Le Grand Homme Prévert

L'auteur y développe des constats, propose une interprétation, éventuellement une thèse – mais surtout, il déroule une pensée en construction. L'une des questions fondamentales qui se pose à l'homme est bien sûr celle de son identité : qu'est-ce qu'un homme ? Qu'est-ce qu'un individu ? Consulter le programme Travailler sur des sujets du bac Consulter la méthodologie Trouver la définition d'un mot L'écriture de soi Certains écrits s'organisent, pour tenter de répondre à cette question, autour d'une

Anouilh est né en 1910 d'un père tailleur et d'une mère pianiste. • Il consacre sa vie au théâtre que ce soit par l'écriture de pièces, par ses mises en scène ou son jeu. • Il côtoie Prévert, Jean Cocteau et Pierre Fersnay (comédien). Il s'intéresse à la lecture de George Bernard Shaw. • Il obtient rapidement un grand succès vers l'âge de 25 ans, mais il reçoit aussi des critiques pas tendres soulignant par exemple la superficialité de ses œuvres ou l'absence d'une ligne conductrice. • Pourtant

mathématicien français, cofondateur du groupe littéraire Oulipo. Dans ce texte mots. le narrateur rencontre dans un bus un jeune homme au long cou, coiffé d'un chapeau orné d'une tresse tenant au lieu de ruban. Ce jeune homme échange quelques mots assez vifs avec un autre voyageur, puis va s'asseoir à une place libre. Un peu plus tard, le narrateur revoit ce jeune homme qui est alors en train de discuter avec un ami. Celui-ci lui conseille de faire remonter le bouton supérieur de son pardessus. Ce

de l’ensemble des textes. - Pour attribuer la note maximale de 4 pts, on n’attendra pas du candidat qu’il ait repris exhaustivement tous les éléments proposés ci-dessous. - On accordera la moyenne aux copies qui auront vu la comparaison homme/ animal et la vision dépréciative de l’homme. - On valorisera une réponse synthétique ainsi que les copies qui confrontent véritablement les textes et qui présentent d’autres éléments. Eléments de corrigé : Ces trois textes présentent une

confrontation organisée de l’ensemble des textes. Pour attribuer la note maximale de 4 pts, on n’attendra pas du candidat qu’il ait repris exhaustivement tous les éléments proposés ci-dessous. On accordera la moyenne aux copies qui auront vu la comparaison homme/ animal et la vision dépréciative de l’homme. On valorisera une réponse synthétique ainsi que les copies qui confrontent véritablement les textes et qui présentent d’autres éléments. Eléments de corrigé : Ces trois textes présentent une image dépréciative

présenter. Macha lui propose de ne pas aller trop vite et ils décident de se découvrir au fil de leurs messages, à « avancer à tous petits mots ». Ils découvrent donc petit à petit qu’ils sont tous les deux de grands lecteurs, qu’ils n’ont pas les mêmes goûts littéraires ou musicaux (elle aime Prévert, Brassens et Barbara, il aime les auteurs russes, les chœurs de l’armée rouge et les musiciens russes). Ils habitent en banlieue parisienne, elle à l’Ouest et lui à l’Est. Sacha vit seul avec son père. Il

vos larmes           Il n'y a pas d'amour heureux Mon bel amour mon cher amour ma déchirure Je te porte dans moi comme un oiseau blessé Et ceux-là sans savoir nous regardent passer Répétant après moi les mots que j'ai tressés Et qui pour tes grands yeux tout aussitôt moururent           Il n'y a pas d'amour heureux Le temps d'apprendre à vivre il est déjà trop tard Que pleurent dans la nuit nos coeurs à l'unisson Ce qu'il faut de malheur pour la moindre chanson Ce qu'il faut de regrets

: le poète, inspiré des dieux, a la faculté de parler spontanément une langue qui ne lui est pas naturelle. « Ce n’est pas en effet par art, mais par inspiration et suggestion divine que tous les grands poètes épiques composent tous ces beaux poèmes. Tant qu’il n’a pas reçu ce don divin, tout homme est incapable de faire des vers et de rendre des oracles. » Platon, Ion Les créatures divines qui inspirent les poètes sont les Muses, filles de Zeus et de Mnémosyme, déesse de la mémoire. Elles

toujours un bon moyen d'extérioriser ses sentiments personnels, notamment par le biais du registre lyrique. Ce registre est certainement le préféré des grands poètes romantiques du XVIIIème et du XIXème siècle, mais en vérité, il est présent du Moyen Age où les troubadours chantaient l'amour, jusqu'au XXème siècle avec des poètes tels que Jacques Prévert ou Edmond Rostand. La poésie lyrique est centrée sur le "moi", elle a toujours servi à l’auteur d’exprimer ses sentiments les plus souvent mélancoliques

pluieRappelle-toi BarbaraIl pleuvait sans cesse sur BrestEt je t'ai croisée rue de SiamTu souriaisEt moi je souriais de mêmeRappelle-toi BarbaraToi que je ne connaissais pasToi qui ne me connaissais pasRappelle-toiRappelle-toi quand même ce jour-làN'oublie pasUn homme sous un porche s'abritaitEt il a crié ton nomBarbaraEt tu as couru vers lui sous la pluieRuisselante ravie épanouieEt tu t'es jetée dans ses brasRappelle-toi cela BarbaraEt ne m'en veux pas si je te tutoieJe dis tu à tous ceux que j'aimeMême si je