L’objet d’étude de cette séquence est « la question de l’homme dans les genres de l’argumentation du XVIème siècle à nos jours » et plus particulièrement le pouvoir de la fable ainsi que l’écriture des moralistes du XVIIe et XVIIIe
Jean de La Fontaine : (né le 8 juillet 1621 à Château-Thierry, et mort le 13 avril 1695 à Paris) est un poète français de la période classique dont l'histoire littéraire retient essentiellement les Fables. On le compare alors à Esope. Il s'inspire des fables de ce dernier pour écrire une partie des siennes, publiées en douze livres de 1668 à 1693.
 XVI è s. Classicisme - Règne de Louis XIV Faillite de la compagnie des Indes
Les fables de LF s'inscrivent dans le courant moraliste qui trouve son apogée en France dans le seconde partir de XVII°. Ce que dénoncent alors les auteurs moralistes comme La bruyère est l'égoïsme de grand du XVIIe.
Dans la cour du lion, (fable du livre VII) LF propose un apologue dans lequel est souligné l'importance du code social qui règne dans le milieu aristocratique de la Cour, les rapports entre courtisans et monarque. LF s'est inspiré de la fable de Phèdre « le Lion régnant » qu'il a mis en vers et de manière a viser la monarchie de Louis XIV
Lecture du texte
Problématique où je reprends la question
Annonce du plan

Axes possibles:

- Un récit vif et animé
• Structure de la fable
• Procédés d’animation : une fable dynamique
=> Lf fait un récit rapide, vivant, qui a pour fonction de plaire avant tout désir de donner une leçon

- La représentation animale
• Les animaux sont des stéréotypes traditionnels
• // entre monde animal et monde humain
=> L’utilisation des animaux est un moyen traditionnel que LF emprunte ici à Phèdre. 2 intérêts =
Rendre la fable amusante en faisant appel chez le lecteur aux stéréotypes qu’il connait chez les animaux
Faire une critique sociale ou politique sans risquer la censure

- La satire
• Satire sociale
. Critique du pouvoir arbitraire
.