'employer à mettre fin à ceci en individualisant les exploitations: une exploitation = un exploitant

constitutions du prince à l’ancienne loi votée par les comices. Ulbien (jurisconsulte du 3e siècle) va expliquer de même que si le prince peut faire la loi, c’est parce qu’en vertu d’une loi royale (la lex regia), le peuple romain a conféré à l’empereur tout son imperium, tant dans le domaine civil que dans le domaine militaire, et sa potestas (le pouvoir). On a aussi les juristes qui commencent à former des maximes traduisant la réalité politique. On a par exemple la maxime « ce qui plaît au prince a force

règles juridiques qu'ils nouent entre eux. - le pouvoir normatif (= édicter des règles) absolu : la souveraineté de l'Etat est un pouvoir initial, il est à l'origine de toutes les règles sur son territoire. La souveraineté est différente du pouvoir arbitraire. Souveraineté : pouvoir inconditionné, l'Etat a donc un pouvoir de poser librement toutes les règles (il n'est pas tenu à des règles extérieures à lui). ➥ le pouvoir constituant : élaborer, rédiger une constitution. Il n'existe pas d'autorité