Le Génocide Arménien

La violence de la guerre touche aussi tout le monde : Les veuves et les orphelins sont très nombreux à la fin de la guerre. Les civils sont parfois visés (villes bombardées...). La guerre est aussi le cadre dans lequel va se produire le génocide des Arméniens dans l'Empire ottoman. L'Etat ottoman va faire mourir environ un million d'Arméniens durant la Première Guerre mondiale. VI)Le bilan et les conséquences de la guerre : Le bilan humain est terrible : dix millions de morts au moins, des millions

des morts. Les veuves et les orphelins sont très nombreux à la fin de la guerre. La guerre est aussi le cadre dans lequel va se produire le génocide des Arméniens dans l'empire Ottoman. (environ 1million d'Arméniens morts) qui a lieu en avril 1915 à juillet 1916. (Ce sont les « jeunes turcs » qui dirigeaient l'Empire ottoman et qui ont exécutés les Arméniens en Turquie) D) La place des femmes après la guerre La 1ere Guerre Mondial a véritablement favorisé, durant 4 ans, l'émancipation de

psychologiques et physiques : peur des civils de perdre un mari, un frère, un fils, conditions de vie dégradées (ravitaillement), des civils face aux violences des militaires dans les zones proches du front ou dans les zones occupées par l'ennemi, le génocide arménien = 1,5 millions de morts

longue portée comme les villes de Reims et d’Amiens situées près du front. En zone occupée, il y eu des représailles sous formes d’exécution, de viol, de prise d’otages. En 1915, dans l’Empire ottoman s’est déroulé le génocide Arménien qui a fait plus d’1 million de victimes arméniennes. Ces dernières ont été accusées de soutenir les Russes et donc de compromettre l’issue de la guerre. III/Les civils ne peuvent aller au front dans la « zone des armées »,de même pour les soldats à l’arrière sauf s’ils

de la France à celui-ci) dont le 10 mai pourrait être la date de commémoration. Un humoriste noir français a voulu manifester l’importance du devoir de mémoire à propos de l’esclavage, en le comparant à la commémoration très institutionnalisée du génocide juif. La question qui semble se poser est celle du contenu de cette mémoire. Peut-elle être universelle ? S’agit-il de « ma » mémoire, de la mémoire d’une nation ou d’une ethnie ? La mémoire est extensible bien sûr et il semble que le devoir de

l'ennemi (ils représentent 40 % des victimes de la 1E G.M) : exécutions, viols, travail forcé, otage, blessures de toutes sortes. L'ennemi emmène donc la guerre à l'intérieur, en effet, il s'attaque à des villages et on va même jusqu'au génocide : Génocide des Arméniens (1915). On peut donc parler de front de l'arrière. Par besoin de fonds, les USA prêtent de l'argent aux États. Et afin d'empêcher l'ennemi de s'approvisionner en matière premières ils procèdent à des blocus maritimes → torpillage

mitrailleuses…) D) Cette couverture pousse à la haine : détester l’ennemi. Il s’agit de la propagande. E) Des violences sur les populations : violences matérielles, violences physique, les première tentatives pour détruire une pop ( génocide arménien)

les lignes de communications étaient coupées. A partir du milieu de la guerre, l’Etat met en place le rationnement (on achète la nourriture avec des coupons de quantité qui sont distribués). Des civils ont été également tués comme pendant le génocide des Arméniens par l’Empire Ottoman (1,5 millions de morts). Les esprits ont aussi été mobilisés pendant la guerre. Les intellectuels ont montré dans les pays respectifs que l’ennemi était monstrueux et sanguinaire, et qu’il fallait à tout prix le vaincre

membres, du Conseil et de tous les Etats membres par un traité signé. Ça fait longtemps que la Turquie a tenté de s’intégrer dans l’UE mais la France s’était déjà clairement opposée à l’adhésion de la Turquie dans l’UE en cause la négation du génocide Arménien par les turcs. D’autres motifs viennent aussi contre cette adhésion, comme ceux montrant qu’il existe des tensions entre la Turquie et Chypre. Voilà, alors comme il est possible de le remarquer, une signature unanime de la part de tous les états

Italie…) par les persécutions fascistes contre les juifs et les communistes, ce groupe d’étrangers s’est organisé dans les réseaux de résistances français. Le chef de leur réseau de 23 membres était Missak Manouchian, poète Arménien (réfugié en France suite au génocide de 1915). Il a donné son nom au «Groupe Manouchian ». Le groupe Manouchian est un réseau de résistants étrangers qui a lutté en France de 1942 à 1943, il faisait partie du détachement de « Francs-tireurs et partisans de la main