Le Libertin Schmitt

il est dédaigneux de plaire, il assouvit ses désirs par la violence plutôt que par la séduction. Son indifférence au problème religieux est totale. 1665 : Dom juan de Molière Personnage immorale, qui va a l’encontre des principes moraux (libertin). Il suit son instein. Personne perfide, sans cœur. Il ne respecte pas les valeurs du mariage et donc la promesse de Dieu. Il va donc a l’encontre de l’Eglise. Dom juan est comparé a un chasseur, un prédateur. Il abuse de ses privilèges. CONCLUSION :

justement écouté. Ainsi, Dom Juan est un aristocrate dont le comportement et l’entourage trahi sa position sociale. Cependant, il prend certaines libertés avec les mœurs. C’est ce que nous verrons dans un second temps. Dom Juan est un libertin. Dès la première scène de la pièce, voire même dès la première réplique, on apprend qu’il est « un épouseur à toutes mains », se mariant puis quittant sans le moindre remord. En effet, il sort Done Elvire d’un couvent pour l’épouser et la fuie si

éléments signalétiquesType de document Le document “Oscar et la dame Rose ”est une monographie épistolaire écrite par Éric-Emmanuel SCHMITT publiée aux éditions Magnard en 2006.ISBN:978-2-210-75490-4, il a 115 pages.Localisation du documentLe document se trouve dans ma Bibliothèque personnelle à mon domicile, il a été acheté sur Amazon.Biographie de de l'auteurÉric Emmanuel Schmitt est né 28 mars 1960 à Sainte-Foy-lès-Lyon de nationalité Française il se naturalise belge en 2008. C'est un normalien, agrégé

elle n'est pas sujette à l'impôt royal. Elle a le droit de porter l'épée et de pratiquer la chasse. (Comtesse, Duchesse, Angélique, Chevalier, Mademoiselle de la Tringle). Dans la pièce, la plupart des personnages sont issues de cet ordre. Ainsi, Schmitt insiste plus sur les nobles. Il fait cela car Don Juan, le personnage principal de la pièce est noble et la pièce se déroule dans le château de la Duchesse. Donc, on est dans la « haute société ». C’est le contexte de la pièce. Le dernier ordre de

aimé ce roman parce que j’ai pris beaucoup de plaisir à le lire, le personnage principal me ressemble, agit comme j’aimerais moi-même agir si il n’y avait pas certains codes, certains interdits sociaux (personnage de Diderot dans « Le Libertin » d’Eric Emmanuel Schmitt) ; dans le deuxième cas c’est le nombre, la masse, la quantité de suffrage positif qui va permettre de qualifier le roman de bon, ce roman est bon car beaucoup de gens, par delà leur subjectivité propre ont pris du plaisir à le lire

littéraire ( nouvelle qui empreinte beaucoup aux théatre ) II. Un Incipit symbolique 1. Une scène de séduction : le dîner 2. Dom Juan figure symbolique La nuit de Valogne D'Eric Emmanuel Schmitt I. Profession de foi du libertin : plaisir expliqué par Dom Juan 1. L'amour selon Dom Juan 2. Un discour qui a un impact sur son interlocuteur II. Dernier sursaut du mythe 1. Un monde impossible : un monde voué aux plaisirs 2. Le masque

Le premier des droits de l’homme c’est la liberté individuelle, la liberté de la propriété, la liberté de la pensée, la liberté du travail, à si bien citer Jean Jaurès. C’est ce que nous prouve la pièce de théâtre « le libertin» d’Éric-Emmanuel Schmitt. Dans cette pièce, nous voyons une forme de libertinage que jamais nous aurions cru posséder dans notre société. La philosophie des personnages est très différente de ce que nous avons l’habitude de croire normal. Selon moi, dans ce texte nous voyons

Si Don Juan semble avoir été à l'origine un personnage réel, il représente en réalité toutes les dimensions d'un mythe. Il fut rendu célèbre par la pièce de Molière puis repris par divers auteurs. Il est toujours représenté comme un séducteur libertin et athée ; refusant que toutes règles tant religieuses, sociales ou morales s'opposent à sa liberté et à son bonheur. Comment Don Juan s'y prend-t-il pour parvenir à ses désirs ? Qu'est ce qu'il le pousse à désirer toujours plus ? Don Juan, figure

l'auteur En une dizaine d’années, Éric-Emmanuel Schmitt est devenu un des auteurs francophones les plus lus et les plus représentés dans le monde. Né en 1960, normalien, agrégé de philosophie, docteur, il s’est d’abord fait connaître au théâtre avec « Le Visiteur », cette rencontre hypothétique entre Freud et peut-être Dieu, devenue un classique du répertoire international. Rapidement, d’autres succès ont suivi : « Variations énigmatiques », « Le libertin », « Hôtel des deux mondes », « Petits crimes

« Jugement sur la comédie du Festin de pierre » (Dictionnaire des cas de conscience) (1733) Mozart, Da Ponte, Don Giovanni, Acte I, scène 5 (l’air du catalogue) G. Feydeau, On purge bébé, (extrait) J. Romains, Knock, extrait de l’Acte I (extrait) E.E. Schmitt, La nuit de Valognes (lecture cursive) Activités annexes : Mettre en scène et jouer la fin de Dom Juan Comparer la mise en scène de Knock par Guy Simon (théâtre du Kronope) avec la réalisation de Roger Goupillières http://dvdtoile.com/Film.php?id=9006