Le Lion Amoureux

l'allégorie figure de style, ou, plus précisément, figure d'« élocution » et l'allégorie comme procédé d'« invention ». La première déborde rarement le cadre de la phrase. Il s'agit en fait d'une métaphore qui est présentée point par point. Par exemple, quand un amoureux s'écrie : « C'est une tigresse ! », il recourt à une métaphore. Mais s'il dit : « Cette tigresse me guette, puis bondit sur moi et me dévore le cœur », c'est une allégorie. Quand une telle allégorie se prolonge un peu, on parle en général de « métaphore

enfants, l’oracle de Delphes le condamne en pénitence à servir Eurysthée, roi de Tirynthe, pendant douze ans. Le roi lui impose douze tâches exténuantes. 1. Le lion de Némée : Héraclès fut envoyé à Némée tuer un lion monstrueux dont la peau était impénétrable aux armes normales. Il façonna une énorme massue avec laquelle il frappa le lion, puis il l’étrangla. Il déchira la peau de l’animal avec ses propres griffes et s’en revêtit, ce qui le rendit invulnérable. 2. L'Hydre de Lerne : Le héros

XVIIe siècle). Les précieuses ont imposé des codes amoureux qui excluent toute brutalité envers les femmes. Homère est adapté aux gouts et à la société du XVIIe siècle ! II. Jeu avec les personnages de la fable 1. Un apologue traditionnel L’épisode homérique = transformé pour constituer un apologue avec l’introduction et la morale finale qui lui donne une portée argumentative évidente. Les perso traditionnels : le lion, l’ours, le loup → le pouvoir et la force. Ils parlent

« arrêtée » après la mort de Nusch. L'auteur veut nous faire partager sa peine. Certains sentiments quant à eux peuvent être ambigus, comme dans le poème de Baudelaire, « A une passante » où, comme on peut le deviner dans le titre, l'auteur tombe amoureux d'une passante croisée dans la rue. Il compare la femme à une statue, pour faire référence à une beauté divine. Dans ce texte, on trouve deux sortes de termes : les péjoratifs (« ouragan », « éclair », « assourdissante », « douleur ») et mélioratifs

la vie affective de l'enfant de 3 à 6/7 ans et dont l'acmé (= le top de la période) se situe vers 5 ans. La mythologie d'Oedipe (Sophocle) Laïos rois de Thèbes est en voyage dans la ville Pise où il y a un jeune garçon Pélops, le roi tombe amoureux de ce jeune garçon, or le roi est un adulte et Pélops un enfant (relation pédophile). Cette histoire d'amour voué à l'échec est interdite par les dieux. Laïos est prévenu si il consomme cette relation y aura des conséquences parmi lesquelles :

des personnages V. Etude thématique VI. Espace et temps VII. Sens et portée de l’œuvre VIII. Explication des mots clés Conclusion Opinion personnel INTRODUCTION Le lion et la perle est une pièce de théâtre écrite par WOLE SOYINKA qui a été joué pour la première fois en 1959, le texte de la pièce a été publié pour la première fois en1962.WOLE Soyinka est un auteur nigérian, écrivant principalement de la poésie et

rongés par les crabes. Par l’unique piste restante de ce domaine rongé par les eaux, débarque un beau jour un certain Mr Jo. C’est un homme riche, détenteur d’une voiture luxueuse, richement vêtu, mais laid. Très vite, il tombe amoureux de la fille de la maison, Suzanne. Amoureux fou d’elle, les visites quotidiennes se multiplient, il lui offre monts et merveilles, bijoux, produits de luxe et un phonographe. Par amour, il ira jusqu’à lui offrir une bague surmontée d’un diamant, au cœur duquel est logé

Rapprochement Le Lion et le Moucheron, Le Moucheron, trop orgueilleux, se vante de sa victoire avec le Lion, mais rencontre une embuscade, Une araigne qui le tue. Le fabuliste, ici, met aussi en relief lorgueil et nous invite la modestie. Le Livre et la Tortue.(p233) Le Livre se vante trop, la Tortue gagne la course. Encore une fois, lorgueil est dnonc 2. La Gnisse, la Chvre et la Brebis, en socit avec le Lion (p 61, Livre I, 6) La Gnisse, la Chvre, et leur sur la Brebis,Avec un fier Lion, seigneur du

moyen-Age, le roman mettait en scène des personnages extraordinaires connus sous le nom de héros, soit étymologiquement des demi-dieux. Le roman était d'ailleurs étroitement lié à ce héros au point de porter son nom comme par exemple le Chevalier au Lion de Chrétien de Troyes ou de Tristan et Yseut qui est un roman celtique chanté par les poètes normands au XII° siècle. Ces héros se révélaient extraordinaires à la fois grâce à leurs qualités physiques et morales et par leur destinée fabuleuse qui les

c'est-à-dire de Cupidon. Il ajoute également que Pithon –ou Peitho- lui a donné une voix unique. Peitho, associée à l'amour et à la beauté, est une divinité grecque personnifiant la persuasion et la séduction. Ronsard suggère donc ainsi qu'il serait tombé amoureux de Marie en croisant son regard, et qu'il aurait été comme percé d'un flèche de Cupidon. Il insinue également qu'elle aurait la voix séductrice –peut-être douce comme le miel-, mais aussi persuasive. On retrouve cette idée d'opiniâtreté dans l'expression