Le Krash Boursier

: L’exode rural au Québec est causé par les changements économiques. INTRODUCTION • Problématique • Hypothèse DÉVELOPPEMENT 1. L’exode rural au XVIIIe et XIXe siècle A) Exode vers les États-Unis 1870-1930 B) Crise économique 1930 (krash boursier 1929-1939) 2. Les modifications dans l’agriculture A) La mécanisation des opérations B) La progression des méthodes C) Augmentation de la superficie des fermes D) Abandon des régions et des terres peu cultivables 3. Baisse d’importance

qu’après cette crise économique, sous la présidence de Roosevelt, les Etats Unis pensaient pouvoir faire face a tout, mais nous avons pu voir plus tard que des crises mondial et dans le pays ont encore frappé dans les années 1990 et 2000 avec un Krash boursier. Les finances étaient donc encore une fois tourner vers la reprise de l’économie et non a des fins militaires, car ils ne pensaient pas que l’on pouvait les attaquer. Mais ils se trompaient, des terroristes attaquaient par des avions détourné

Au niveau de la législation : - 1921 Reconnaissance du droit de grève Premières commissions paritaires Journée de 8h - 1924 Assurances sociales obligatoires - 1930 Allocations familiales La récession économique consécutive au Krash boursier et l’avènement du Front populaire de Léon Blum en France notamment entraînent les grèves de 1936. Le 1er ministre Paul VAN ZEELAND (Catholique) institutionnalise les rapports sociaux par le biais de la conférence nationale du travail regroupant

personnes n'ayant rien d'autre que leur force de travail et leur tête. Pour qu'il y ait un marché du travail, il faut que les personnes aient été obligé de se prolétariser. Le marché du capital se rencontre surtout au niveau des systèmes bancaires, boursiers. I. La prolétarisation et le marché du travail Quand le capitalisme s'est développé, on s'est demandé comment il était apparu. Le premier théoricien, Adam SMITH, qui a publié La richesse des nations en 1776, a appelé cette question la question

bien s’enrichir car la valeur des actions ne cesse d’augmenter depuis 1919, soit près de 10 ans d’augmentation. Si l'on refait le calcul en suivant l'évolution réelle du cours des actions on s’aperçoit que 400 dollars investis en 1919 sur le marché boursier seraient devenus 21 000 dollars en 1929, juste avant le krach, soit une multiplication par 52 de la mise initiale. Plus le temps passe, plus la prospérité s'installe et plus les américains sont persuadés qu'en investissant habilement en bourse, ils

associées à la panique bancaire, et de nombreuses récessions ont coïncidé avec ces paniques. D'autres situations qui sont souvent appelées crises financières sont des krashs boursiers et l'éclatement d'autres bulles financières, crises monétaires et par défaut souverain. La crise financière que l’on appellera parfois aussi « krach boursier » qui affecte les marchés financiers (marché des actions et des obligations, en clair la bourse), et/ou les banques et/ou les Etats (lorsque ceux-ci sont surendettés

Distribution excessive de crédits par les banques Fuite des Capitaux Crises bancaires Automne 1998 : Amérique Latine Krash boursier Crises bancaires Risque de change non apparent Hausse des cours boursiers Ralentissement économique Krash boursier et immobilier Automne 1998 : Pays développés Baisse des marchés boursiers 43 Annexe 2 Schema decisionnaire Niveau des encours Note Bale II Seconde lecture Niveau 1 De 0 a 7 Unite

échelles de l’économie : elle peut être planétaire, régionale ou nationale. Cependant une crise nationale peut s’étendre par contagion et devenir internationale. Une crise financière inclut les monnaies, les institutions financières et le marché boursier. Pour certains comme Gottfried Haberler, la crise financière se définit comme le moment de retournement d'un cycle économique. Ce phénomène est matérialisé par un dysfonctionnement des marchés de capitaux dû principalement à des prises de risques

déclarait : « Sans ancrage, la sphère financière se développe à une vitesse effrénée. C’est le temps de l’économie champagne où les bulles explosent les unes après les autres »  : chocs pétroliers de 1973-1979, dette des pays émergents en 1982, krach boursier de 1987, crise Mexicaine en 1994, Asiatique en 1997-1998, Argentine en 2001, etc. Toutes ces crises sont représentatives d’une activité économique massive et toujours croissante sur la planète, impossible à réguler malgré l’effort des États, même

décoratif à l’œuvre d’art totale afin de mettre l’art à la portée de tous. Vienne est alors clivée entre le sentiment d’un effon- drement de tous les repères et l’espoir d’un génial renou- veau. La crise économique que traverse l’Autriche depuis le krash boursier de 1873, le gouvernement fragile de l’empe- reur François-Joseph Ier, contraint de composer avec une opposition libérale très puissante, et l’état de décomposi- tion avancée de l’empire participent au sentiment de déca- dence. Le suicide de l’héritier