Le Horla Questionnaire

interprétation » (BO du 28.08.2008). • Les textes sont questionnés selon une démarche méthodique, avec le double objectif de conduire l’élève à en construire le sens et de l’engager à une réflexion sur les valeurs véhiculées par le texte. Les questionnaires sont conçus pour être mis en œuvre en deux temps : un premier temps (« Dégager l’essentiel ») permet de s’assurer que l’élève a compris le sens global du texte ; un second temps (« Analyser le texte ») est consacré au questionnement du texte autour

succèdent comme les musiques dont l’une succédait à l’autre. L’abondance des propositions correspond à la multitude des musiques présentes dans l’air. Exemple 2 Il se dressa éperdu : « Quoi !… Comment !… Ce n’est pas possible ! » G. de Maupassant, Le Horla. a. Quel mot caractérise l’état d’esprit du personnage ? b. Montrez que la construction des paroles qu’il prononce correspond à cet état d’esprit. Adopter la bonne méthode Déterminez en quoi les trois phrases qui constituent les paroles correspondent

comme les musiques dont l’une succédait à l’autre. L’abondance des propositions correspond à la multitude des musiques présentes dans l’air.  Exemple 2 Il se dressa éperdu : « Quoi !… Comment !… Ce n’est pas possible ! » G. de Maupassant, Le Horla. Adopter la bonne méthode Déterminez en quoi les trois phrases qui constituent les paroles correspondent ou non au schéma classique : groupe sujet + groupe verbal. Identifiez leur type : déclaratif, injonctif, interrogatif ou exclamatif ; et

comme les musiques dont l’une succédait à l’autre. L’abondance des propositions correspond à la multitude des musiques présentes dans l’air.  Exemple 2 Il se dressa éperdu : « Quoi !… Comment !… Ce n’est pas possible ! » G. de Maupassant, Le Horla. Adopter la bonne méthode Déterminez en quoi les trois phrases qui constituent les paroles correspondent ou non au schéma classique : groupe sujet + groupe verbal. Identifiez leur type : déclaratif, injonctif, interrogatif ou exclamatif ; et

les musiques dont l’une succédait à l’autre. L’abondance des propositions correspond à la multitude des musiques présentes dans l’air.  Exemple 2 Il se dressa éperdu : « Quoi !… Comment !… Ce n’est pas possible ! » G. de Maupassant, Le Horla. Adopter la bonne méthode Déterminez en quoi les trois phrases qui constituent les paroles correspondent ou non au schéma classique : groupe sujet + groupe verbal. Identifiez leur type : déclaratif, injonctif, interrogatif ou exclamatif ;

Personnage Date de publication Julien Sorel 1830 Illusions perdues 1843 Flaubert 1869 Gervaise Macqaurt Bel-Ami 1876 1885 Activité n°4 – Quizz bilan du chapitre Après l’étude de ce premier chapitre, voici un questionnaire à choix multiples qui vous permettra de vérifier vos connaissances. Il comporte 7 questions. À chaque fois, plusieurs propositions vous sont faites. Cochez celles qui vous semblent exactes et n’oubliez pas que, bien souvent, plusieurs réponses

séduisante, P. Bayard sape son approche en pointant l’aporie que cette méthode de lecture provoque. En évoquant son travail sur Maupassant, P. Bayard avoue ceci : « Théorie jalonnée de quelques mots-clés, que nous avons appelés des "préconcepts" – comme "Horla" ou "Autre" –, suggérée par quelques scènes traumatiques répétitives, et pourtant jamais directement écrite. Mais le regroupement de ces données éparses et la désignation de ces préconcepts demeurent les nôtres et ne sont pas les seuls envisageables

vont visionner, ce qui facilitera leurs recherches ultérieures. • L’organisation du travail de groupe –– Le professeur fait ensuite lire les questions du manuel et demande aux élèves de se répartir en quatre groupes selon les quatre entrées du questionnaire. –– À l’intérieur de chaque groupe, les élèves se répartissent les questions, aidés par leur professeur. Par exemple, si les élèves du groupe 1 sont au nombre de 4, 5 ou 6, ils peuvent se répartir les questions par binôme et/ou trinôme. –– Chaque

contes merveilleux, la connaissance précise du fantastique permettrait de souligner les écarts et de lire ces documents iconographiques comme des ouvertures et non comme des illustrations. De même, lorsqu’un manuel propose en amont de l’étude du Horla, une biographie de Maupassant évoquant sa « folie » à la suite de la syphilis, le candidat éclairé pourrait discuter ce choix qui tend à effacer chez le lecteur l’hésitation, nécessaire au fantastique, « entre une explication naturelle et une explication

qui sépare les deux textes (40 ans), mais aussi à l’évolution d’un écrivain qui commence par écrire des romans d’aventure pour enfants et qui finit candidat à l’Académie française avec des récits fantastiques et psychologiques écrits à la manière du Horla de Maupassant. En présence du graphique 1, l’œil peut être sensible en outre au mouvement d’ensemble qui, de la droite à la gauche, semble soumettre les textes et les auteurs à la dérive du temps. On observe une sorte de croissant, caractéristique