Le Lendemain Rastignac

La narration adopte le point de vue principal, rendu omniprésent, point mire du récit et de l’attention de tous. Le point de vue exclusif de Rastignac organise la description de cette scène de saloon. C’est sa perception des choses qui est exposée. Il est présent grammaticalement dans toutes les phrases, il est appelé Rastignac, ou Eugène, ou l’étudiant, et plus souvent désigné sous forme de pronom sujet ou complément. Les effets magiques de sa filiation aristocratique sont

Des jeunes gens à cheval, parmi lesquels Lucien remarqua de Marsay et Rastignac, se joignirent à la calèche pour conduire les deux cousines au bois. Il fut facile à Lucien de voir, au geste des deux fats, qu'ils complimentaient Mme de Bargeton sur sa métamorphose. Mme d'Espard pétillait de grâce et de santé: ainsi son indisposition était un prétexte pour ne pas recevoir Lucien, puisqu'elle ne remettait pas son dîner à un autre jour. Le poète furieux s'approcha de la calèche, alla lentement, et, quand

moment, l’une de ces deux chambres appartenait à un jeune homme venu des environs d’Angoulême à Paris pour y faire son Droit, et dont la nombreuse famille se soumettait aux plus dures privations afin de lui envoyer douze cents francs par an. Eugène de Rastignac, ainsi se nommait-il, était un de ces jeunes gens façonnés au travail par le malheur, qui comprennent dès le jeune âge les espérances que leurs parents placent en eux, et qui se préparent une belle destinée en calculant déjà la portée de leurs études

maladif et maladroit n’est pas payé de retour, qu’il est même rejeté au nom du qu’en-dira-t-on, il est horrifié. Eugène en vient donc tout naturellement à douter de la sincérité de l’amour que Delphine lui porte. Du moins on peut le supposer lorsque Rastignac se voit interdire la porte de Mme de Nucingen après le décès de son père, et que « son cœur se serra étrangement quand il se vit dans l’impossibilité de parvenir jusqu’à Delphine. » Goriot apprend indirectement à Eugène à ne pas être la victime de

les interlocuteurs mis en scène, devaient être parfaits, car ses trois auditeurs laissaient échapper des exclamations approbatives et des interjections de contentement. – Et Rastignac t’a refusé ? dit Blondet à Finot. – Net. – Mais l’as-tu menacé des journaux, demanda Bixiou. – Il s’est mis à rire, répondit Finot. – Rastignac est l’héritier direct de feu de Marsay, il fera son chemin en politique comme dans le monde, dit Blondet. – Mais comment a-t-il fait sa fortune, demanda Couture. Il était

connaissance de Pauline Gaudin, fille de la maîtresse de l’hôtel, gracieuse, belle et discrète. Mais il rencontre également Eugène de Rastignac, qui le fait entrer dans la haute société et lui a présenté Fœdora, une femme admirée à Paris, séduisante et froide, pour laquelle il dépense toute sa fortune. Il gagne un peu d’argent au jeu et il le dilapide avec Rastignac en menant une vie de débauche. Alors il quitte la mansarde et abandonne Pauline : c’est le moment qui corresponde à l’incipit du roman

 Français Le pere Goriot CHAPITRE 1 La scène ce passe dans la pension Vauquer. Eugene de Rastignac arrive a Paris sans sous , a la pension est trouve le quartier du val de grâce et panthéon laid. Les gens de la pension sont , Le pere goriot , abandonne par ses propres filles , une jeune femme Victorine Taillefer , mademoiselle Michonneau , Vautrin , Poiret et Madame Vauquer et ses enfants. Il décrit la pension bruyante et salle. Il parle des externes et internes. CHAPITRE 2 Description

tout en restant très discrète. Raphaël rencontra ensuite Eugène de Rastignac, qui le fit entrer dans la haute société et lui présenta Fœdora, une des femmes les plus sollicitées de Paris. Il y eut entre eux un long jeu de séduction dans lequel elle refusa de s’engager et où, ayant dépensé la totalité de sa fortune, il finit par renoncer. Il gagna alors un somme d’argent importante au jeu et, étant suicidaire, il décida avec Rastignac de le dépenser en menant une vie de débauche. Il quitta pour cela

intelligence modifiée, son ambition exaltée lui firent voir juste au milieu du manoir paternel, au sein de la famille. Son père, sa mère, ses deux frères, ses deux soeurs, et une tante dont la fortune consistait en pensions, vivaient sur la petite terre de Rastignac. Ce domaine d'un revenu d'environ trois mille francs était soumis à l'incertitude qui régit le produit tout industriel de la vigne, et néanmoins il fallait en extraire chaque année douze cents francs pour lui. L'aspect de cette constante détresse

dans lesquelles un homme du monde, un ambitieux fait rouler sa conscience, en essayant de côtoyer le mal, afin d’arriver à son but en gardant les apparences, ne serait-elle ni moins belle, ni moins dramatique. En atteignant au seuil de sa pension, Rastignac s’était épris de Mme de Nucingen, elle lui avait paru svelte, fine comme une hirondelle. L’enivrante douceur de ses yeux , le tissu délicat et soyeux de sa peau sous laquelle il avait cru voir couler le sang, le son enchanteur de sa voix, ses blonds