Le Langage Nous Trahit Il

vraisemblance du monde qu'il a créé. Balzac souhaitait « faire concurrence à l'état-civil ». Mimèse ! Le nom du personnage ne doit pas jurer avec les qualités ou les défauts qu'on lui prête, il peut au contraire les signaler de manière explicite. Il trahit également une origine sociale (Manon Lescaut, Félix de Vandenesse). L'écriture est au service du personnage, de sa représentation Le point de vue omniscient par exemple permet de dévoiler le passé du personnage, de révéler ses pensées. D'en faire

persuasion violente, tentateur extrême, manie parfaitement langue et rhétorique mais l’utilise à des fins malhonnêtes III Personnage représentatif de la société A- Violence de son langage traduit ses rapports au monde et celle de la société elle-même, use des terme triviaux ou argotiques>gaillard, potage ça trahit sa véritable identité Images violentes>soigner ses sœurs, arracher, acharnement, manger les uns les autres, enterrer sous la boue réduit l’homme à l’état d’animal, instant de survie

à prier, dans une autre édition, il est appelé Francisque, religieux de l'odre fondé par Saint François d'Assise qui avait fait veut de pauvreté voir de misère. .Il refuse de jurer, il est stoïque -> "Non Monsieur, j'aime mieux mourir de faim", langage soutenu b) Le libertin cruel .Politesse hyperbolique -> il veut forcer le pauvre à demander l'aumône et feint de croire que le pauvre est misérable -> matérialiste .Chantage et corruption de sa part : en diable tentateur il demande au misérable

même de culture : notion de contre-culture, repli entre pairs (doc. 2), langage codé réservé au groupe (doc. 4). ƒ Les effets négatifs de l’absence de transmission : - Pour les jeunes générations, risque d’un appauvrissement identitaire et culturel : langage appauvri et mécanique du fils Victor Eliot Johns (doc. 1), l’homme privé de culture qui est séparé de la mémoire de l’humanité (doc. 3), parole des deux jeunes qui trahit une absence de repères (doc. 4), risque de n’avoir plus à se révolter et

suivante. Les répliques sont courtes et la concaténation des répliques est très bonne : chaque personnage reprend la réplique de l’autre pour répondre comme pour montrer que les deux personnages sont fait l’un pour l’autre. L 345-346 L 403-406 Un langage recherché et ambiguë : la langue de marivaux Marivaux, comme nous l’avons vu dans la fiche outils sur le marivaudage a un style d’écriture très particulier. « Puisque nous sommes dans le style amical et que nous avons abjuré les façons,… » l 345-346

pièce de Giraudoux présente le retour d’Oreste, à qui sa sœur demande de tuer Egisthe et Clytemnestre car elle hait sa mère profondément (due à la malédiction des Dieux). Le rapport mère/fille sera mis en avant dans cette pièce. Giraudoux utilise un langage moderne, des anachronismes… Giraudoux parle de la tragédie durant l’entracte Lamento du jardinier. C’est une pose dans l’action ; on parle du théâtre notamment. I la conception renouvelée de l’entracte 1 Texte théorique, où il y a beaucoup d’emprunts

Sujet sur la lettre 81 et sa version filmique 1° comprendre le sujet: non il trahit / oui il respecte , la question est: est ce que Laclos donnerait un quitus à Frears ? Lui seul serait habilité à donner ce satisfecit. Nous ne pouvons donner qu'un avis personnel . Mais en jugeant sur pièces ! Paradoxalement la littérature avec beaucoup moins de moyens et la seule médiation de l'écrit en dit beaucoup plus ! Passer de l' écrit à l'écran implique forcément une déperdition. 2° rechercher

liberté? Pour être juste, suffit-il d'obéir aux lois? Est-ce à la justice de dire où est le mal? La conscience peut-elle nous tromper? Est-ce à la loi de décider de mon bonheur? Peut-on ne croire en rien? La culture est-elle une seconde nature? Le langage trahit-il la pensée ? L’objectivité de l’histoire suppose-t-elle l’impartialité de l’historien ? Que gagne-t-on à échanger ? Le développement technique transforme-t-il les hommes ? Est-il absurde de désirer l’impossible ? Y a-t-il des questions auxquelles

comme on le verra les rapports humains sont finalement conduits par leu seul intérêt matériel. On peut même soupçonner que les rapports du narrateur avec son propre discours, ie avec le langage, ne soit que rapport de maître à instrument, puisque d’une part, le but avéré est de démontrer, ie de se servir du langage pour convaincre et persuader. Restera à chercher ce que, pour le narrateur, il s’agira précisément de démontrer, d’une thèse philosophique ou de son innocence. Ce faisant, si tout, dans

souligner son état de valet. – S domine l'échange. Ton de commandement qui trahit son origine sociale (l.10 « Elle se l'imagine, et si elle t'en parle encore, tu peux le nier hardiment, je me charge du reste »). Elle coupe la parole à D à la ligne 29. D a le sentiment d'être moqué : « tu me railles »à la ligne 19. b) Dorante : partager son amour, sa douleur – D veut parler d'amour. Il emploie le langage direct du cœur : l4/5 « j'avais envie de te voir (…) je n'ai pris qu'un prétexte