Le Jour de la bête

détournés ! Contes détournés 6èmeB Hansel et Gretel : la promenade maléfique Il était une fois, deux enfants Hansel et Gretel et un père divorcé très maléfique. Un jour, le père se remaria. Ils habitaient à Madrid. Un jour, les enfants partirent au supermarché acheter des fruits. Hansel avait pris son téléphone, mais la nuit précédente, le père avait déchargé l’appareil. Les enfants arrivèrent au centre-ville, mais ils se perdirent vite.

La Bête Humaine, Zola (extrait chapitre X) La mort de la Lison « Enfin, Jacques ouvrit les paupières. Ses regards troubles se portèrent sur elles, tour à tour, sans qu’il parût les reconnaître. Elles ne lui importaient pas. Mais ses yeux ayant rencontré, à quelques mètres, la machine qui expirait, s’effarèrent d’abord, puis se fixèrent, vacillants d’une émotion croissante. Elle, la Lison, il la reconnaissait bien, et elle lui rappelait tout, les deux pierres en travers de la voie, l’abominable

voulait de sa gaieté, de sa renommée, de sa santé et de son embonpoint. Elle le traitait de propre à rien, parce qu'il gagnait de l'argent sans rien faire, de sapas, parce qu'il mangeait et buvait comme dix hommes ordinaires, et il ne se passait point de jour sans qu'elle déclarât d'un air exaspéré :     - Ça serait-il point mieux dans l'étable à cochons nu quétou comme ça ? C'est que d'la graisse que ça en fait mal au coeur.     - Espère, espère un brin ; j'verrons c'qu'arrivera, j'verrons ben ! Ça crèvera

Exposé de français Introduction L’humour fait partie de notre vie. C’est bien de rire le plus souvent possible car cela nous met de bonne humeur. Néanmoins, on peut parfois avoir l’air bête si l’on se moque de n’importe quoi. On s’interroge si l’on peut rire à n’importe quel moment et dans quelle situation. Peut-on vraiment rire de tout ? Définition Le rire est un comportement réflexe, exprimant généralement un sentiment de gaieté, de joie ou d'amusement , qui se manifeste par un enchaînement

L'AUDACE INTRÉPIDE «DES PARTISANS DU DÉMON» Une lettre du 29 mai 1970, à la même destinataire, témoigne de la constance et de la ferveur avec lesquelles sœur Lucie continue, comme le faisait Jacinthe, à prier pour le Pape : «Je réponds à vos lettres le jour anniversaire de l'ordination du Saint-Père. Aujourd'hui, tout est pour Sa Sainteté. Que Notre-Dame soit la messagère de nos pauvres et humbles prières...» Sans doute au sujet d'articles de journaux progressistes, que son amie lui a transmis, sœur

vivant qui serait constituée de « sang de taureau », qui aurait une « tête […] dans les nuages », mais aussi des « pieds » creusant « l’abîme » et des « bouches ». Ainsi, elle apparait telle une bête monstrueuse avec le « sang aux naseaux », la cité serait animale et protègerait ses habitants, ce serait une bête « inexpugnable ». Par la présence de sang, elle semble enragée, extrêmement violente. C’est un monument qui « vit » et qui « corne » le peuple qu’il abrite. Ce monument semble alors posséder

bien connu, puisque les témoignages décrivent des tailles différentes de 1.20 mètre pour certain jusqu’à plus de 3.50 mètres pour d’autres. La description reste très flou puisque qu’aucune véritable photographie convenable n’a été enregistrer à ce jour. Les différentes « espèces » : 1. Le yéti. Originaire de l’Himalaya ; au Népal et au Tibet. 2. Le yowie. Originaire d’Australie. Peut-être un cousin éloigné du yéti selon certain spécialiste. 3. Bigfoot. Originaire du continent Nord américain

quand ils séparent le sacré et le profane, l'impur et le pur, et quand ils font connaître aux Israélites n'importe lequel des décrets que Yahvé a édictés par l'intermédiaire de Moïse. Dans Ézéchiel il est demandé au prêtre de ne pas boire du vin "le jour où il entrera dans le parvis intérieur". Il est aussi question de vœux temporaires ou perpétuels de ne pas boire du vin. Si un non juif touche certains produits purs, ces produits deviennent impurs et donc inconsommables. Les aliments sacrificiels

cette bête, vraiment, tenait-elle au cœur de son ami autant que lui-même ? La parole de son père lui revint en mémoire : « Ne sois jamais le familier d'un sultan, car son amitié est vaine...» II caressait doucement la gazelle, tandis que ces pensées mélancoliques montaient du fond de son cœur... Brusquement, cédant à une impulsion, d'un geste peut-être involontaire, il la saisit, l'enveloppa dans son manteau et s’enfuit. Il sortit des jardins sans être vu. Arrivé chez lui il enferma la bête dans

son fils : « En fait, ma mère enregistrait minutieusement chacun de mes manquements pour m’en dresser le compte, un beau jour, quand je ne m’y attendais plus. » (l.) François est constamment sous la peur de la menace de sa mère, il sait très bien qu’un jour, il va être réprimandé de tous les mouvements qui déplaît à Claudine. Aussi, l’utilisation de l’oxymore dans « un beau jour » (l.), est controversé, puisque tous les jours que François vit, est un désastre sous la peur et le manque d’affection