Le Lion Amoureux

Avec un fier Lion, Seigneur du voisinage, Firent société2, dit-on, au temps jadis3, Et mirent en commun le gain et le dommage4. Dans les lacs5 de la Chèvre un cerf se trouva pris. Vers ses associés aussitôt elle envoie6. Eux venus, le Lion par7 ses ongles compta, Et dit : « Nous sommes quatre à partager la proie. » Puis en autant de parts le cerf il dépeça ; Prit pour lui la première en qualité de Sire : « Elle doit être à moi, dit-il, et la raison, C'est que je m'appelle Lion : À cela l'on

homme que celui rencontré deux ans auparavant. Il l’aborde donc. Les deux hommes ont plaisir à se retrouver. Heureux de cette rencontre, le jeune homme précise qu'il rentre d’Amérique. Le soir même, le narrateur accueille le jeune homme à l'hôtel du Lion d'Or où il séjourne. Le mystérieux jeune homme commence le récit de ses aventures. Des Grieux, jeune homme de dix-sept ans, est issu d’une bonne famille. Il s’est montré un élève exemplaire au collège d'Amiens et son père souhaitait qu’il devînt chevalier

homme diabolique qui le loge dans une maison secrète où se trament de sinistres complots. Ce matin, pour la première fois, Don Salluste lui a ordonné de venir au palais dans cette livrée déshonorante. Pire encore : lui, le laquais, est éperdument amoureux de la reine elle-même. Chaque nuit, il dépose sur un banc du parc royal les fleurs préférées de la reine. Cette nuit même, il y a joint un billet d’amour. Situation périlleuse, l’avertit Don César, car, parmi les grands, Don Guritan aime aussi la

(Dattatreya) 7. Le Sacrifice (Yajna) 8. Le taureau ou Roi Sage (Rishasbha) 9. Le Premier-roi ou l'Agriculteur (Prithu) 10. Le Poisson du déluge (Matsya) ** 11. La Tortue (Kûrma) ** 12. Le Médecin (Dhanvatari) 13. L'Enchanteresse (Mohini) 14. L'Homme-lion (Nara-simha) ** 15. Le Nain (Vâmana) ** 16. Rama-à-la-hache le destructeur des guerriers (Parashu-râma) ** 17. L'Ecrivain des Veda-s (Veda-vyâsa) 18. Le Charmant, incarnation des vertus morales (Râma) ** 19. Râma-le-fort (Bama-Râma) 20. L'Attirant

l'amour est souvent une affaire d'adultère. Le mariage n'est pas synonyme d'amour. L'amour est lié à l'amant/amante. On retrouve la tradition de De Amore d'André de Chapelain qui ancre la tradition de l'amour adultère. René Girard dessine un triangle amoureux (les amants et le mari ou les amants et la femme). En résumé, on désire que les autres désirent. Or Lorris opère un changement. L'amour est désir, passion mais il est vertu (non pas destructeur). L'amour est lié à la chevalerie. Le chevalier apprend

poète né vers 1135 et décédé vers 1183. C’était l’un des premiers auteurs de roman de chevalerie, il était considéré comme un fondateur de la littérature arthurienne. Il avait écrit plusieurs ouvrages connu comme Yvain ou le chevalier au lion, Lancelot ou encore Perceval ou le conte du Graal. 3) Ce récit est écrit à la 3ème personne Les personnages principaux sont : Perceval, la Dame Veuve, L’ermite, Blanchefleur, Gornement, Le Roi pêcheur, Keu, Monseigneur Gauvin, Le Roi Arthur et

médecine car sa mère le lui a dit de le faire et puis, il se marie avec une veuve qui a beaucoup d’argent pour la même raison (sa mère le lui a commandé) et il va vivre à Tostes. Pendant une de ses rendez-vous médicaux, il rencontre Emma dont il tombe amoureux. Son épouse meurt, et après l’an de deuil, il se marie avec Emma. Au début, ils ont vécu à Tostes, mais Emma se décevant de son mariage, tombe malade et alors ils déménagent vers Yonville. C’est ici où nait Berthe, la fille d’Emma, mais Emma ne

conséquent en désobéissant au roi. Le conflit se concrétise dans un affrontement sur scène entre Antigone et Créon. Ensuite, comme on peut le voir le conflit apparaît aussi bien dans le registre comique que dans le registre tragique. Dans Le conflit amoureux met en jeu deux amants, dans Andromaque ce conflit va opposer Hermione et Pyrrhus et prendra une dimension tragique. Dans les conflits sociaux entre un maître et son valet chez qu'on retrouve Marivaux, mais aussi un lien politique chez Sartre un

v1130. Cette dernière est montrée par une personnification ou l’epsagne est comparée à un animal agonisant sans ucune aide « membre énervé »v1135 L’utilisation de la métaphore « triste comme un lion mangé par la vermine »v1138 montre bien que l’Espagne est en proie aux corrupteurs que sont les ministre sindignescités au tout début de la tirad de RB. L’Espagne persxonnifié est prcohe de la mort. L’alexandrin au vers 1132 au rythme binaire traduit

serait le « féal », terme vieilli à l'époque qui évoque le Moyen-âge : il est le vassal, le servant de sa muse.- Mais à cette vision vieillie, Rimbaud fait succéder une interjection familière, légère, peu poétique, (« Oh ! là ! là I) et les rêves amoureux d'un adolescent, si nombreux qu'ils font l'objet de l'exclamative (« que d'amours ») (donc plutôt des amourettes que des amours : ce ne sont pas des amours sérieux, le poète ne recherche pas ici un ton lyrique).2ème quatrain :-registre très léger