Le Journal d'un fou

Les supérieurs du monastère ne l'admettront pas comme moine mais, en 1905, il deviendra oblat de cette même abbaye. De retour en Chine, il y poursuit sa carrière diplomatique et, après avoir été consul à Shanghai (1895), il devient vice-consul à Fou-Tchéou (Fuzhou, 1900) puis consul à Tientsin (Tianjin, 1906-09). Il est ensuite consul à Prague (1909) Francfort (1911) et Hambourg (1913) avant d'être nommé ministre plénipotentiaire à Rio de Janeiro (1916), et à Copenhague (1920). Il est ambassadeur

C’est un passage de mon journal de voyage que j’ai écrit pour que jamais je n’oublie tout ce que j’ai vécu. Qu’est-ce que cette expérience m’a fait découvrir de si important? Sur quoi m’a-t-elle fait réfléchir? Elle fut combien enrichissante pour mon esprit sans penser à toute la maturité que j’ai acquise pendant les deux ans de préparation! Ce n’était pas pour moi quelque chose de prévu, mais bien la chance de pouvoir vivre une expérience de vie et de faire partie d’un groupe, en qui je faisais

__________________________________ 3. Genre du récit, structure interne, élaboration. « Aux champs » est une ___________ . Elle fait partie du domaine de la ___________ . Une nouvelle est un court roman. Elle peut être publié intégralement dans un journal ou une revue. Une des caractéristiques d’une nouvelle est qu’il y a peu de personnages et que le décor est rapidement planté. La narration désigne un récit détaillé, mais aussi la structure générale de ce récit. La narration peut se faire selon plusieurs

publie l'Etranger et le Mythe de Sisyphe chez Gallimard . Ces deux livres enflamment les jeunes lecteurs et valent à Albert Camus d'accéder à la notoriété. En 1947, il publie La Peste qui connaît un immense succès. C'est cette année-là qu'il quitte le journal Combat. 
 Albert Camus subit avec une grande douleur la situation algérienne. Il prend position, dans l'Express, au travers de plusieurs articles où il montre qu'il vit ce drame comme un "malheur personnel". Il ira même à Alger pour y lancer un appel

grande maison dans un quartier branché de Florence. Matilda est si charmant et sûr de lui comme Aeneas est maladroit, timide et sa mère à charge. Pendant ce temps, la ville est enfermé dans une emprise de la terreur: la nouvelle lune dans les nuits d'un maniaque homicide erre dans les campagnes pour la chasse aux couples d'être massacrés. Matilde tombe peu à peu en proie au doute. Chaque indice, chaque point conduit à Enée. La femme est déterminée à découvrir la vérité à tout prix à l'enfant, déchiré

MalCeci et cela - Article de Gustave Bourdin L’article est une critique du journal du Figaro. Critique assez dure. Il dit qu’il était reconnu, qui avait de l’autorité. Il dit que pour certains Baudelaire est le Dieu de la poésie, forte utilisation des hyperboles de façon moqueuse. Baudelaire a peu publié et donc c’était un livre attendu. Pour le critique, le livre aurait dû être publié. Pour le critique Baudelaire est fou. Il compare son œuvre avec un hôpital. Il y a une forte gradation. Un fort

à la rédaction d'un mémoire qui traite de la vie d'un aristocrate du XVIIIe siècle, Monsieur de Rollebon. “La nausée” est le journal qu'il a entamé lorsqu'il s'est aperçu, en ramassant un galet au bord de la plage, que les objets ou la perception qu'il en avait avaient changé. À force d'observer une racine, il ne sait plus la nommer. Les objets les plus ordinaires semblent animés d'une vie propre. Lorsqu'il ramasse une feuille de papier, il n'a plus le sentiment de se saisir d'un objet inanimé mais

: Ce roman retrace l’ascension social de Georges Duroy. Commençant comme employé au bureau des chemins de fer du Nord, il rencontra un ancien ami, Charles forestier rédacteur politique à La Vie française qui lui propose un poste dans ce journal. Au cours d’un diner chez les forestiers, il rencontre Mme Forestier qui est la femme de son ami lui donne des conseils et l'aide à rédiger ses premiers articles. Puis il fait la connaissance de Clotilde de Marelle, un sympathique bourgeois, qui sera son

tourne et retourne des actions inutiles. -On est devant ce monde indifférent cette planète qui bascule. -On est nous-mêmes presque indifférents. -Non non pas d’accord indifférents non. -On est juste normaux c’est ça qui est pas normal. -C’est fou comme on a des vies banales. -Des vies mesurées en quelque sorte. 2.-Dans Paris, il y a une rue ; -Dans cette rue, il y a une maison ; -Dans cette maison, il y a un escalier ; -Dans cet escalier, il y a une chambre ; -Dans cette chambre

solitaire. La dernière maison d’une voie sans issue. C’était une maison solitaire mais pas abandonnée parce que dans la salle à manger la lumière brillait derrière les rideaux et on pouvait entendre à travers le mur le caquètement idiot des présentateurs d’un programme de jeux dans lequel on pouvait beaucoup gagner mais aussi beaucoup perdre. Tom alluma sa lampe à laser. Il faisait cela continuellement, surtout en classe. Personne n’y faisait encore attention, d’ailleurs, seulement Tom. Soudain le souffle