Le Loup Garou

Il arrive à impressionner Gusman et se réjouit de son succès "tu demeures surpris et change de couleur...". 2) Image de Sga auprès du public. Sga change d'attitude à la fin de la scène => décalage entre ce qu'il est et le perso qu'il joue. "ni loup-garou" "pélerin" => milieu social de Sga trahi, milieu populaire. A la fin de la tirade, champ lexical de la peur => il n'y a pas de respect entre DJ & Sga. 3) Incertitude à propos des paroles de Sga. Il décrit DJ de façon négative alors qu'il n'est

cas où. Stefan opina. Son pouvoir de recherche avait des limites : quelqu’un de plus puissant que lui pouvait s’y soustraire ; quelqu’un de plus faible pouvait passer inaperçu. Et il ne détectait pas du tout certaines créatures, comme les loups-garous. — Je sais que je ne devrais pas y penser en ce moment, avec les événements, mais j’ai juste envie d’être seule avec toi, avoua tranquillement Elena. Tout va si vite. Si Ethan ramène Klaus à la vie… j’ai l’impression que nous n’aurons plus beaucoup

DOM JUAN : L.A. no 1 Acte I scène 1 : Le protrait du maitre par Sganarelle. I/Portrait du maitre par son valet 1)DJ l’impie -DJ ne croit en rien « qui ne croit ni ciel ni saint, ni dieu, ni loup garou » >croyances religieuses et payennes mises sur le meme plan. -Sg craint le chatiment divin : « il faut que le couroux du ciel l’accable » >annonce du dénoument. 2)Un débauché(recherche exécive de plaisir) -Libertinage de pensée(relig°) + libertinage de mœurs. -DJ = pourçeau d’épicure(philosophe

portrait de son maître mais en fait aussi le portrait d'un libertin. Il dénonce l'ateisme de don Juan I b la dénonciation de l'ateisme : accumulation de relative ligne 58 59 60 champs lexical de la religion « ni ciel » « ni enfer » « ni loup garou » longueur de la phrase ligne 56 qui renforce la force de l'énumération emploi d'un terme dépréciatif « un enragé , un chien , un diable » Transition :le portrait de don juan est un blâme , il s'agit de la dénonciation de son comportement

vampires. Je ne pouvais m'arrêter de lire : "Ail, lumière, crucifix, pieu, teint blafard, absence de reflet, rapidité, assoifé de sang, .." Tous ces mots se bouscluaient dans ma tête sans que je ne sache quoi faire. Et pire encore cette légende de Loup-garou et de pleine lune liée à celle des vampires que j'avais du mal à cerner. Il fallait que je sorte, que je me change les idées ; enfin le calme me reprit jusqu'à que j'apperçoive ces femmes au loin, je pouvais sentir leur chaleur d'ici. Et c'est à

point entretenu ; mais, par précaution, je t'apprends, inter nos, que tu vois en Dom Juan, mon maître, le plus grand scélérat que la terre ait jamais porté, un enragé, un chien, un diable, un Turc, un hérétique, qui ne croit ni Ciel, ni Enfer, ni loup-garou, qui passe cette vie en véritable bête brute, en pourceau d'Epicure, en vrai Sardanapale, qui ferme l'oreille à toutes les remontrances chrétiennes qu'on lui peut faire, et traite de billevesées tout ce que nous croyons. Tu me dis qu'il a épousé

Aristocrate, noble, ne travaille pas profite de ses privilèges il jouit d'un perpétuel plaisir II. Le portrait de Sganarelle par lui-même A. Un personnage crédule (naïf) § met sur le même plan Dieu et la superstition " loup garou" § défenseur de la morale traditionnelle de la foi et traite de billevesées tout ce que nous croyons B. Un lâche C. Entre crainte et admiration vis-à-vis de Dom juan III. Rapports maître – valet §

scène 1 à la réalité. Sganarelle commence à présenter Don Juan par une énumération peu élogieuse, « Le plus grand scélérat que la terre ait jamais porté, un enragé, un chien, un démon, un Turc, un hérétique, qui ne croit ni Ciel, ni Enfer, ni loup-garou, qui passe cette vie en véritable bête brute, un pourceau d’Epicure, un vrai Sardanapale ». C’est après cette présentation que Sganarelle commence à dresser le vrai portrait de Don Juan, en s’appuyant sur des faits. L’image du Don Juan séducteur

franchise, mais il est prêt à dénoncer Gusman, comme menteur à sa propre franchise. Sganarelle est un homme sans sincérité ni envers son maître, ni envers lui-même. Énumération « […] Dom Juan, mon maître, le plus grand scélérat que la terre […] ni loup-garou…»(p.5).Il ne démontre aucune sincérité envers son maître en l’insultant de cette façon de tous les pires noms possibles « il faut que je lui sois fidèle en dépit que j’aie, la crainte en moi fait l’office du zèle, bride mes sentiments, et me réduit

vantard fanfaron Trait de comédie aussi. Fier de ses effets sur Gusman. Il singe DJ, essaye de le bluffer. Theatralité de cette scene. 3) Sa crédulité Il est croyant et supersitieux : manque de recul, sa foi degenere en superstition (ex : loup-garou). Il confonds tout. III) Le registre comique 1)Jeu scenique, parodie du maitre. Jeu d’imitation,emploie expressions latines, vernies d’érudition (l.55). Allusions a des personnes (Sardanapalé). Mise en scene de son portrait, métaphore de