Le Guerchin

certains portant masques de carnaval. ▪ La famille Sagredo. 1752. Conservé à Venise. Représentation d’enfants très classique au XVIII° s. Formé chez Giuseppe Maria Crespi, bolonais. 1665-1747. Formé à l’école bolonaise des Carrache et du Guerchin. Chef-d’œuvre de réalisme. Présence moments exceptionnels de peinture dans cette scène, comme la nature morte d’ustensiles de vaisselle qu premier plan à droite. Série des Sept Sacrements de Crespi (1712, Gemäldegalerie, Dresde) pour cardinal Ottoboni

maison du roi et des princes. Vaguesse : (va-ghè-s'), n. f. Terme de beaux-arts. Ton léger d'une peinture, manière de peindre qui laisse beaucoup d'air dans un tableau, et qui donne aux formes quelque chose de vaporeux et d'indécis. Ce peintre (le Guerchin)... met dans ses dessins une vaguesse qu'on ne trouve dans les dessins d'aucun autre maître, Descript. du cab. de M. Crozat, 1741, dans DUMESNIL. Vaigre : (vè-gr'), n. f. Terme de marine. Planche qui sert au revêtement intérieur des membres composant

pas l’air penseur. Que de peine ne se donnait-il pas pour arriver à cette physionomie de foi fervente et aveugle, prête à tout croire et à tout souffrir, que l’on trouve si fréquemment dans les couvents d’Italie, et dont, à nous autres laïcs, le Guerchin a laissé de si parfaits modèles dans ses tableaux d’église1. 1 Voir au musée du Louvre, François duc d’Aquitaine 406 Les jours de grande fête, on donnait aux séminaristes des saucisses avec de la choucroute. Les voisins de table de Julien observèrent

pas l’air penseur. Que de peine ne se donnait-il pas pour arriver à cette physionomie de foi fervente et aveugle, prête à tout croire et à tout souffrir, que l’on trouve si fréquemment dans les couvents d’Italie, et dont, à nous autres laïcs, le Guerchin a laissé de si parfaits modèles dans ses tableaux d’église. Les jours de grande fête, on donnait aux séminaristes des saucisses avec de la choucroute. Les voisins de table de Julien – 220 – observèrent qu’il était insensible à ce bonheur ; ce

pas l’air penseur. Que de peine ne se donnait-il pas pour arriver à cette physionomie de foi fervente et aveugle, prête à tout croire et à tout souffrir, que l’on trouve si fréquemment dans les couvents d’Italie, et dont, à nous autres laïcs, le Guerchin a laissé de si parfaits modèles dans ses tableaux d’église1. 1 Voir au musée du Louvre, François duc d’Aquitaine 406 Les jours de grande fête, on donnait aux séminaristes des saucisses avec de la choucroute. Les voisins de table de Julien

pas l’air penseur. Que de peine ne se donnait-il pas pour arriver à cette physionomie de foi fervente et aveugle, prête à tout croire et à tout souffrir, que l’on trouve si fréquemment dans les couvents d’Italie, et dont, à nous autres laïcs, le Guerchin a laissé de si parfaits modèles dans ses tableaux d’église. Les jours de grande fête, on donnait aux séminaristes des saucisses avec de la choucroute. Les voisins de table de Julien observèrent qu’il était insensible à ce bonheur ; ce fut là un de

Rouge et le Noir Que de peine ne se donnait-il pas pour arriver à cette physionomie de foi fervente et aveugle, prête à tout croire et à tout souffrir, que l'on trouve si fréquemment dans les couvents d'Italie, et dont à nous autres laïcs, le Guerchin a laissé de si parfaits modèles dans ses tableaux d'église. [ Voir, au musée du Louvre, François duc d'Aquitaine déposant la cuirasse et prenant l'habit de moine, n° 1130.] Les jours de grande fête, on donnait aux séminaristes des saucisses avec

avait deja vu de la maison: c'etait une chambre modeste avec une petite table au milieu, et des gravures enfermees dans des cadres noirs pendus aux murs; ces gravures representaient La Cene de Leonard de Vinci, l'Aurore du Guide, l'Endymion du Guerchin, et la Bachante de Carrache. Il y avait en outre, dans cette salle a manger, deux portes en face l'une de l'autre. Au bout de dix minutes qu'il etait assis, le baron, commencant de s'ennuyer, se leva et se mit a examiner les gravures; au bout

et le Noir Que de peine ne se donnait-il pas pour arriver à cette physionomie de foi fervente et aveugle, prête à tout croire et à tout souffrir, que l'on trouve si fréquemment dans les couvents d'Italie, et dont à nous autres laïcs, le Guerchin a laissé de si parfaits modèles dans ses tableaux d'église. [ Voir, au musée du Louvre, François duc d'Aquitaine déposant la cuirasse et prenant l'habit de moine, n° 1130.] Les jours de grande fête, on donnait aux séminaristes des saucisses