Le Lion Et Le Rat La Colombe Et La Fourmi

ressemble encore un peu à un homme… C’est toujours plus prêt à revivre que des cendres… Des cendres c’est fini !… Qu’en dites-vous ?… Alors, n’est-ce pas, la guerre… – Oh ! Vous êtes donc tout à fait lâche, Ferdinand ! Vous êtes répugnant comme un rat… – Oui, tout à fait lâche, Lola, je refuse la guerre et tout ce qu’il y a dedans… Je ne la déplore pas moi… Je ne me résigne pas moi… Je ne pleurniche pas dessus moi… Je la refuse tout net, avec tous les hommes qu’elle contient, je ne veux rien avoir

les chaînes, symboles de leur statut de colonisés, désormais brisées. • Le texte de l’hymne du Sénégal porte les mêmes valeurs. Les instruments traditionnels cités (« kora », « balafon ») font allusion à la culture africaine retrouvée. L’image du lion est celle du combattant victorieux : les mots « rugit » et « dompteur » le confirment. La même énergie ressort du tableau et du poème (« d’un bond s’est élancé »). Reconquérir son identité et la liberté 27 Lecture GROUPEMENT : LES COMBATS DES POÈTES

noces de Samilia, la fille du roi Tsongor » (l. 25-26). La liesse que suscitent les noces de Samilia s’exprime par le caractère hyperbolique du texte : – pour qualifier l’activité humaine, « une agitation fiévreuse » (l. 7), « une activité de fourmis » (l. 14) ou encore la phrase « Massaba vivait à un rythme qu’elle n’avait jamais connu » (l. 19-20) ; – pour caractériser la foule qui s’affaire (le verbe est employé l. 11) : « des dizaines et des dizaines d’ouvriers » (l. 8), « des caravanes

noces de Samilia, la fille du roi Tsongor » (l. 25-26). La liesse que suscitent les noces de Samilia s’exprime par le caractère hyperbolique du texte : – pour qualifier l’activité humaine, « une agitation fiévreuse » (l. 7), « une activité de fourmis » (l. 14) ou encore la phrase « Massaba vivait à un rythme qu’elle n’avait jamais connu » (l. 19-20) ; – pour caractériser la foule qui s’affaire (le verbe est employé l. 11) : « des dizaines et des dizaines d’ouvriers » (l. 8), « des caravanes

commandant. Le commandant tint bon. Les matelots ne cachèrent point leur mécontentement, et le service en souffrit. Je ne veux pas dire qu’il y eut révolte à bord, mais après une raisonnable période d’obstination, le commandant Farragut comme autrefois Colomb, demanda trois jours de patience. Si dans le délai de trois jours, le monstre n’avait pas paru, l’homme de barre – 50 – donnerait trois tours de roue, et l’Abraham-Lincoln ferait route vers les mers européennes. Cette promesse fut faite le

commandant. Le commandant tint bon. Les matelots ne cachèrent point leur mécontentement, et le service en souffrit. Je ne veux pas dire qu’il y eut révolte à bord, mais après une raisonnable période d’obstination, le commandant Farragut comme autrefois Colomb, demanda trois jours de patience. Si dans le délai de trois jours, le monstre n’avait pas paru, l’homme de barre donnerait trois tours de roue, et l’Abraham-Lincoln ferait route vers les mers européennes. Cette promesse fut faite le 2 novembre

commandant tint bon. Les matelots ne cachèrent point leur mécontentement, et le service en souffrit. Je ne veux pas dire qu’il y eut révolte à bord, 58 mais après une raisonnable période d’obstination, le commandant Farragut, comme autrefois Colomb, demanda trois jours de patience. Si dans le délai de trois jours, le monstre n’avait pas paru, l’homme de barre donnerait trois tours de roue, et l’Abraham Lincoln ferait route vers les mers européennes. Cette promesse fut faite le 2 novembre

collège : chûgakkô collégien : chûgakusei collègue : dôryô coller : oshitsukeru, kuttsuku, tsukeru, haru coller un timbre : kitte wo haru collier : nekkuresu, kubiwa, nekurêsu colline : oka collision : shôtotsu colloque : kenkyûkai collyre : tengansui colombe : hato colonne (archit.) : hashira, enchû colonne (mise en page) : dan coloration : irodori colorer : irodoru, chakushoku suru colorier : chakushoku suru, irodoru coloris : shikisai, irodori colossal : bôdai na, kyodai na, obitadashii combat : tatakai

commandant. Le commandant tint bon. Les matelots ne cachèrent point leur mécontentement, et le service en souffrit. Je ne veux pas dire qu’il y eut révolte à bord, mais après une raisonnable période d’obstination, le commandant Farragut comme autrefois Colomb, demanda trois jours de patience. Si dans le délai de trois jours, le monstre n’avait pas paru, l’homme de barre donnerait trois tours de roue, et l’Abraham-Lincoln ferait route vers les mers européennes. Cette promesse fut faite le 2 novembre. Elle

styliste véritable, un académique "pertinent". C'est une affaire de travail, une application de mois... peut-être d'années... On arrive à tout... comme dit le proverbe espagnol : "Beaucoup de vaseline, encore plus de patience, Eléphant encugule fourmi." Mais je suis quand même trop vieux, trop avancé, trop salope sur la route maudite du raffinement spontané... après une dure carrière "de dur dans les durs" pour rebrousser maintenant chemin ! et puis venir me présenter à l'agrégation des dentelles