Le Gueux Maupassant

réaliste se traduit par la naissance du réalisme. Ce mouvement littéraire qui naquit dans la seconde moitié du XIXe siècle, se veut dépeindre la vie dans ses détails les plus triviaux, sans artifice ni idéalisation. Stendhal, Flaubert, Balzac ou encore Maupassant sont des adeptes de genre. Ces hommes sont des contemplateurs de leur société et leur témoignage est leur œuvre. Comme dit Stendhal : « le roman est un miroir posé le long d’un chemin ». En effet, ce genre littéraire se prête parfaitement à décrire

mémoire qui montait à douze mille francs.     Douze mille francs ! Il faudrait prélever un impôt nouveau, un impôt de deux francs par tête d'habitant. Cela suffirait pour amener des troubles inconnus dans l'État.     On songea à faire décapiter le gueux par un simple soldat. Mais le général, consulté, répondit en hésitant que ses hommes n'avaient peut-être pas une pratique suffisante de l'arme blanche pour s'acquitter d'une tâche demandant une grande expérience dans le maniement du sabre.     Alors

fainéantise, il y a le relâchement des liens de la famille, les ordures de la promiscuité, l’oubli progressif des sentiments honnêtes, puis comme dénouement la honte et la mort ». Emile Zola ne fut pas le seul à écrire des romans naturalistes ; Maupassant y participa également en écrivant Bel ami, dont l’action se passe pendant la révolution industrielle, et Une vie où nous assistons là aussi au désenchantement de l’héroïne, Jeanne, qui voit son mari puis son fils la délaisser. Ces œuvres ont été

Helène Lafon ont découvre le monde paysan du XVIIIème siècle, par le biais de Paul, Nicole et les oncles ont nous décrit la dureté de la vie de paysan pendant cette époque mais aussi la difficultés d’emploi dans la France du Nord. Dans Bel-ami de Maupassant, Duroy est un arriviste qui s’élève dans la société et s’enrichir grâce a ses conquêtes féminines. On lui donne les qualités et les défauts de son milieu pour en faire un personnage singulier et représentatif comme fait Balzac et les 2000 personnages

liberté, l'image du peuple réprimé par la monarchie. Symbole de la liberté bafouée : Gavroche est l'innocente victime des forces de répression de Louis-Philippe. Si l’on continue a s’inspirer des œuvres d’Hugo, on pourrait également citer Claude Gueux (1834) inspiré de faits réel et donc d’un ordinaire condamné, que l’auteur érigera en symbole d’une lutte abolitionniste contre la peine de mort et du peuple qui « a faim et qui a froid et dont la misère pousse au crime et au vice, selon le sexe »

2n empire » et souligner le déterminisme de la physiologie, des milieux et des circonstances. Le naturaliste : observe les conditions d’existence des ouvriers, des paysans, des mineurs. Germinal : critique la condition des mineurs. • D’après Maupassant, les romans « traditionnels » visent à charmer, émouvoir => prééminence de l’intrigue, de l’aventure. Les réalistes, qui évitent l’exceptionnel, nous forcent à penser pour comprendre. Le roman réaliste provoque une réflexion profonde sur la société

d'Aurevilly, Les Diaboliques *** A.Camus, L'Etranger *, La Peste *** A.Cohen, O vous, frères humains ** G.Flaubert, l'Education sentimentale ***; Madame Bovary *** J.H.Griffin, Dans la peau d'un noir * V.Hugo, Claude Gueux ; Les Misérables (version abrégée Ecole des Loisirs)*** Maupassant, Bel ami ** F.Mauriac, Le Sagouin *, Thérèse Desqueyroux * ; Le Noeud de vipères ** G.Sand, La petite Fadette *; La Mare au diable* H.Troyat, Aliocha * J.Vallès, L'Enfant ** Villiers de l'Isle-Adam, Contes cruels

talent de l’écrivain qui, finement, peint les consciences, les contradictions, les conceptions, les idées de ses personnages => lecteur découvre la pensée d’un père corse (Cf. la Vendetta de Balzac), d’un Normand un peu avare (Cf. La Ficelle de Maupassant), d’une jeune femme qui découvre la vie (La Femme de trente ans, Une vie, Madame Bovary…). Grande précision dans la psychologie du personnage. Cf. le portrait de Balzac de la Vieille fille ou de Grandet. Cf. les portraits de Julien Sorel (> vu par

nouvelle réaliste Guy de Maupassant, La ficelle, 1883Travail réalisé par : Naoual SalhiSaliha El hilaliRajiba ElmirHanane ZounakiNezha MahmoudChaimaeTouyafzateLa ficelleFiche de lectureRéférences bibliographiques :Titre  : La ficelle Auteur  : Guy de Maupassant Date de publication  : 25 novembre 1883 Nombre de pages  : 10pages Renseignements complémentaires :Auteur : Guy de Maupassant, nait le 5 aout 1850, écrivain

ne voulait point s’en aller cependant, parce qu’il ne connaissait pas autre chose sur la terre que ce coin de pays, ces trois ou quatre hameaux où il avait traîné sa vie misérable. Il avait mis des frontières à sa mendicité. Maupassant, Contes du jour et de la nuit (Le Gueux) ELEMENTS DE CORRECTION I) 1) a) « pas de domicile » ; « pas de métier » ; « usé par la vie » ; « dormi dehors » 1 point b) Il est « estrassier », c'est-à-dire chiffonnier. (l.5-6) 1 point 2) a) Le groupe en italiques exprime