Le Grand Troupeau De Jean Giono

Séquence n°4: Un roi sans divertissement. Giono. Le roman et ses personnages | | |Perspectives dominante : le roman comme une forme littéraire privilégiée de représentation de l'homme et du monde | | | |Perspective complémentaire :

et immoral au long de sa vie, nous fait prendre du recul sur son ascension sociale et les injustices de la société française. Néanmoins, à aucun moment cette société est explicitement critiquée. Un autre exemple pourrait être le roman de Jean Giono Le Grand troupeau, qui est une dénonciation de la guerre. Il ne critique pas directement la guerre mais en montre toutes les horreurs afin que le lecteur réalise par lui-même que c'est une mauvaise chose. Enfin, dans le film Coco avant Chanel, Gabrielle

montrer sur quoi porte son unité (thèmes développés, écrits pendant la guerre, les sentiments ressentis par ces soldats)3. Thématisation et problématisation du corpus (idée autour de : qu’est-ce que ces témoignages de soldats nous racontent de la grande guerre ?)4. Dans les différents textes : · Relevez les informations qui rendent compte d’éléments historiques + justifier votre réponse. Problème à régler : la chanson de Craonne fait référence à des faits très précis que les élèves ne peuvent pas

www.comptoirlitteraire.com André Durand présente ‘’Le chant du monde’’ (1934) roman de Jean GIONO (280 pages) pour lequel on trouve un résumé puis successivement l’examen de : la genèse (page 5) l’intérêt de l’action (page 7) l’intérêt littéraire (page 25) l’intérêt documentaire (page 44) l’intérêt psychologique (page 52)

siècle, en France comme dans toute l’Europe, est largement tributaire des traumatismes collectifs provoqués par les deux guerres mondiales. A la « der des der » à laquelle croyaient participer Péguy et ses compagnons d’armes1 et qui allait devenir la grande boucherie de 1914-1918, devait succéder vingt ans plus tard une horreur pire encore, avec l’extermination systématique et froidement organisée de tout le peuple juif. A peine commençait-on à découvrir, à Auschwitz, à Ravensbrück et en tant d’autres

ou d’une expression en début de proposition syntaxique. Comme une barque qui ne tient plus qu’à sa corde, et qui danse furieusement, et qui tape, et qui saque, et qui fonce, et qui encense, et qui culbute, le nez à son piquet, ...(Claudel, Cinq grandes odes) EPIPHORE (n.f): répétition d'un mot en fin de proposition syntaxique. L’enfant voyait la bouche qui était un trou, le nez qui était un trou, et les yeux qui étaient des trous. (Hugo, L’homme qui rit) EPIZEUXE (n.f)/REDUPLICATION(n.f):

Cancalon pour l’équipe du théâtre Chers amis, Salle de spectacles à multiples facettes, le Théâtre de l’Etang est désormais devenu un lieu incontournable de diffusion de la culture. Il a dorénavant son rythme de croisière et joue dans la cour des grands, grâce à sa programmation variée, quelques fois surprenante, mais toujours de qualité. Une élégante saison donc qui démarre en septembre 2012 pour finir en juin 2013, chargée en sensations et dotée d’évènements majeurs (Grease, Alain Chamfort, Titoff

Rêveries du promeneur solitaire (Fiche de lecture)Les Rêveries du promeneur solitaire Jean-Jacques Rousseau Fiche de lecture Document rédigé par Agnès Fleury licenciée en histoire (Université Paris I) lePetitLittéraire.frRendez-vous sur lePetitLittéraire.fr et découvrez : plus de 1200 analyses claires et synthétiques téléchargeables en 30 secondes à imprimer chez soi RÉSUMÉ 3 ÉTUDE DES PERSONNAGES 6 Jean-Jacques Rousseau Thérèse Levasseur Mme de Warens Les « comploteurs » CLÉS DE LECTURE

l’autobiographie est toujours un narrateur interne puisqu’il fait le récit de sa propre vie. Rousseau , dans Les Confessions, est un narrateur interne. Le narrateur interne peut aussi se trouver dans la narration romanesque (ex. : François Seurel dans Le Grand Meaulnes d’Alain-Fournier.) SECONDE FRANÇAIS 1ere SERIE -6- 2° Le narrateur extradiégétique ou externe : dans ce cas le narrateur n’appartient pas aux personnages du récit. C’est le type de narrateur le plus fréquent. (ex. : Une Vie de

analogies reconnues culturellement, sur des sentiments ou des symboles universels (chat = aspect rusé de l’homme). Puissance suggestive usitée régulièrement en poésie. « L'enfance a des manières de voir, de penser, de sentir qui lui sont propres. » (Jean-Jacques Rousseau) « Le soleil aussi attendait Chloé, mais lui pouvait s’amuser à faire des ombres. » (Boris Vian) II) Les figures de voisinage - Métonymie : Rapport de contiguïté (proximité) qui utilise un mot pour signifier une idée distincte