Le Journal d'un fou

Peste L’action se déroule en 194x dans la ville d’Oran. Le docteur Rieux fait la découverte macabre d’un rat mort sur son pallier de porte. Il demande l’avis du concierge, monsieur Michel, qui est persuadé que ce n’est qu’une blague de la part de jeunes plaisantins. A midi, le docteur Rieux doit accompagner sa femme dans une ville voisine car cette dernière est malade. Quelques jours après, un journal de la presse annonce la mort de plus de six milles rats et ce, le même jour. La panique commence à

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plaisanterie. De même une chose sérieuse est une chose importante, qu’il ne faut pas prendre à la légère. » En outre, on peut difficilement aborder un sujet sensible par le rire. Un responsable de compagnie aérienne peut difficilement annoncer le crash d’un avion le rire aux lèvres sous peine d’être non crédible ou de paraître irrespectueux. Le ton grave et sérieux face à ce genre d’événement est de circonstance. De même, un lycéen dit sérieux en classe est sensé être attentif, écouter et ne pas se laisser

uk/illingworth/illingworth_s040.htm Philippe Zec, Daily Mirror, 11 octobre 1940, dans Bryant M., La Seconde Guerre mondiale en caricatures, Hugo& Cie, Paris, 2009.16 La seconde, de Jehan Sennep, datée de 1943 et titré Propagande, montre Pétain griffonnant à la lumière d’un réverbère des graffiti en son honneur. Ce dessin fait écho au nombre croissant de croix de Lorraine, Vive la France et Vive de Gaulle qui fleuris- saient sur les murs. Une lithographie russe, enfin, montre Laval à genoux devant Hitler, quéman- dant

né le 7 novembre 1913 en Algérie d’un père alsacien et d’une mère d’origine espagnole. Son père décède – 1e guerre mondiale. Etudes de philosophie. 1934 épouse Simone Hié. Parti Communiste de 1935 à 1937. Diplômé d’Etudes supérieures de philosophie – fonde le Théâtre du travail. Crée avec 3 amis « Révolte dans les Asturies » pièce interdite. Rencontre philosophe Jean Grenier. Divorce – Epouse Francine Faure. Durant la deuxième guerre mondiale, travaille pour journal clandestin. « Combat ». Rédacteur

indispensable pour se faire croire, c’est de croire […]. J’en avais conclu que la bonne et véritable histoire fantastique ne pouvait être placée convenablement que dans la bouche d’un fou.                                                              Charles Nodier, Préface de La Fée aux Miettes Le XIXe siècle est aveuglé par le rêve d’un monde meilleur permis par les avancées spectaculaires de la science et de la technologie. Le positivisme, philosophie qui récuse la religion, la métaphysique et l’imagination

Chine, notre ami Renaud de Spens, analyste des médias chinois et ancien attaché de presse à l’ambassade de France en Chine. Pour les Chinois, les Coréens du Nord sont un peu comme un miroir déformant dans une foire, des créatures remontées du temps d’un Jurassic Parc voisin, à la fois ilotes et idiots utiles. Beaucoup de plaisanteries les mettent en scène, exutoires qui règlent aussi les comptes des Chinois avec leur propre passé totalitaire maoïste. Dans les conversations sur internet ou dans les

et très vite, il impose de nouveaux choix éditoriaux à la rédaction. Les journalistes sont très inquiets. Surtout lorsque Charles, qui faisait office de garde-fou, s'absente. Il a dû se rendre au chevet de son père malade... Une prise de position engagée Ce film est un pamphlet évident contre la course médiatique que se livrent les journaux télévisés. Le réalisateur, William Karel, y dénonce notamment l’obsession de l’audimat et l’omniprésence du thème de l’insécurité à la veille du premier tour

puis à l’église. Grâce au travail et aux économies, le ménage connaît bonheur et prospérité et a une petite fille, Nana. Goujet, un forgeron solide et sûr, qui vit avec sa mère à côté des Coupeau, devient l’ami de Gervaise. Un jour, Coupeau tombe d’un toit et se casse une jambe. Le couple doit puiser dans les économies. Goujet prête de l’argent à Gervaise pour lui permettre de s’établir blanchisseuse. Le commerce fonctionne plutôt bien, et Gervaise engage deux ouvrières. Elle gagne correctement

beaucoup occupé de Benjamin Constant, non pas du tribun, ni de l’orateur, ni du théoricien politique, ni de l’historien des religions, mais de l’homme. Diverses publications ont remis sa figure dans une vive lumière, et particulièrement celle du Journal intime où il notait avec autant de sincérité que de clairvoyance les multiples incidens de sa vie intérieure et les états successifs de son âme changeante. Il se trouva que vers la même époque on se reprenait de goût pour les études morales. Le roman