Le Lendemain Rastignac

voit, à côté des Twin Towers, © Éditions Belin, 2012 134 ALGo mÁS l’Empire State Building, qui, à la fin de sa construction en 1931 fut, pour longtemps, la plus haute tour de New York. Ce tableau représente un homme vu de dos qui, tel Rastignac arrivant à Paris, contemple les gratte-ciel comme des symboles non seulement de la ville mais d’un monde où le succès professionnel et social est à la portée de ceux qui poursuivent le « rêve américain ». Documento 2 (p. 38-39) Lejos de la ciudad

voit, à côté des Twin Towers, © Éditions Belin, 2012 134 ALGo mÁS l’Empire State Building, qui, à la fin de sa construction en 1931 fut, pour longtemps, la plus haute tour de New York. Ce tableau représente un homme vu de dos qui, tel Rastignac arrivant à Paris, contemple les gratte-ciel comme des symboles non seulement de la ville mais d’un monde où le succès professionnel et social est à la portée de ceux qui poursuivent le « rêve américain ». Documento 2 (p. 38-39) Lejos de la ciudad

Center (11 septembre 2001), on voit, à côté des Twin Towers, 134 algo mÁs l’Empire State Building, qui, à la fin de sa construction en 1931 fut, pour longtemps, la plus haute tour de New York. Ce tableau représente un homme vu de dos qui, tel Rastignac arrivant à Paris, contemple les gratte-ciel comme des symboles non seulement de la ville mais d’un monde où le succès professionnel et social est à la portée de ceux qui poursuivent le « rêve américain ». Documento 2 (p. 38-39) © Éditions Belin

however, the reader does not pass. Seduction was a sophisticated game and its point was style and wit. Its coded preciosity was regularly revisited, ambiguously by Laclos and enthusiastically by Vivant Denon (1747–1825), whose faultless Point de lendemain (1777) is perhaps its finest hour. Many, however, reacted against this essentially courtly amusement. La Morlière’s Angola (1746) mocked its linguistic artifice and Dorat’s Les Malheurs de l’inconstance (1772) pointed to the dangers of the philosophy

L’homme qui force la nature à répondre oui ou non à des demandes bien calculées (c’est l’idée même du cimento galiléen) n’est plus en état de paix avec la nature, il n’est plus chez soi. Il est l’homme seul à l’aventure, qui doit dire comme Rastignac devant Paris : « A nous deux maintenant. » Gœthe l’avait très bien vu. C’est ce qui pousse la science sans répit vers de nouveaux horizons, et sans espoir, dirait-on, de jamais trouver 139 L’homme devant la science un point de repos.