Le Jour de la bête

ou à fuir. Les deux hommes s’aperçoivent alors qu’ils sont suivit par une meute de loups . Une louve au pelage roux semble les suivre de particulièrement près sans avoir peur des hommes. Bill devient de plus en plus engoissé d’être suivi nuit et jour par des betes carnivores. Il décide alors d’aller affronter les loups qui s’en prennent à l’un des derniers chiens qui leurs restent, mais il se fait attaquer et dévorer lui même et le chien. Resté seul, Henry lutte pour sa propre vie. Il abandonne

est la prière, faire appel au seigneur lui-même. Paul Fort écrivit l’exemple parfait du poème funeste avec « Complainte du petit cheval blanc », un cheval qui était toujours heureux de mener les hommes du village, d’être devant les autres, jusqu’au jour ou ce dernier mourut sans avoir vu le beau temps, toujours avant les autres. L’auteur veut expliquer à travers ce poème que notre destiné est directement liée à la mort qu’on ne peut échapper. Les poèmes « Comprenne qui voudra », de Paul Eluard, et

un baiser. Dans leur fauve horreur, pour peu qu'on oublie De les écraser, Pour peu qu'on leur jette un oeil moins superbe, Tout bas, loin du jour,La vilaine bête et la mauvaise herbe Murmurent : Amour ! Comment le poète cherche-t-il à changer le regard du lecteur sur ces êtres rejetés ? Dans le mouvement 1, des Vers 1 à 16 l’auteur exprime et justifie longuement

Ses flèches, son carquois, son flambeau, son enfance : Ce n'est pas l'ouvrage d'un jour Que d'épuiser cette science.Je ne prétends donc point tout expliquer ici :Mon but est seulement de dire à ma manièreComment l'aveugle que voici(C'est un Dieu), comment, dis-je, il perdit la lumière ;Quelle suite eut ce mal, qui peut-être est un bien ;J'en fais juge un amant, et ne décide rien. La Folie et l'Amour jouaient un jour ensemble :Celui-ci n'était pas encore privé des yeux.Une dispute vint : l'Amour veut

veux faire annoncer ton intention ; peut-être nous viendra-t-il quelque princesse de l’étranger. » Il envoya donc partout des lettres pour cet objet, et il ne se passa pas longtemps sans qu’on vît paraître des princesses. Il n’y avait presque point de jour où ce ne fut le tour de quelqu’une ; mais dès qu’on s’informait de ses aïeux et de sa famille, on s’apercevait que ce n’était point là une véritable princesse, et on la congédiait bien vite. « Si cela continue ainsi, disait le prince, je finirai par

Commentaire littéraire : Zola, La Bête humaine, chapitre X (pages 345-346) NB : il est indispensable d’avoir d’abord lu en entier le chapitre X avant d’étudier ce passage. Enfin, Jacques ouvrit les paupières. Ses regards troubles se portèrent sur elles1, tour à tour, sans qu'il parût les reconnaître. Elles ne lui importaient pas. Mais ses yeux ayant rencontré, à quelques mètres, la machine qui expirait, s'effarèrent d'abord, puis se fixèrent, vacillants d'une émotion croissante. Elle, la

France, devant Vichy & Vittel. 1 II. Les activités à DAX Un centre ville et ses rues piétonnes bordées de boutiques, ses sites à visiter comme lesremparts aménagés en promenade, Fontaine chaude : centre historique de Dax quidébite chaque jour 2 600 000 litres d'eau thermale à 63°, le musée Borda où sontexposées de riches collections archéologiques, le musée de l'Aviation Légère del'Armée de Terre présentant les différents appareils précurseurs de l'hélicoptère, laCathédrale et l'églide

Raquins-Emile Zola Résumé de chaque chapitre du livre Thérèse Raquin | CHAPITRE 1 : exposition : Laction se déroule à Paris, près des bords de Seine, du côté de la rive gauche... Sauvegarder le document Emile ZoLa, La Bête Humaine Résumé Complet Chapitre Par Chapitre. EMILE ZOLA, LA BÊTE HUMAINE Résumé complet chapitre par chapitre. Chapitre I Février 1869. Paris. Roubaud est sous chef à la gare du Havre, en Normandie... Sauvegarder le document Résumé Par Chapitre De Sa Majesté Des Mouche De William

qui l’inquiète. En effet, en « juillet 1766 », « n’ayant plus de Jésuites à manger », Diderot se sent visé par la censure qu’il désigne dans sa lettre comme « une bête féroce ». Ce procédé utilisé est une métaphore, elle désigne la censure de façon négative. Le champ lexical de l’horreur : « bête féroce » ; « cette bête » ; «  le sang humain » ; « les tyrans » ; « terreur » ; « atrocité » met en évidence l’aspect néfaste de la société dans laquelle vivaient les philosophes des Lumières. Elle

jeunesse ! » ▪ émotion qui la submerge, elle ne se maitrise pas : points de suspension récurrents ▪ Rythme haché et rapide, parataxe + passage rapide de l’interrogation à l’affirmation « Quand tu m’as vue, n’est-ce pas ? J’avais l’air d’une bête ». Elle fait les questions et les réponses, logorrhée verbale. ▪ accumulation ternaire, avec une gradation : « j’étais grave, écrasée, abrutie » c) l’importance du corps - corps qui souffre intensément : « mon sang me brûlait », « je