Le Journal d'un fou

guerre, il retourne à Paris et travaille pendant dix années comme commis d’abord au Ministère de la Marine puis au Ministère de l’Instruction Publique où il est transféré en 1878. Le soir, il travaille à ses écrits littéraires qu’il publie dans des journaux importants. En avril 1880 sort le recueil Les Soirées de Médan dans lequel Maupassant a écrit La nouvelle "Boule de Suif" qui rencontre un franc succès auprès du public. Ce succès lui permet d'abandonner sa carrière administrative pour se lancer

devient fou car il laisse des objets, comme du lait ou de l’eau, sur sa table de nuit et ils ont disparu le lendemain. Il vit toujours avec l’impression que quelqu’un d’invisible est à côté de lui ( il l’appelle le Horla). Un jour, il ne se voit plus dans son miroir et met le feu à sa maison pour détruire le Horla en se demandant ensuite s’il ne faudra aussi qu’il se tue lui même pour se sauver. 3. La nouvelle est écrite sous la forme d’un journal. Les caractéristiques d’un journal sont : -

film Morse ) → ecriture d'invention a partir du film. Séance1 : Vera, Villiers de l'île d'Adam (1874) La comtesse Vera meurt et son mari, qui l'aimait passionnément, se mets a vivre isolé et comme si sa femme existait toujours. Au bout d'un an, le jour de l'anniversaire de la mort de Vera, la comtesse semble revenir veritablement. 1-Quel est le point de vue utilisé dans ce recit ? Point de vue interne : le narrateur sais ce que sais le personnage. Omniscient : le narrateur sais

développe les points communs entre le singe et l'homme en montrant que les singes alors que les hommes préhistoriques riaient. Le rire est inné, l'enfant peut rire et sourire à partir de l'âge de 4 mois. Un bébé chatouillé, rit. Il va peu à peu passer d'un rire réflexe à un rire social. Le rire est indispensable au développement cognitif des bébés. La fameuse expression que Rabelais reprend dans le prologue de Gargantua et du philosophe grec Aristote. Actuellement, des neurobiologistes américains auraient

cinquante-quatre ans lors de sa composition. Il est indiqué dans la préface de l’ouvrage que celui-ci constitue les « mémoires d’une âme », c’est-à-dire la présentation poétique des sentiments éprouvés par le poète. Victor Hugo présente son livre comme le journal d’une destinée. Il l’introduit comme tel : « Vingt-cinq années sont dans ces deux volumes… L’auteur a laissé, pour ainsi dire, ce livre se faire en lui. La vie, en filtrant goutte à goutte à travers les événements et les souffrances, l’a déposé

pour le journal communisme « Ce soir » Après l’armistice de 1940, il devient rédacteur au journal « Aujourd’hui » ; le journal, après l’arrestation par les nazis d’un de ses deux directeurs : Henri Jeanson, est soumis à la censure allemande, cependant, Desnos utilise les subtilités du langage qui lui sont familières, pour préparer la France à un avenir libre. Dès juillet 1942, il fait partie du réseau « AGIR », auquel il transmet des informations confidentielles parvenues au journal En 1943

mystère de la maison abandonnée. Mais il n’y a rien, il constate juste que trois lignes ont été découpées. Il décide donc de se rendre dans l’agence de L’Eclaireur de l’Est, qui a, entre temps, changé de nom (L’Union) pour obtenir les archives des journaux.

Le Horla, nouvelle fantastique écrite en 1887, demeure vraisemblablement parmi l’une des plus célèbres oeuvres de Guy de Maupassant. Possédant trois différentes versions, une sous la forme d’une lettre, d’un récit ou d’un journal intime, Le Horla introduit mieux que toutes les autres nouvelles de Maupassant les questions du surnaturel et du dédoublement. Faisant sombrer le lecteur dans un délire à la fois absurde et furieusement convaincant, Maupassant crée ce personnage, ce double néfaste et

siècles à venir à n’en pas douter. La souffrance et le mal de vivre étant omniprésent dans la façon d’écrire à cette époque, il sera donc question d’une analyse sur l’un des textes de Maupassant, « Le Horla » , qui raconte l’histoire d’un homme la supposée visite d’un être invisible et qui hante ses pensées en le laissant dans le doute de ce qu’il voit ou croit voir. Je tenterai d’expliquer pourquoi « Le Horla » est une autobiographie en faisant le lien entre la vie de l’auteur et du personnage et

aussi les thrillers qui permettent au lecteur d'imaginer au fur et à mesure que le suspense monte, l'expression des personnages, les décors, le tueur, toute l'histoire dans son imagination. Dans « Shining » de Stephen King l'un des personnages devenue fou essaie de tué sa famille. Ainsi le lecteur peut s'imaginer Jack Torrance en train de poursuivre sa famille dans l'hôtel Overlook jusqu'à la fin du roman. Cela ce vois aussi « La Mémoire dans la peau » est ainsi une adaptation du roman de Robert Ludlum: