Le Livre du courtisan

de la société du 17ème siècle. Cela lui permet d’éviter la censure. La Fontaine peint l’homme de façon pessimiste et critique le roi et sa cour. Ici, il s’agit de Les Animaux malade de la peste. C’est une fable issue du deuxième recueil du livre ANALYSE,AXES: I - Une fable habilement menée 1.Une Fable qui rappelle les récits mythologiques ·Récit ·« Un mal qui répand la terreur » : allusion à Œdipe de Sophocle (mauvais comportement des Hommes qui entraîne des

d’années environ, qui lui ont valu la gloire de son vivant et l’immortalité posthume. Les Fables reflètent différentes étapes de sa vie ; il a 47 ans lorsque paraît le premier recueil, dédié au Dauphin (1668). Il en a 72 à la parution du dernier livre, dédié au duc de Bourgogne, le fils du premier dédicataire (1693). Le recueil intermédiaire, paru en 1678, s’adresse à Madame de Montespan, alors favorite du roi : cela montre que le poète visait aussi le public mondain et cultivé. En quoi La Fontaine

au Dauphin. Beaucoup de fables sont imitées d’Esope. Elles ont la particularité de l’apologue. Les animaux sont utilisés pour plaire et éviter la censure. Les fables répondent aux exigences de rigueur (faire l’éloge du roi). .Le texte: N°1 du livre 7, situé dans la deuxième période d’écriture, différente par le fait de l’importance donnée au récit par rapport à la morale. . Une réalité historique au 17eme siècle: la peste, 400 000 victimes. . Une référence antique : Œdipe roi de Sophocle

présentent-ils bien un idéal d’éducation humaniste ? * Baldassare Castiglione : Le livre du courtisan (1528) * Martin Luther : A la noblesse chrétienne (1520) * François Rabelais : Gargantua (1534) * Erasme : De l’éducation des enfants (1529) Ce corpus est composé de quatre textes, le premier est extrait de Gargantua de François Rabelais publié en 1534, le second est extrait du Livre du courtisan de Baldassare Castiglione publié en 1528, le troisième est extrait de A la noblesse

Commentaire rédigé de la fable "Les Obsèques de la lionne"8Commentaire de la fable "Les Obsèques de la lionne", de La Fontaine.Je vous présente, sous forme de tableau, un commentaire composé intégralement rédigé, pour que vous puissiez observer la structure. Je vous ai mis en rouge les connecteurs logiques pour que vous vous souveniez que les connecteurs logiques, c’est la vie. Cette phrase doit être votre mantra l’année prochaine, quand vous travaillerez l’écrit du bac. (LES OBSÈQUES DE LA LIONNE

fables de La Fontaine situent leurs actions à la cour du roi Louis XIV à Versailles (17ème siècle): elles critiquent la fausseté et l’hypocrisie des courtisans qui font tout pour gagner la reconnaissance du roi. La cour n’est en fait qu’un théâtre où règne l’hypocrisie et dont le metteur en scène est le roi, le rôle de comédien étant incarné par les courtisans. Par l’attribution de tous ces défauts à l’homme, nous pouvons dire que se dégage des fables une vision du monde et de l’homme tout à fait pessimiste

• Un juge idéal. Montrez que Zadig cumule les qualités : impartial, intelligent, libéral, modeste, généreux (un indice pour chaque adjectif). à savoir : dans l’épisode des deux frères espérant l’héritage, on peut penser au jugement de Salomon (livre des Rois, dans la Bible) qui lui aussi trouve un moyen habile pour faire surgir la vérité et donc rendre la justice. • La critique sociale. Quels aspects de la société de son temps Voltaire vise-t-il à travers l’anecdote du grand seigneur orgueilleux

France dans le seconde partir de XVII°. Ce que dénoncent alors les auteurs moralistes comme La bruyère est l'égoïsme de grand du XVIIe. Dans la cour du lion, (fable du livre VII) LF propose un apologue dans lequel est souligné l'importance du code social qui règne dans le milieu aristocratique de la Cour, les rapports entre courtisans et monarque. LF s'est inspiré de la fable de Phèdre « le Lion régnant » qu'il a mis en vers et de manière a viser la monarchie de Louis XIV Lecture du texte Problématique

doute tirée de Gulliver ? Le Chevalier. − Je l'ignore. Sur quoi le présumes−tu ? Le Marquis. − Parbleu, cela s'appelle les Petits Hommes ; et apparemment que ce sont les petits hommes du livre anglais. Le Chevalier. − Mais, il ne faut avoir vu qu'un nain pour avoir l'idée des petits hommes, sans le secours de son livre. Le Marquis, avec précipitation. − Quoi ! sérieusement, tu crois qu'il n'y est pas question de Gulliver ? Le Chevalier. − Eh ! que nous importe ? Le Marquis. − Ce qu'il m'importe ? C'est

qualité de l’esprit. L’intérêt du voyage est sur la découverte des mœurs et sur l’altérité. Cet enthousiasme qu'il montre à chercher la compagnie des étrangers s’oppose en tout point au français. II. UN TEXTE CRITIQUE ET POLEMIQUE M se livre à une satire du comportement des français à l'étranger, introduite par la phrase « j'ai honte » qui les condamne moralement. Il s’appuie sur des périphrase ou terme dépréciatif qui renvoi à un contre exemple de l'idéal humaniste « homme enivré », « taciturne »