Le Libre Echange Conclusion

est dominée par les pays du centre et l'extraversion conduit au dualisme. Sujet : Dans quelle mesure les échanges internationaux sont-ils favorables à tous les pays ? (2) Première Partie : Le développement des échanges internationaux profite à la majorité des nations (pays développés et pays émergents) 2 A. La thèse libérale Quel que soit le critère de spécialisation retenu, le libre échange est facteur de croissance et de développement pour tous les participants à l’échange : Avantages absolus

qui permet à chaque pays en fonction de son avantage comparatif, de se spécialiser dans les productions générant une croissance endogène. La mondialisation favorise aussi le développement du commerce international essentiellement par le biais des échanges internationaux et permet à chaque pays du monde de se spécialiser dans une activité donnée pour mieux exploiter ses avantages compétitifs à l’échelle mondiale. Quant à la division internationale du travail (DIT) qui est une extension de la division

économique : elle montre qu’il existe un processus rendant les économies nationales et régionales de plus en plus interdépendantes. (régions = EU, USA, …) La dimension économique est sans doute la plus délicate à aborder elle renvoie évidement aux échanges internationaux mais également aux flux de capitaux et plus largement à une globalisation financière qui constitue la manifestation la plus exceptionnelle de la mondialisation. Cette mondialisation implique par ailleurs des acteurs économiques tels

capital. Il y a donc un processus interne de réallocation des ressources entre les activités dans un pays. C'est pourquoi les différentes activités croissent à des rythmes inégaux. ◦ A quel prix s'effectue l'échange international ? ( Le prix des biens échangés entre les pays = la question des « termes de l'échange » ). Il y a un rapport entre le prix des biens qu'un pays exporte et le prix de ceux qu'il importe. Comme tous les pays exportent et importent une gamme variées de biens, il est nécessaire d'agglomérer

la Chine dans le Commerce mondial ? Pour répondre à cette question, nous allons d’abord dans un premier temps présenter les échanges mondiaux avant de présenter dans un second la place de la Chine dans les flux internationaux. Enfin, dans un troisième temps, nous étudierons les différentes théories du commerce international. Exposé de la situation Présentation des échanges mondiaux Tout d’abord, nous pouvons remarquer que l’Europe est la place centrale de l’économie mondiale, que ce soit à l’import

fraichement élu Président, signe un accord de libre-échange avec l'Union Européenne. PLAN I- SOLUTION DIPLOMATIQUE 3 II- SOLUTION MILITAIRE 4 CONCLUSION 5 Nous avons trouvé nos informations dans : Le Monde, La Libération, La Croix, Le Figaro et Marianne. PROBLÉMATIQUE : Quelle solution peut-on apporter à cette crise qui s’apparente à une nouvelle Guerre Froide ? I- SOLUTION DIPLOMATIQUE II- SOLUTION MILITAIRE CONCLUSION Les accords de Minsk 2 sont très importants

entraves à la circulation des marchandises et des capitaux. On appelle mondialisation l’intégration croissante des différentes parties du monde dans une économie mondiale, un marché unique. Elle traduit l’ouverture des économies, l’augmentation des échanges à l’échelle de la planète et la circulation croissante de l’information. Par extension, certains ont qualifié de mondialisation la diffusion de modèles culturels dans le monde. Parmi les acteurs de cette mondialisation on peut citer les entreprises

fonctionnement d’un marché de libre échange, avec beaucoup de difficultés. Joseph Stiglitz va à l’encontre de cette théorie de main invisible et part du principe que le marché doit être contenu par un certains nombres d’acteurs afin de mieux le réguler. Nous allons donc voir comment ces deux théories s’opposent aujourd’hui, à l’heure de tirer des enseignements de la crise économique mondiale. . La théorie classique d’Adam Smith fondatrice du marché de libre-échange. La métaphore de la main invisible

se spécialiser uniquement dans le produit ou il a un avantage absolu, c'est-à-dire le produit qu’il peut produire à moindre coût. Ricardo va lui démontrer que l’intérêt à échanger repose plutôt sur un avantage qu’il qualifie de relatif. Ainsi même si un pays n’a pas d’avantage absolu il a quand même intérêt à produire et à échanger le bien dont il a un avantage relatif. Cette théorie justifie le commerce international comme étant l’élément central permettant l’allocation maximale des ressources de

technologies modernes et peuvent déplacer d’énormes sommes d’argent d’un pays à l’autre avec pour conséquence des effets désastreux sur l’économie mondiale, un des acteurs de la crise économique. Certains de ces échanges forment des marchés mondiaux favorisés par une politique économique et libre échange, situation dans laquelle les transactions commerciales ne sont pas soumises à des droits de douane et quotas des changes. Malgré que la plupart des pays industrialisés adoptent cette politique ,il est parfois