Le Knouk

valet Lucky, il ne serait rien : « Sans lui je n'aurais jamais pensé, jamais senti, que des choses basses, ayant trait à mon métier de _ peu importante. La beauté, la grâce, la vérité de première classe, je m'en savais incapable. Alors j'ai pris in knouk. ». Des liens d'amitié naissent entre maîtres et valets, qui sont souvent complices des projets de leurs maîtres, ils y participent parfois. Dans l'acte III, scène 1 de Dom Juan, Sganarelle et Dom Juan se déguisent, pour fuir. Pour évité que l'on

acte à l'autre : il devient aveugle, il perd son nom, il forme peu à peu avec Lucky un couple totalement interdépendant. C'est le fond de l'échelle humaine. (Pozzo signifie "puits" en Italien). Lucky : C'est ironiquement le "chanceux". C'est le "Knouk" : corvéable à souhait, pitoyable et soumis. Il est le porteur, le chien, le cheval, le porc, l'assujetti. Sa déchéance empire d'un acte à l'autre : il devient muet et semble encre plus près de la mort. Le garçon : Il s’agit d’un simple berger

conflit. C’est l’un des intérêts de ce type de disputes. Ainsi, dans En attendant Godot, Pozzo semble considérer l’esclavage dans lequel il tient Lucky comme une source de fierté : il s’en vante (« Autrefois on avait des bouffons. Maintenant on a des knouks. Ceux qui peuvent se le permettre ») et en fait montre (« Maintenant regardez […] vous avez vu ? »). Vladimir et Estragon au contraire semblent prendre fait et cause pour Lucky et insulte celui qui le traite comme un animal (« VLADIMIR : « Et Fumier

(alors que dans l'acte I la dépendance était unilatérale).. C'est le fond de l'échelle humaine. (son nom, Pozzo signifie "puits" en Italien) . Il répond au nom de Caïn : le réprouvé, l'errant. Lucky C'est ironiquement le "chanceux". C'est le "Knouk" : corvéable à souhait, pitoyable et soumis. Il est le porteur, le chien, le cheval, le porc, l'assujetti. Sa déchéance empire d'un acte à l'autre : il devient muet et semble encre plus près de la mort. Les deux personnages entretiennent une relation

en attendant ? Le premier évènement notable de la pièce est l’arrivée au milieu du premier acte, d’un autre couple Pozzo et Lucky. Le premier est un homme très autoritaire, le propriétaire des lieux si l'on en croit son discours. Le second est un Knouk, une sorte d'esclave, un sous-homme tenu en laisse, que Pozzo commande tyranniquement. Le jeu continue quelque temps, Estragon reçoit des os de Pozzo. Pour Vladimir, le traitement subi par Lucky est une honte, un scandale ajoute Estragon mais sans

peut tre vue comme une rvolution du point de vue thtral et du point de vue littraire. Par exemple il y a beaucoup dinnovations pour ce qui concerne la langue utilise par les personnages. Certains fois lauteur invente des paroles par exemple on dit knouks, qui voque le mot anglais knot, qui est utilis pour faire comprendre la relation particulire qui existe entre Pozzo et Lucky puis on utilise le terme la Merdeculeuse, qui sert pour faire rire le lecteur, car cest presque une parodie faite partir

s'arrêter quelques instants pour se restaurer, fumer une petite pipe et deviser avec ses semblables, cela fera passer le temps et Pozzo aime parler. Il explique, en des propos où il semble impossible de démêler le vrai du faux, ses rapports avec son «knouk» qui s'appelle Lucky et qu’il traite comme on n'oserait pas traiter un animal, qu'il va vendre parce qu’il n'est plus bon à rien si ce n'est à penser, et encore, il s'emballe dès qu'on le lance. Heureusement, il suffit de lui retirer son chapeau pour

Peut-être est-il déjà passé ? Que faire en attendant ? Au milieu du premier acte, un autre couple entre en scène : Pozzo et Lucky. Le premier est un homme très autoritaire, le propriétaire des lieux si l'on en croit son discours. Le second est un Knouk, une sorte d'esclave, un sous-homme tenu en laisse, que Pozzo commande tyranniquement. Le jeu continue quelque temps, Estragon reçoit des os de Pozzo. Pour Vladimir, le traitement subi par Lucky est une honte, un scandale ajoute Estragon, mais sans

s'arrêter quelques instants pour se restaurer, fumer une petite pipe et deviser avec ses semblables, cela fera passer le temps et Pozzo aime parler. Il explique, en des propos où il semble impossible de démêler le vrai du faux, ses rapports avec son «knouk» qui s'appelle Lucky et qu’il traite comme on n'oserait pas traiter un animal, qu'il va vendre parce qu’il n'est plus bon à rien si ce n'est à penser, et encore, il s'emballe dès qu'on le lance. Heureusement, il suffit de lui retirer son chapeau pour

nom. Il forme peu à peu avec Lucky un couple totalement interdépendant. Il représente en quelque sorte le fond de l'échelle humaine. (Pozzo signifie "puits" en Italien). Lucky est un personnage ironiquement nommé le « chanceux ». C'est le "Knouk" : corvéable à souhait, pitoyable et soumis. Il est le porteur, le chien, le cheval, le porc, l'assujetti, qui ne parle que lorsqu’on lui demande, et n’existe que par les ordres donné par Pozzo. Il pourrait être l’ombre d’un intellectuel ou d’un artiste